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    La Princesse de Montpensier
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    3,1
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    419 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 novembre 2018
    Ce film est une horreur du cinéma Français, des acteurs très mauvais, des plans affreux sans aucune réflexion de sens derrière, des musiques lamentables, des dialogues de sourd .... Quelle idée de faire d'une nouvelle, un film.
    Bertrand Tavernier a massacré ce livre, il n'y à pas une seule seconde dans ce film ou j'ai pris du plaisir. A aucun moment j'ai cru aux scènes d'actions, d'amour, de stress... tout n'est que fade.
    Si vous voulez vous abrutir je vous conseille d'avantage une Auberge Espagnole de Klapisch que cette horreur..
    Mathéo Feray
    Mathéo Feray

    9 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2018
    Malgré la beauté évidente des dialogues et des décors, le film souffre d’un affreux manque de rythme qui le rend plat et ennuyeux à mourir. De toutes les prestations, on ne retiendra que celle de Lambert Wilson, émouvante et sincère. Le reste vaut peu la peine qu’on s’y attarde. Quoique… D’abord, il y a Gaspard Ulliel, davantage préoccupé par son brushing que par son rôle (on l’avait connu plus vrai dans ‘’ Un long dimanche de fiançailles ‘’). Ensuite vient Grégoire Leprince-Ringuet dont on peut vanter la prodigieuse énergie, comparable à celle d’un poulpe en phase terminale. Enfin, il y a Mélanie Thierry, totalement impuissante à crever l’écran. De manière générale, adapter une nouvelle de Madame de Lafayette était-il une si bonne idée ? Une histoire issue de la ‘’ préciosité ‘’ du XVIIe, avec ses codes horripilants et niais, méritait-t-elle qu’on lui accorde un quelconque crédit cinématographique ? Bertrand Tavernier s’y sera hélas essayé sans trop de succès… Ayons au moins le mérite d’apprécier sa soigneuse reconstitution de la cour du roi Charles IX, ce qui n’était absolument pas l’objectif de Pioche de La Vergne, davantage préoccupée par son si précieux ‘’ sens de la vertu ‘’ !
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2018
    3 étoiles - La princesse de Montpensier

    Film sensible, où l'émotion amoureuse est exposée avec une simplicité pure de tout artifice. Film qui n'est pas aussi sans défauts. La mise en scène est académiques, un peu austère... certes, le décor historique de cape et d'épée est plutôt bien reconstitué (plus du côté cape que du côté épée). Mais la suite narrative manque par moment d'un peu de subtilité. En fait, ce qui captive surtout dans ce film c'est cette errance existentielle qui est très bien rendue par l'expressivité affective d'acteurs talentueux. Là est l'atout essentiel de ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 mai 2018
    Film assez moyen et plutôt long, entraîné dans les bas fonds par Grégoire Leprince-Ringuet (Prince de Montpensier) qui joue incroyablement mal. Pour le bien de la France entière, changez de métier. Les autres personnages sont cependant bien interprétés.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 janvier 2018
    un bon gros film de merde, 2h19 de niaiseries ont s'étaient crus dans un truc écrit par une féministe extrémiste wallah, Philipe est un gros tocard et est sûrement l'un des pires acteurs français que j'ai vu de ma vie, le réalisateur à quand même réussi à rendre tous les personnages énervants l'histoire du film en lui même est nul à chier, 2h19 à nous peter les burnes avec Guise et Marie pour qu'à la fin elle se fasse rembarrer comme une merde, c'est nul, j'ai perdu mon temps. J'ai mis une demi étoile parce qu'on pouvait pas en mettre 0 et parce que y'avait des scènes de cul. j'espère que le réalisateur s'est bien fait casser la gueule après avoir diffusé ce film
    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Bertrand Tavernier tente de renouveler le film d’époque français en essayant de moderniser le genre. Hélas, cela ne suffit pas vraiment. On se retrouve au final devant un long métrage assez classique. La première heure est beaucoup trop longue et souffre de remplissages inutiles importants, peu présents dans la nouvelle de Madame de Lafayette. Reste malgré tout un casting masculin excellent, particulièrement Lambert Wilson qui est ici super. Grégoire Leprince est peut être le seul acteur ne réussissant pas s’imposer devant la caméra de Tavernier. Les scènes de combats restent divertissantes et bien maîtrisés, chose rare dans un film d’époque français ces dernières années.
    Valerie M
    Valerie M

    35 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 septembre 2017
    Une étoile pour Wilson, Personnaz et Ulliel.. toujours très bons acteurs...
    Le reste du casting est à jeter et gâche tout le film...
    Leprince -Ringuet devrait être sacré pire acteur français...
    Baptistos
    Baptistos

    66 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 septembre 2017
    Bertrand Tavernier reprend l'une des œuvres majeures de Madame de La Fayette, La Princesse de Montpensier. Cette femme de lettre française a révolutionné la littérature de son époque et certaines de ses grandes œuvres littéraires ont su marquer les esprits tels que La Princesse de Clèves, à l'époque écrit anonymement. Ici, Bertrand Tavernier lui rend un bel hommage en adaptant cette nouvelle sur un film d'environ 2h15, ce qui permet de découvrir de nouveaux éléments, d'enrichir l'univers et d'approfondir certains aspects liés aux personnage, à l'histoire. En respectant bien évidemment la nouvelle, le réalisateur s'autorise à prendre certaines libertés et à faire de ce film une œuvre propre et différente. La question sera de savoir si la qualité suit...Et pour vous donner une petite idée...La réponse n'est pas très rassurante.

    Le langage littéraire de la nouvelle est retranscrit sous un langage cinématographique. Le film est fidèle, mais la fidélité n'est pas forcément synonyme de réussite. Adapter une nouvelle à travers un film d'environ 2h15 demande forcément d'importants ajouts et un gros travail de la part de Bertrand Tavernier...Il y a du bon dans ce qu'apporte le réalisateur mais aussi du mauvais. Parmi le bon, on pourra affirmer que le développement des personnages est beaucoup plus complet, ce qui permet de nous projeter encore plus pleinement dans l'ambiance. L'ambiance du film s'avère être colorée, paisible malgré le contexte historique de la guerre de religion qui fait rage à ce moment. Les premiers instants du film laissaient présager quelque chose de bien plus sombre que ce que l'on pensait mais l'action laisse place à la passion qui engendre l'histoire de la nouvelle et du film, ainsi tout devient plus beau, plus calme malgré les rebondissements qui surviendront tout au long du film. En effet, l'histoire de La Princesse de Montpensier est avant tout de l'ordre de la passion, de l'amour, mais aussi le danger. Ainsi, sous ces airs de film à l'esthétique bien soigné, bien beau, bien tranquille se cache la douleur d'amours impossibles, de jalousie et de colère. Bertrand Tavernier rend ces aspects bien trop simples pour y prêter quelconque attention, le rendu en est même bien trop niais. D'autant plus que les acteurs n'arrivent pas à convaincre excepté Lambert Wilson dans le rôle du comte de Chabanes, l'un des seuls personnages intéressants, attachants et réussis. Même si Gaspard Ulliel dévoilait une prestation loin d'être ridicule, son personnage est mal amené et bien trop vite expédié. Pour ce qui est du reste des personnages et des acteurs, on a du mal à trouver de l'attachement. On parlait d'ampleur dramatique face aux passions, malheureusement Bertrand Tavernier n'a su donner aucune émotion, aucune tension, aucun suspens...À vrai dire le film est bien vide. Les seuls séquences susceptibles d'être intéressantes sont les échanges entre le Comte de Chabanes et la princesse de Montpensier. Le Comte de Chabanes fait figure de grand sage aimant, d'un humaniste en quête de paix. Le jeu de Lambert Wilson montre bien la passion amoureuse qu'il ressent pour la princesse. C'est fâcheusement trop peu pour corriger les lacunes scénaristiques, techniques et narratives du film. C'est là qu'on se rend compte que tout ce qu'ajoute Bertrand Tavernier n'est pas forcément bienvenu. En effet, il ajoute de l'ennui, chose dont on pourrait grandement se passer. Si le film fait passer un message intéressant sur les relations amoureuses de l'époque qui étaient « classées » et « étiquetées », nous regrettons tout de même l'absence de férocité, de drame et de tension.

    En conclusion, nous ne pouvons pas dire qu'il y a grand chose à dire d'exceptionnel sur La Princesse de Montpensier. Le spectateur se sent profondément ennuyé face à ce film d'une lenteur phénoménal, l'œuvre est plate, vide, sans véritable saveur et manque cruellement d'efficacité, et d'intensité. Si l'aspect fidèle et esthétique ( costumes, paysages...) réduit la déception, cela ne pourra pas sauver le film. Il y a pourtant du potentiel, mais la réalisation fait tâche.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 septembre 2017
    Bertrand Tavernier entreprend ici l’adaptation de « La Princesse de Montpensier », une nouvelle historique méconnue de Madame de La Fayette. La jeune Marie, mariée contre son gré au prince Philippe, éprouve un amour réciproque pour le duc de Guise, tout en étant désirée par le meilleur ami de son mari, le comte de Chabanes, et le futur roi de France Henri III, le duc d’Anjou.

    Si la maîtrise classique du réalisateur et ses fréquentes percées dans le film à costumes historique (« Que la fête commence… », « La Fille de d’Artagnan », « Capitaine Conan ») sont censées être de bon augure, force est de constater que plusieurs déceptions nous animent suite à la projection.

    La première, est ce n’est pas la moindre, réside dans les choix de transposition, auxquels se heurtent toutes les adaptations de chef-d’œuvre littéraire (bien que le terme soit un peu excessif pour le court récit de La Fayette, une quarantaine de pages en édition Pocket). Il s’agit ainsi pour Tavernier à la fois de caser les épisodes marquants de la nouvelle mais aussi de développer ce qui est suggéré par la prose retenue voire précieuse de La Fayette, et donc d’osciller sans cesse entre la concision classique du modèle original et une certaine dilatation propre au langage cinématographique. Le film s’enlise dans ce savant numéro d’équilibriste.

    Les passages obligés sont ainsi traités sans génie. Nous pensons par exemple au fameux épisode de la barque, pour lequel Tavernier tente un plan pictural par trop bâclé et qui ne suscite aucune émotion particulière, alors qu’il aurait pu produire un mélange de féerie et d’érotisme. Cette légèreté se retrouve dans la scène de bal et l’entrée de Maures, qui offrait pourtant tous les ingrédients pour un joli exercice de style cinématographique.

    Par ailleurs, les ajouts pratiqués dans le film sont maladroits voire agaçants, tendant à une surinterprétation un peu méprisante pour le spectateur, comme s’il y avait un besoin tacite de tout lui expliquer, à l’image de cette inscription sans ambages gravée dans les murs du château des Montpensier : « Vertu pour guide ». Si les scènes de bataille sont correctes sans être époustouflantes (c’est le moins que nous puissions écrire) et que l’audience accordée par Catherine de Médicis, entourée par sa nombreuse famille, s’avère un ajout judicieux, l’adaptation force en effet le trait sur le dilemme entre raison et passion qui anime la princesse de Montpensier et tous les personnages de l’œuvre. La haine cordiale qui sourd à fleurets mouchetés dans la nouvelle entre le prince de Montpensier et le duc de Guise éclate ici dans un duel bien viril ; la difficulté de la condition féminine qui constitue un sous-texte intéressant chez La Fayette est exprimée explicitement dans des causeries peu profondes de bonnes femmes, qui renforceraient plutôt les convictions du misogyne le moins convaincu ; enfin, et ce n’est pas le moindre reproche, le style élégant de la femme écrivain et son érotisme subtilement suggéré sont malmenés dans le film par des scènes de sexe gratuites et grossières. Il ne faudrait pas oublier non plus une fin qui traîne en longueurs, avec des rebondissements successifs montés à la va-que-te-pousse.

    Hormis ces soucis d’adaptation, le casting présente des acteurs au talent très inégal. Lambert Wilson porte littéralement le film sur ses épaules, en rendant plutôt bien l’amour digne et sincère du comte de Chabanes, ainsi que ses doutes sur la nécessité d’un positionnement politique et religieux. Gaspard Ulliel est convaincant en séducteur fougueux, Raphaël Personnaz offre quelques nuances subtiles dans le jeu du duc d’Anjou, tandis que Vuillermoz fait du Vuillermoz, ce qui ne peut jamais être mauvais. Une grande partie de la déception éprouvée, voire même d’une certaine gêne en voyant ce film, vient du couple Montpensier. La prestation terne de Grégoire Leprince-Ringuet n’est pas inhérente au rôle, Philippe de Montpensier étant en proie à des accès de fureur et de jalousie chez La Fayette, qui ne sont ici absolument pas crédibles dans leur gradation. Et que dire de Mélanie Thierry ? Ses attitudes espiègles et suggestives, ses sourires en demi-coin, semblent davantage propres à un film de maisons closes, du style « L’Apollonide », qu’à une œuvre s’interrogeant sur les gouffres de la passion et la nécessité de la vertu. La diction de ces deux jeunes acteurs, qui ânonnent littéralement leur texte, prête enfin à sourire : nous avons le sentiment d’écouter les alexandrins burlesques de la bande dessinée « De Cape et de Crocs », mais le burlesque n’est pas vraiment le ton attendu ici.

    En définitive, sans doute aussi en raison de son statut de « film patrimonial » produit par Frédéric Mitterrand, Bertrand Tavernier semble gêné aux entournures et nous livre une œuvre mineure, et même parfois franchement mauvaise.

    Il est regrettable que ce soit précisément ce film du réalisateur qui ait été choisi pour figurer au programme des Terminales Littéraires pour l’année scolaire 2017-2018, alors que le cinéma français regorge de nombreux joyaux classiques qui seraient davantage en mesure d’y convertir les jeunes élèves.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 juillet 2017
    Belle œuvre retraçant la vie de Marie Princesse de Montpensier.Tout tourne autour de la passion interdite et de la jalousie. Le film est agréable à regarder.
    pierrre s.
    pierrre s.

    425 abonnés 3 302 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 avril 2017
    Trop tendre et plombé par des longueurs cette aventure en costume est surement la moins bonne de Tavernier.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 avril 2017
    Une rétrospective tatavienne permet d'avoir une vue d'ensemble sur ce qu'aura été Tatave dans le paysage cinématographique français. Un patapouf d'un académisme sidérant auteur de pièces montées décoratives destinées à garnir des étagères en Formica. Ce coup-ci, Tatave a voulu s'attaquer à madame de La Fayette, une dame qui de son vivant ne pensait certainement pas que deux siècles plus tard un fils de bourgeois Lyonnais lui marcherait dessus du pied gauche. Tatave qui avance en âge a voulu travailler avec des jeunes, peut-être pour rester dans le coup. C'est bien Tatave de faire bosser la jeunesse, mais c'est aussi risquer de foutre en l'air leur carrière en les dirigeant comme tu le fais. A moins que Tatave ait pensé qu'il était temps de dépoussiérer le film en costume en demandant aux acteurs de jouer djeuns. On imagine Tatave sur le plateau dire à ses jeunes "On ne prononce plus, on n'article plus, on slame le texte. Allez les jeunes, on fait du La Fayette neuf trois." N'oublions pas que Tatave fait dans le cinoche éducatif, et probablement qu'ici il veut faire découvrir la littérature classique à la jeunesse des quartiers, l'occasion de leur montrer aussi qu'en matière de cinéma il existe autre chose que Scarface, que tout jeune de cité possède dans sa DVDthèque. Tout ça est plein de bonnes intentions Tatave, ta volonté d'apporter le savoir au peuple est tout à fait louable, mais je te le dis et te le répète une fois encore : Tes films nous enquiquinent ! Tes personnages sont trop sages, tes dialogues sont ternes, tu fais des films où il ne se passe absolument rien, il n'y a pas de passion, il n'y a pas d'émotion, il n'y a pas d'intrigue, il n'y a pas d'humour, il n'y a tout simplement pas de sève. Tu ne comprends pas que Melanie Thierry n'est pas un actrice de premier plan. Elle est insipide, mais parce qu'elle est jeune tu crois qu'elle va plaire au public d'aujourd'hui. Tes films, ce sont des arbres creux que tu fais pousser depuis 40 ans Tatave. Les spécialistes de l'époque disent en plus que ton film est anachronique en bien des endroits, alors question éducation tu repasseras. Tatave, de toute façon, s'en fout de ce qu'on dit sur son cinéma. C'est le général de Gaulle du cinéma français Tatave, il est couvert d'honneurs, de récompenses, reçu dans tous les lycées français comme l'homme qui a vu l'ours en peluche, alors vous pensez bien qu'il s'en fout Tatave qu'on dise que Sa princesse de Montpensier à autant de saveur qu'une tarte au poireau.
    Wagnar
    Wagnar

    80 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 janvier 2017
    Une évocation historique splendide réalisée de main de maître par Bertrand Tavernier. La réalisation est parfaite, les costumes superbes et les acteurs impeccables, Mélanie Thierry (lumineuse) et Lambert Wilson en premier. Un film historique de génie comme on en voit peu ces temps-ci dans le cinéma français et que l'on se doit de visionner pour tout ceux qui s'intéressent à l'histoire de la France. On est plongé dans l'esprit d'une époque délicieusement ambigüe, mêlant cynisme, libertinage, délicatesse, violence et raffinement.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 décembre 2016
    Ce film n'a aucun intérêt. Les combats sont nuls, les dialogues sont nuls, les acteurs ne sont pas meilleurs, le scénario est ennuyeux et la mise en scène est inexistante.
    Si vous voyez de vraies qualités à ce film, prévenez-moi, car moi je n'en ai pas vu une seule. Pour finir Bertrand Tavernier plutôt connu et apprécié comme réalisateur a signé là un très vilain travail.
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    11 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 août 2016
    quelle déception, que de bavardages inutiles pendant près d'une heure avant que l'histoire ne démarre. Finalement nous n'apprenons rien au niveau historique; il s'agit simplement d'une lutte entre quelques mâles (dont le roi). Les acteurs en dehors de Lambert Wilson sont particulièrement mauvais avec une palme pour Grégoire Leprince-Ringuet.
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