Derniers Avis : Scott Pilgrim - Page 40

très bon !!!

une histoire de fou, des personnages délirants et/ou bizarre et une bande son qui envoi !!!

rien a dire de plus

Sincèrement louer le plutot que de payer aussi chere sa place pour un film si peu si peu je ne sais quoi........ pf déroutant.

Un pure moment de délire, pour le spectateur et a coup sur pour les acteurs et le réalisateur! C'est bourré de référence et ça dés le lancement du film (ne pas raté le début du film en gros)!

Scott Pilgrim 22 ans niveau potentiellement très amoureux de Ramona Flowers américaine niveau au très lourd passé et débarquant à Toronto où vivent Wallace colocataire de Scott niveau très gay et voleur de petit ami de Stacey Pilgrim 19 ans soeur de Scott niveau commère téléphonique lorsque par exemple Scott sort avec Knives Chau 17 ans niveau lycéenne archi fan de Sex-bob-omb groupe de rock de son frère où évolue son ex Kim niveau garce débordante de haine notamment lorsque Scott joue sur deux tableaux juste avant d'affronter les 7 ex-petits amis maléfiques de Ramona ... Scott Pilgrim, un héros comme tous les autres et à la fois si ordinaire. / Après Hot Fuzz et Shaun of the dead, Wright adapte la bd-manga du même nom. Et ça décoiffe, malgré quelques gags qui retombent à plat, et un Michaël Cera pas toujours très juste. Heureusement, la mise en scène évite le piège provoquée par la linéarité de l'histoire. Survitaminée, punchy, inventive, Wright se permet tout et livre la meilleur comédie romantico-geek-manga de l'histoire.

Inutile de dire que le film d'Edgar Wright sans ses complices Simon Pegg et Nick Frost était attendu et le résultat est... largement au-dessus de nos espérances. "Scott Pilgrim" se hisse sans difficultés au rang de meilleur film de l'année et ça il le doit tout d'abord à son inventivité constante dans la mise en scène qui reproduit parfaitement bien un aspect à la fois comics, manga et jeu vidéo. Edgar Wright nous en met plein les yeux et prouve son génie de la mise en scène qui est vraiment bluffante. Le scénario est brillamment écrit, jamais répétitif et certains gags sont vraiment hilarants. Michael Cera trouve là son meilleur rôle jusqu'à aujourd'hui et le reste du casting est en béton. La BO est géniale. Comment ne pas adorer ?
Un film génial et jubilatoire, les scènes d'actions sont impressionnantes.

C est pas du tout mon genre de film l histoire est incompréhensible on est perdu des les 20 premières minutes ! Mélange de danse action et humour c est vraiment nulle !

Quel délire !!! La réalisation de E. Wright est monstrueuse !!! Les acteurs sont bons et le scenario sympa. Faut s'accrocher au style du film car ça en fout plein la vue c'est ponctué d'onomatopée et la bande son est tonitruante !!

Scott Pilgrim commence trés bien. La 1ere heure est fantastique puis ça se répète et la fin devient long. Mais ce qui est sûr c'est qu'il deviendra culte !

ce film est un ovni mais un magnifique ovni. Un film unique en son genre et qui est très fidèle au style de la BD. Les combats et la musique sont magnifiques. En bref, un film excellent.

super film qui est un peu passé inaperçu en France. Découvrez le en DVD ca vaut le coup !

Un très bon film avec un humour actuel ! Les vieux geek auront la joie de retrouver la une mine d'or de clins d'oeil aux tout premiers jeux vidéos, les autres verront une comédie excellente avec des combats (certe parodiant comics et manga) très bien réalisés. J'ai ri tout le long :) A aller voir au plus vite !

Scott Pilgrim rencontre la femme de sa vie Ramona, étant près à tout pour sortir avec elle, il devra vaincre ses 7 ex diaboliques.
Le film a très malheureusement connu de gros problèmes pour trouver diffuseur en France, qui plus est après un succès commercial aux Etats-Unis plus que contrasté. Cependant avec Edgar Wright à la réalisation et une bande annonce qui annonce tout de suite la couleur, il fallait forcement se jeter sur ce nouveau film. La première chose qui frappe c'est le visuel très poussé, presque aussi poussé que le délire dans lequel Edgar Wright va nous entrainer durant près de deux heures. La deuxième chose qui reste assez impressionnante c'est le rythme, aucun temps mort. Les situations les plus improbables s'enchainent, les dialogues cultes aussi. Avec ça on nous sert une très belle galerie de personnages tous autant charismatiques et fun les uns que les autres. On a d'ailleurs le droit à un assez bon casting, Michael Cera fait ce qu'il peut dans son rôle de Scott Pilgrim, Mary Elizabeth Winstead campe le rôle de la petite amie avec charisme, Jason Schwartzman est totalement bad ass dans le rôle du méchant et Ellen Wong mignonne dans le rôle de la petite amie (très) collante. La bande son est à l'image du film: très énergique avec parfois de très bon morceaux. Ce nouveau film d'Edgar Wright vaut franchement le coup, un bon moment de rigolade !

Scott Pilgrim est un film original, assez déjanté, sympathique et bien fun.

On retrouve la mise en scène volontairement tape à l'œil de Edgar Wright, et qui pour le coup colle assez bien avec l'univers jeux vidéo qu'il cherche à accoler à son film.
Lors du film, le réalisateur multiplie d'ailleurs les allusions à ce monde, mais lors des combats on aurait pu espérer un peu plus d'inspiration là dedans, dommage.
Le film vaut également pour les très nombreux seconds rôles, qui foisonnent, et qui renforcent le côté divertissant de Scott Pilgrim.

Après "Kick-Ass", c'est un nouveau comic décalé et satirique qui est adapté sur grand écran. Mais mis à part l'autodérision et le fun qui se dégagent des deux films, "Scott Pilgrim" ne prend pas la même direction que le précédent. Au politiquement incorrect, à la violence assumée et à l’intrigue plus développée de "Kick-Ass", "Scott Pilgrim" préfère la pure déconne, l'humour décalé, l'absurde, et bien sûr la satire de l'adolescence et de la geek-mania, ou encore des pseudo super-héros. Le tout est traité sur fond de rock, et avec une superbe mise en scène influencée par les mangas, les comics, ou encore les jeux vidéo. Servie par un montage qui dépote et une photo qui claque, la réalisation d’Edgar Wright nous éclate. Mais l’ensemble reste souvent assez lisse (pas une goutte de sang, par exemple) et se répète assez souvent, la faute peut-être à une histoire pas assez développée. Heureusement, une bonne dose d’humour, des répliques qui tuent (« Je suis lesbienne de toi ») ou des idées originales viennent souvent raviver l’intérêt du spectateur.

"Scott Pilgrim" c’est surtout une batterie de personnages tous plus hauts en couleurs les uns que les autres. A commencer par Scott (Michael Cera dans un rôle sur mesure), loser par excellence, mais qui, malgré un physique banal, a plus d’une fille à ses pieds et vient à bout de tous ses adversaires. Ou encore son colocataire gay (interprété par Kieran Culkin, frère cadet de Macaulay), bien moins romantique que Scott, et accumulant les conquêtes les uns après en même temps que les autres. Sans parler de la ligue des sept ex maléfiques, tous plus tarés les uns que les autres.

En somme un "Scott Pilgrim" pas exempt de défauts mais qui éclate et amuse le spectateur, c’est certain. Caractérisé par un humour décalé, il risque de laisser un certain nombre de personnes sur la touche, mais aussi de devenir un objet de culte pour beaucoup d’autres. Espérons que ces derniers seront plus nombreux en France qu’aux Etats-Unis où le film a reçu un accueil plus que mitigé. En tout cas c’est tout le mal que je lui souhaite !

Avouons de suite, le début sonne comme enfin le renouveau d’un cinéma pop, dynamique, osé et inventif. On tombe ensuite très vite dans un cinéma de fan de jeu vidéo avec beaucoup trop de phases de « combo » au détriment de l’histoire. Le film n’en perd pas son humour ni son charme mais l’intérêt disparaît quelque peu ; usure ? âge ? simplement le fait de ne pas adhérer. Le casting et les comédiens sont pourtant parfaits mais dans un genre rapproché sur le fond, on lui préfèrera Kick Ass moins dynamité visuellement mais plus réussit dans l’intérêt constant que l’on peut porter au film. Reste en dernière mesure, les moments jouissifs de voir certains comédiens grimés pour aller dans un ridicule porteur d’une « éclate totale », Rock n’ Roll comme dirait Sean Bateman !