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🎬 RENGER 📼
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1,0
Publiée le 24 décembre 2010
Troisième long-métrage pour Edgar Wright après sa parodie zombiesque (Shaun of the Dead - 2005) et son buddy-movie (Hot Fuzz - 2007) il revient avec l'adaptation éponyme du comic-book signé Bryan Lee O'Malley et en restitue un vibrant hommage geek à toute une génération, avec cet habile mélange des genres, un mix entre les jeux vidéos, les mangas et les comics. Il faut avouer que le résultat final est des plus surprenant, d'une richesse visuelle épileptique, le réalisateur a pris un malin plaisir à reprendre tous les codes des genres afin de les retranscrire ici. Il maitrise la caméra et le sens du découpage, le timing et l'accumulation des plans qui s'entrecroisent comme par magie. Les répétitions s'accumulent malgré une mise en scène relativement riche et des personnages tout aussi azimutés que drôles (mention spécial à Mary Elizabeth Winstead & Ellen Wong). Mais à trop vouloir en faire, cela en devient très rapidement épuisant et lassant (avec près de 110 minutes au compteur, on a le temps de s'ennuyer).
Film nauséeux à réserver aux fans des soirées gloubiboulga. Trop de jeux de bastons ça lasse. Heureusement que les jeux vidéos ne sont pas que ça. Les meilleurs moments sont le début (gingle Universal Studio façon console 8-bits) et "I heard Ramona sings" de Frank Black. Mention spéciale au colocataire gay qui est le seul à m'avoir fait marrer. En somme une espèce d'attraction foireuse genre centrifugeuse avec barbe à papa et churros ingurgités en masse. Si vous avez encore l'âge, foncez ! Pour moi : GAME OVER.
Une sorte de cartoons filmé à la sauce comics mixé avec l'univers des jeux vidéo...Alors c'est bien beau de soigner la forme, mais sans le fond, (et oui ça s' appel un scénario !!!) tout cela tourne à vide et devient vain ! C'est répétitif, ennuyeux et indigeste...pas étonnant que le film ce soit planté totalement au box office !
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18 103 critiques
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1,0
Publiée le 6 septembre 2021
Scott Pilgrim m'a fait remettre en question ma place au sein de ma génération. Selon d'autres membres de ma génération c'est le film qui met fin à tous les films et le meilleur film. Le premier problème de Scott Pilgrim est son intrigue. L'intrigue est auto-consciente et répétitive ainsi que trop décontractée et trop facile à vivre. Scott Pilgrim doit vaincre les sept ex maléfiques de sa nouvelle petite amie. C'est toute l'intrigue et à aucun moment nous n'avons le sentiment que quelque chose est en jeu pour ces personnages. Je sais que cela ne devrait pas avoir d'importance dans un film pop-corn axé sur les effets mais comme il n'y a pas d'enjeu ni de suspense j'ai trouvé cette histoire ennuyeuse. C'est à peu près à ce moment-là que le premier ex maléfique apparaît et Ils se battent. Le scénario manque de structure il est truffé de dialogues bizarres et de gags que je ne comprend pas. La réalisation est généralement bonne et en tant que réalisateur Edgar Wright n'a pas perdu son talent. Malheureusement le scénario et les dialogues médiocres ont fini par éclipser tous les bons éléments du film à mes yeux...
Bonjour les mauvaises comédie américaine. Le scénario tiens sur un ticket de caisse et encore, les dialogue sont navrants, les acteurs pas mieux, seul certaines scène de "fight" sont plutôt bien réussi mais ne parviennent en aucun cas a rattraper le tout. Les effets visuels en rapport avec le thème sont amusants et bien faits sa n'empêche que c'est très mauvais tout sa. Au final on se retrouve devant une comédie ennuyante du début a la fin d'une nullité vraiment triste et qui dur bien trop longtemps. Certainement a prendre au second degré mais n’empêche que c'est gnant gnant.
Voici un film qui s’annonçait comme prometteur et qui au final se révèle bien décevant. Visuellement cela n’a franchement rien d’extraordinaire malgré un budget colossal (90 millions de dollars quand même… on a du mal à le croire), les réalisateurs asiatiques par exemple arrivent à faire beaucoup mieux avec beaucoup moins… Et côté scénario j’attendais quelque chose de franchement marrant et distrayant, ce qui est loin d’être le cas. Je me suis même fermement ennuyé.
Quel ennui... C'est sans queue ni tête, bordélique, sans intérêt. A aucun moment je n'ai apprécié quoique ce soit dans ce film. Le style geek/cartoon ne sauve en rien cette daube puérile interminable.
Le moins bon du réalisateur Wright. Je suis d'accord qu'il adapte à fond la bande dessinée Scott Pilgrim, mais le contenu est trop “riche” en éléments absurdes et loufoques, si bien qu'à un moment je décrochais tellement j'avais l'impression de ne plus savoir qu'est ce qui était rataché au réel. C'est un film fidèle à la génération geek et uniquement à des vrais geeks. Et de plus on ne retrouve pas le duo Frost/Pegg ni en partie le style très marqué de Wright. Sur le côté adaptation, c'est tout de même réussi, mais l'univers ne m'a pas séduit tant que ça, en revanche il impose la supériorité des geeks sur ceux qui les méprisent
Oui Sott Pilgrim est inventif. Oui il correspond parfaitement à une génération élevée aux jeux vidéos, comics et manga. Oui il... ? Ben non, c'est tout. Si ce n'est les clins d'oeils et les trouvailles visuelles vraiment pas dégueulasse, le fond et l'histoire frôle le QI d'une amibe. On s'ennuie fermement pendant ces deux heures de grand n'importe quoi imaginatif mais sans intérêt. Même les habitués des productions indépendantes et décalées que sont Michael Cera ou Jason Schwartzman dont la présence est parfois un gage de qualité n'apporte rien. Le fait qu'Edgar Wright soit aux manettes n'apporte rien et l'on est loin de l'hilarité de Shaun Of The Dead ou Hot Fuzz. Et si l'hommage à la génération "image" est là, ce film donne envie de conclure qu'on en prend plein les mirettes mais malheureusement, souvent pour pas grand chose.
Avant de commencer cette critique, j'ai l'impression de n'avoir rien à dire sur ce film. Sûrement parce que le film lui-même ne dit rien ( de bien intéressant ). Visuellement assez maîtrisée, l'oeuvre souffre d'une absence de scénario qui certes - au vu du synopsis - n'a pas pour ambition de raconter l'histoire la plus originale du monde, mais qui est gênante lorsque l'on constate la platitude des personnages. L'idée est assez belle : vaincre les ex d'une petite amie potentielle et, en quelque sorte, les surpasser et prétendre à leur succession. Mais tout n'est que gratuité ici, et l'énergie folle perceptible à quelques moments du film est noyée sous le déluge d'effets inutiles qui masquent la vacuité du propos et la fadeur des personnages.
En soit, les stéréotypes au cinéma ne sont pas un défaut s'ils sont détournés ou alimentés par une psychologie ou des dialogues efficaces. Mais dans S.Pilgrim, les personnages ne dépassent pas le cliché qu'ils représentent, et, pire, sont inexistants aussi parce que les liens entre eux ne valent rien. Ce qui prévaut, c'est l'effet, la surenchère, et on a l'impression que Wright veut en mettre plein la vue en ne s'embarrassant guère du sort des protagonistes. Le film contient quelques bonnes idées de cinéma, mais la répétitivité d'une mise en scène trop survoltée pour être honnête ( dans la mesure où tout devient trop mécanique et manque cruellement d'âme ) finit par agacer. Le film donne l'impression d'être un joli flacon d'où l'ivresse serait absente. Dès lors, l'histoire d'amour passe au quatrième plan. C'est peut-être ce que le film vise fondamentalement au vu d'un héritage jeux vidéos assumé. C'est justement ce que l'on peut regretter : que l'imaginaire geek ne cherche pas la profondeur ni l'audace, qu'il se complaise dans un état régressif et ne cherche pas à importer un minimum de maturité dans ce monde puéril. Et surtout, que le film décrive l'univers du jeu vidéo comme rien d'autre que ce pour quoi il peut être critiqué par ceux qui n'y connaissent pas grand-chose. En résumé, il donne un peu le bâton pour se faire battre.
Que retenir au final ? Au milieu de la déception suscitée par le film, il y a quelqu'un qui capte l'attention. Ca n'est pas Michael Cera, qui commence déjà à tourner en rond dans le registre de l'égarement, ni Mary-Elisabeth Winstead, qui a le malheur de ne pas être filmée par Quentin Tarantino et dont les fantaisies capillaires n'atteignent pas celles de la Kate Winslet d'Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Ici, celle qui crève l'écran avec un temps d'apparition pourtant restreint, c'est Alison Pill, parfaite dans le je m'en-foutisme et un certain mal-être adolescent qui disent tout de personnages pas à leur place face à la réalité du monde. Au milieu de l'effusion d'effets spéciaux et d'images virtuelles d'un univers technologique vite lassant, il y a donc cette ravissante actrice qui apporte un peu d'humanité au film. Mais c'est une goutte d'eau dans l'océan d'ennui qu'est le film, qui privilégie la forme au fond sous le prétexte trompeur d'être un film de son époque
Bon je dois avoir passé largement l âge de regarder ce genre de film et pourtant je crois que là l hystérie collective m a fatigué. Non seulement ça hurle tout le temps mais en plus c est visuellement crevant . Bref je suis passé vraiment à coté.
Le film raconte l'histoire Dun ado amoureux qui doit affronter les ex de sa petite amie sous la forme Dun jeu vidéo. Intéressant mais répétitif etttt ennuyeux !!! Au bout de 2 ex on a tout vu.... L'acteur heureusement est la !!!