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Votre avis sur Scott Pilgrim ?
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Scott Pilgrim aurait pu etre mais il n'est ni original ni bien foutu,c'est convenu,moche et sans originalité.Beurk.
Le plus mauvais film qu'il m'ait été donné de voir depuis bien longtemps! Impossible de rester jusqu'au bout, même pour faire plaisir à un ami... Après son excellent "Shaun of the dead" et son sympathique "Hot fuzz" (quand même un cran en dessous du premier), Edgar Wright s'est inexplicablement compromis dans un exercice de style raté, aussi vide qu'inattractif, voire douteux.
Originellement calibré pour plaire aux geeks, nerds, otaku, hardcore-gamers de tout poil et autres amateurs de sous-culture référencée (dont je fais partie à mon corps défendant), il m'est impossible de même comprendre le succès d'un tel film auprès d'un public s'estimant "pointu" dans son micro-genre. Presque chaque clin d'oeil à la culture comicso-mangesque-jeuvidéesque est ringarde, convenue et sans aucun "peps". "Fight club" exploitait les codes médiatiques de la société de consommation dans un déluge visuel assez jouissif, et "Zombie land" celui, justement des jeux vidéos et de la contre-culture horror-movie. "Scott Pilgrim" ne fait, quant à lui, qu'accumuler laborieusement les tics visuels, platement et sans aucun liant entre eux.
De fait, il n'y a presque aucune "structure" pour sous-tendre le film, que ce soit sur un plan formel (les scènes s'enchaînent mécaniquement, presque indépendamment les unes des autres; les références se succèdent sans rime ni raison) que sur le fond (y a t'il seulement un thème derrière tout cela, sans même parler d'une réflexion?). On a la désagréable impression de patauger dans le néant, sans cesse dans l'attente que le film commence "pour de vrai", jusqu'à l'inévitable et inconfortable conclusion : il est presque déjà fini.
L'ultime critique (peut être la pire) qu'on pourrait faire à ce film, c'est la veulerie, l'inconséquence et l'égoïsme du personnage principal, qui n'est même pas présenté comme tel à dessein. Difficile de s'attacher, en effet, à ce petit légume arrogant, aussi inexpressif que misogyne, qui plaque sa pseudo-copine-groupie recrutée à la sortie du lycée dés qu'il à l'occasion de sortir avec une meuf branchée (elle a les cheveux mauves et snobe les gens en soirée) et bien gaulée. Encore moins quand il doit se fighter tous les ex de cette dernière, pour justifier virilement la possession sans partage du gros lot du film. L'acteur, par la qualité de sa prestation, nous donne tout bonnement envie de couper la tête à cette petite crapule avant la fin de la première demi-heure. Rien à voir avec un anti-héros, dont on s'affranchirait des défauts (forcément véniels) pour se laisser attendrir.
Scott Pilgrim n'est même pas un navet, car un vrai navet ne chercherait pas à s'autoproclamer "branché" ou "film générationnel", mais bien une véritable imposture.
Originellement calibré pour plaire aux geeks, nerds, otaku, hardcore-gamers de tout poil et autres amateurs de sous-culture référencée (dont je fais partie à mon corps défendant), il m'est impossible de même comprendre le succès d'un tel film auprès d'un public s'estimant "pointu" dans son micro-genre. Presque chaque clin d'oeil à la culture comicso-mangesque-jeuvidéesque est ringarde, convenue et sans aucun "peps". "Fight club" exploitait les codes médiatiques de la société de consommation dans un déluge visuel assez jouissif, et "Zombie land" celui, justement des jeux vidéos et de la contre-culture horror-movie. "Scott Pilgrim" ne fait, quant à lui, qu'accumuler laborieusement les tics visuels, platement et sans aucun liant entre eux.
De fait, il n'y a presque aucune "structure" pour sous-tendre le film, que ce soit sur un plan formel (les scènes s'enchaînent mécaniquement, presque indépendamment les unes des autres; les références se succèdent sans rime ni raison) que sur le fond (y a t'il seulement un thème derrière tout cela, sans même parler d'une réflexion?). On a la désagréable impression de patauger dans le néant, sans cesse dans l'attente que le film commence "pour de vrai", jusqu'à l'inévitable et inconfortable conclusion : il est presque déjà fini.
L'ultime critique (peut être la pire) qu'on pourrait faire à ce film, c'est la veulerie, l'inconséquence et l'égoïsme du personnage principal, qui n'est même pas présenté comme tel à dessein. Difficile de s'attacher, en effet, à ce petit légume arrogant, aussi inexpressif que misogyne, qui plaque sa pseudo-copine-groupie recrutée à la sortie du lycée dés qu'il à l'occasion de sortir avec une meuf branchée (elle a les cheveux mauves et snobe les gens en soirée) et bien gaulée. Encore moins quand il doit se fighter tous les ex de cette dernière, pour justifier virilement la possession sans partage du gros lot du film. L'acteur, par la qualité de sa prestation, nous donne tout bonnement envie de couper la tête à cette petite crapule avant la fin de la première demi-heure. Rien à voir avec un anti-héros, dont on s'affranchirait des défauts (forcément véniels) pour se laisser attendrir.
Scott Pilgrim n'est même pas un navet, car un vrai navet ne chercherait pas à s'autoproclamer "branché" ou "film générationnel", mais bien une véritable imposture.
darkvash
Geek par ci, geek par là, la mode est au geek. Mais qu'est ce qu'un geek? Pas ce qu'on voit au cinéma et à la télé en tout cas. Ce film est un résumé de tout ce qu'il ne faut pas faire. Les effets sont grossiers, l'histoire est d'une nullité affligeante et les acteurs, qui soit disant commencent à être connus, sont plus débiles les uns que les autres. mettre une musique de Zelda en ouverture et mettre des "pif et paf" lors de scéances de bagarres façon série tv batman, stop. Je me suis bien ennuyé du début à la fin, me demandant comment on pouvait tourner un film de ce genre. Au vu des critiques, les pseudos geek se sont retrouvés dans ce film, mais messieurs, il ne suffit pas d'avoir internet sur son tel, de lire dragon ball et d'avoir une PS3 pour être un geek. Tout se perd, même ça.
Je pense que dire de ce film qu'il est réservé à un très jeune public plutôt geek n'est pas exagéré. J'ai trouvé ça répétitif, ennuyeux et pas drôle. Allez on oubli.
Film cucu pour ado décérébré ! J'ai pas tenu la demie heure de film, j'ai du arrêter ; insoutenable, sans intérêt, ridicule.
Film complètement loufoque sans queue ni tête! Un scénario réduit au stricte minimum et le peu d'histoire qu'il y a est complètement niais et stupide! Film fait pour les moins de 12 ans...
Les critiques de cinéma surnotent les films qui ne valent même pas d'être bien notés. La cause? Sûrement parce'que la baisse de fréquentation de salles de cinéma s'aggrandit de jour en jour. Edgar Wright, réalisateur d'assez bonnes comédies britishes dont le décalé "Hot Fuzz" , s'installe en Amérique pour adapter une bande dessinée du même nom "Scott Pilgrim" en envoyant dans le rôle titre le teenager d'amerloque coqueluche des ados outre Atlantique du moment , Michael Cera.Le film démarre bien, le logo Universal avec la petite musique façon Game Boy, et que le concept est sympathique , des décors de jeux vidéos. C'est plaisant les cinq premières minutes. Et c'est rapidement ennuyeux à partir de ces cinq minutes. Ca tourne en rond , c'est sans queue ni tête , les gags ne sont pas drôles , Cera et sa bande de rockers énervent très vite, l'histoire est inintéressante au possible...Bref j'ai arrêté au bout de quarente cinq minutes malgré mon acharnement à vouloir tenir, mais rien n'y fait on a bien le droit à un film dénué de sens complètement débile. Et quand on voit que des critiques spécialistes en cinéma sont à ce point aussi objectives sur un tel sommet de bêtises , on en pleure presque quoi. Pour terminer avec cet ado movie , j'espère que la bande dessinée est franchement mieux. Parce que Wright réalise l'inadaptable. Franchement déconseillé à tous!
Humour zero, j'ai vraiment pas aimé, j'ai trouvé ca vraiment trop débile, ca fait pas rire mais c'est plutôt triste de voir a quel point ce film est nul
Je suis pourtant fan de jeux video depuis les années 80 jusqu'à aujourd'hui, j'aime le cinéma en général (films grand public ou films de niche), mais Scott Pilgrim j'ai essayé de m'y plonger ( film bd), mais rien à faire, franchement j'ai trouvé ça nul à chier.
Scott Pilgrim...pour ma part les situations sensés être drôles ne m'ont pas fait sourire, et les trucs "stylés" j'ai trouvé ça "too much" et ringards. Que dire des 7 ex maléfiques du film? Bah ça m'a fait pitié (spéciale dédicasse aux "Double Dragon" ratés entre autre, mais en fait ils sont tous aussi ringards et ratés...).
Bon passons aux quelques clins d'oeil aux jeux video, censés me faire pousser un "whoaw" de nostalgie...
Franchement? Bah ça ne m'a fait ni chaud ni froid, j'ai trouvé que les clins d'oeil étaient placés de manière "gratuites", sans créativité. Pour les acteurs la plupart sont irritants, et surjouent beaucoup, c'est un peu le problème de pas mal d'acteurs enfants/teenagers en fait.
Bref je m'arrête là, ce film (comme les bd) est une pure perte de temps pour moi, tant mieux pour ceux qui l'ont aimé ou adoré. Un bel opportuniste l'auteur de ce Scott Pilgrim tout de même, il a su cerner les goûts des geeks/jeunes actuels.
Scott Pilgrim...pour ma part les situations sensés être drôles ne m'ont pas fait sourire, et les trucs "stylés" j'ai trouvé ça "too much" et ringards. Que dire des 7 ex maléfiques du film? Bah ça m'a fait pitié (spéciale dédicasse aux "Double Dragon" ratés entre autre, mais en fait ils sont tous aussi ringards et ratés...).
Bon passons aux quelques clins d'oeil aux jeux video, censés me faire pousser un "whoaw" de nostalgie...
Franchement? Bah ça ne m'a fait ni chaud ni froid, j'ai trouvé que les clins d'oeil étaient placés de manière "gratuites", sans créativité. Pour les acteurs la plupart sont irritants, et surjouent beaucoup, c'est un peu le problème de pas mal d'acteurs enfants/teenagers en fait.
Bref je m'arrête là, ce film (comme les bd) est une pure perte de temps pour moi, tant mieux pour ceux qui l'ont aimé ou adoré. Un bel opportuniste l'auteur de ce Scott Pilgrim tout de même, il a su cerner les goûts des geeks/jeunes actuels.
Pas tenu les 10 minutes. Film de gamin pour la génération télé réalité sans cervelle !
Ce film aurait pu être bien, mais ni le scénar, ni les acteurs le sont, vaguement geek, avec des gros clichés crasseux, très surestimé.
Un navet parmi tant d'autre mais celui la est surement le meilleur de tous
mais qu'est ce que c'est que cette daube, a eviter absolument
Santu2b
La comédie américaine ne sait décidément plus quoi inventer. Sorti en 2010 et plutôt bien reçu, "Scott Pilgrim" est le premier film d'Edgar Wright sans ses compères Nick Frost et Simon Pegg, préférant cette fois-ci s'entourer d'une jeunesse comique montante, tel Michael Cera. Adapté d'une série de comics, l'oeuvre elle-même emprunte beaucoup à cet univers, le cinéaste voulant visiblement orchestrer un curieux mélange entre jeux vidéos et bande-dessinée. Le problème c'est qu'à force de surcharger de façon outrancière son esthétique, Wright finit par oublier le principal objet de son entreprise : l'humour. Il faut en effet être frappé d'une insensibilité divine pour ne pas ressentir un profond malaise face à cette avalanche de gags et de vannes ratés, écrits sur un coin de table. Tout ce dont doit se contenter le spectateur se résume au final en plusieurs séances de kung-fu interminables et répétitives, ponctués çà et là de quelques blagues potaches. À ce stade, cela ne s'appelle même plus du second degré, c'est carrément de la prétention ; bref, que Wright retrouve très vite ses acolytes habituels parce qu'ici il tourne quand même sacrément à vide. Lourdingue et navrant.
Encore un film pour ados attardés (geeks), un teen movie qui cumule toutes les tendances superficielles de notre époque. Aucun fond, tout est dans le visuel, les effets à deux balles qui fascinent les abrutis. On reconnait les signes distinctifs de toutes les sous-cultures ambiantes : le manga, le rock, les jeux vidéo, le punk puritain... Aucun film d'Edgar Wright ne m'a plu. Les comédies qui l'ont fait connaître (shaun of the dead, hott fuzz) ne sont pas drôles, c'est lent et ennuyeux. Ce mec sert à rien !
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