Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un vrai film noir, qui suit la forme et l’esprit du genre, porté par un scénario solide, des acteurs convaincants et une réalisation sans esbroufe : pas si mal…
Le Parisien
par Catherine Balle
Apre, glauque et brillamment mis en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
Imaginez un polar français bien ficelé, et qui ne serait affligé d’aucun sursaut de psychologie ou de morale mal placées, puis avouez que cela vous fait un peu envie : vous avez devant vous un film au réalisme noir ; aussi noir que le permet le réalisme, aussi réaliste que le permettent les vieilles règles louches du noir au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Cédric Page
Sombre à souhait, mis en scène de façon précise et efficace, le film offre un plaisir que, dans le registre du film noir français, seules les oeuvres de Jacques Audiard savent procurer aujourd'hui.
Première
par Gérard Delorme
En dépit de moyens limités, Money s'appuie sur un scénario d'une densité exceptionnelle, que valorise une mise en scène sobre et précise et une direction d'acteurs sans faute.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
Babluani livre un thriller crépusculaire sans répit et plein de verve sur les inégalités sociales, le pouvoir et la corruption.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Un polar efficace qui clame haut et fort que l’argent ne fait pas le bonheur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par La Rédaction
Le Géorgien Gela Babluani, 38 ans, s'était fait remarquer en 2005 dès son premier long-métrage: 13 (Tzameti). Tourné au Havre, Money, le quatrième film du fils du cinéaste Temur Babluani (ours d'argent à Berlin en 1993 pour Le Soleil des veilleurs), est moins abouti.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Yannick Vely
"Money" ne révolutionne donc pas le genre mais il n'en a pas non plus la prétention et dresse un portrait en creux de la ville du Havre, des riches quartiers aux zones portuaires.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Voici
par La Rédaction
Une tragi-comédie noire et sociale au casting solide.
Critikat.com
par Benoît Smith
Babluani doit affronter un problème commun à ce genre de film se flattant d'être borné à se mouler efficacement dans les règles d'un genre : la difficulté de se détacher de l'application complaisante de ce moule, d'y insuffler un supplément d'âme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par A.L.F.
Après une première demi-heure inquiétante où le réalisateur parvient à installer une ambiance inquiétante, le film part totalement en vrille.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Du Olivier Marchal tendance grouchomarxiste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
Certes, Le Havre est filmé dans toute sa noirceur de décor de polar, mais l’intrigue – un politicien véreux se fait braquer par un trio à la dérive – convenue et invraisemblable et les conventions du genre pèsent lourd.
Les Fiches du Cinéma
par Jacques-Antoine Maisonobe
Autour d’un canevas de thriller, le film dépense beaucoup d’énergie à essayer de justificer sa cohérence, au prix de la crédibilité de ses personnages.
Positif
par Bernard Génin
Pour être vraiment haletant, le polar demande un minimum de vraisemblance. Dommage pour les comédiens, particulièrement Anouk Grinberg, trop rare au cinéma.
Le Journal du Dimanche
par S.J.
Ce thriller provincial sur fond de lutte des classes patine à la mesure de ses héros Pieds nickelés. Les multiples rebondissements prêtent à sourire. Le casting prestigieux sert des rôles souvent archétypaux.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce nouveau thriller de Gela Babluani tourne tellement à la comédie qu'on peine à le prendre au sérieux.
Le Dauphiné Libéré
Un vrai film noir, qui suit la forme et l’esprit du genre, porté par un scénario solide, des acteurs convaincants et une réalisation sans esbroufe : pas si mal…
Le Parisien
Apre, glauque et brillamment mis en scène.
Libération
Imaginez un polar français bien ficelé, et qui ne serait affligé d’aucun sursaut de psychologie ou de morale mal placées, puis avouez que cela vous fait un peu envie : vous avez devant vous un film au réalisme noir ; aussi noir que le permet le réalisme, aussi réaliste que le permettent les vieilles règles louches du noir au cinéma.
Ouest France
Sombre à souhait, mis en scène de façon précise et efficace, le film offre un plaisir que, dans le registre du film noir français, seules les oeuvres de Jacques Audiard savent procurer aujourd'hui.
Première
En dépit de moyens limités, Money s'appuie sur un scénario d'une densité exceptionnelle, que valorise une mise en scène sobre et précise et une direction d'acteurs sans faute.
Transfuge
Babluani livre un thriller crépusculaire sans répit et plein de verve sur les inégalités sociales, le pouvoir et la corruption.
aVoir-aLire.com
Un polar efficace qui clame haut et fort que l’argent ne fait pas le bonheur.
Le Figaro
Le Géorgien Gela Babluani, 38 ans, s'était fait remarquer en 2005 dès son premier long-métrage: 13 (Tzameti). Tourné au Havre, Money, le quatrième film du fils du cinéaste Temur Babluani (ours d'argent à Berlin en 1993 pour Le Soleil des veilleurs), est moins abouti.
Paris Match
"Money" ne révolutionne donc pas le genre mais il n'en a pas non plus la prétention et dresse un portrait en creux de la ville du Havre, des riches quartiers aux zones portuaires.
Voici
Une tragi-comédie noire et sociale au casting solide.
Critikat.com
Babluani doit affronter un problème commun à ce genre de film se flattant d'être borné à se mouler efficacement dans les règles d'un genre : la difficulté de se détacher de l'application complaisante de ce moule, d'y insuffler un supplément d'âme.
L'Express
Après une première demi-heure inquiétante où le réalisateur parvient à installer une ambiance inquiétante, le film part totalement en vrille.
L'Obs
Du Olivier Marchal tendance grouchomarxiste.
Le Monde
Certes, Le Havre est filmé dans toute sa noirceur de décor de polar, mais l’intrigue – un politicien véreux se fait braquer par un trio à la dérive – convenue et invraisemblable et les conventions du genre pèsent lourd.
Les Fiches du Cinéma
Autour d’un canevas de thriller, le film dépense beaucoup d’énergie à essayer de justificer sa cohérence, au prix de la crédibilité de ses personnages.
Positif
Pour être vraiment haletant, le polar demande un minimum de vraisemblance. Dommage pour les comédiens, particulièrement Anouk Grinberg, trop rare au cinéma.
Le Journal du Dimanche
Ce thriller provincial sur fond de lutte des classes patine à la mesure de ses héros Pieds nickelés. Les multiples rebondissements prêtent à sourire. Le casting prestigieux sert des rôles souvent archétypaux.
Studio Ciné Live
Ce nouveau thriller de Gela Babluani tourne tellement à la comédie qu'on peine à le prendre au sérieux.