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ElBlasio
32 abonnés
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3,0
Publiée le 31 octobre 2010
Un film au potentiel énorme qui accouche malheureusement d'une souris. Avec une telle histoire, absurde et touchante à la fois, un casting parfait, on était en droit d'espérer une comédie déjantée et décomplexée. Malheureusement, Grant Heslov semble manquer de recul sur son sujet, se contentant d'adapter ce scénario sans une once de second degré. Ca reste sympa, drôle et divertissant mais ça ne s'affranchit pas de l'anecdotique. Dommage car Clooney n'est jamais aussi bon que lorsqu'il joue l'allumé, Jeff Bridges se "dudise" le temps d'une ou deux scènes. Vraiment dommage par contre que Kevin Spacey soit aussi sous-employé.
j en ressort drôlement déçu car je ne m attendais pas un scénario si étrange et surtout qui n arrive pas à trouver de quel côté il doit se positionner..... satire de l Armée , bêtise humaine , humour cynique .... on ne sait pas vraiment au final où il veut en venir.... même si le film est porté par un casting sensas ! et heureusement sinon je pense que ce film serait passé à la trappe. l intrigue est totalement farfelu voir barer il faut des le début le regarder avec dérision et décalage ensuite son humour fait effet car il faut le dire les personnages pour le coup sont bien gratinés !! après sa s arrête la car le scénario manque cruellement d intérêt et surtout de détail on rigole à certain moment mais on s ennuie un peu aussi on se demande souvent quand l intrigue démarre dommage car l idée était bonne mais mal exploitée
On pense à un mixte entre "O'Brother" des Coen avec "X-Files"... La premère partie est plus sympa avec une satire loufoque de l'armée mais manque d'un rythme plus soutenu. La seconde partie est moins lente mais elle part dans un trip (c'est le mot) qui sort l'histoire de son contexte... On en sait plus trop ou on veut nous mener. Le film d'espionnage paranormal finit en eau de boudin. Heureusment il reste une grande qualité, le casting. Car eux apparemment y croit à leur film, les acteurs s'en donnent à coeur joie et ça se voit, Clooney et Bridges en première ligne ; la 2nd étoile est rien que pour eux... Car sinon il faut bien avoué que le rythme joue les montagnes russes.
Attention, voilà encore un cas de bande-annonce trompeuse. Elle nous promet une comédie délirante ou au moins drôle, il n'en ai rien. Avec un sujet en or (et vrai !) et un casting au quatuor quatre étoiles pour son premier film Grant Heslov réussit à rater son film. Celui-ci n'a aucune unité, aucun rythme, les scènes se suivent comme des sketches individuels pas franchement drôles. Il y a avait pourtant matière à quelque chose de complètement délirant et loufoque. On ose imaginer ce qu'en aurait fait un Robert Altman au mieux de sa forme, un Sydney Lumet ou les frères Coen. Ici tout devient vite poussif et on finit par s'ennuyer. Le beau casting masculin ( Ewan McGregor, George Clooney, Jeff Bridges et Kevin Spacey) ne change rien à l'affaire, même si aucun n'est mauvais, ils sauvent même plutôt les meubles. Le seul truc drôle est la pré-bance-annonce américaine pas vue chez nous. Bref si vous voulez vraiment rire devant une bonne comédie allez voir donc L'arnacoeur ou Soul kitchen...
Le film démarre sur les chapeaux de roues et enchaine les gags et les situations abracadabrantes. Dommage cependant qu'il connaisse quelques baisses de rythme et qu'il n'y ait pas vraiment de scénario. Inutile de bouder son plaisir toutefois : c'est extrêmement drôle et l'alchimie évidente entre les interprètes permet de faire partager une bonne humeur communicative. On aurait simplement voulu encore plus d'absurdité...
Il faut vraiment le faire exprès pour rater à ce point un film avec d'aussi bons atouts (acteurs, exotisme, humour, hollywood,..) dans sa main. On se demande comment de tels acteurs peuvent être autant sous utilisés sans croire à un vaste complot paranormal visant à déstabiliser le roi du nespresso ou le héros d'usual suspects! A oublier rapidement. Quasiment rien à garder si ce n'est trois bonnes blagues déjà vues dans la bande annonce.
Si le titre et la bande annonce laissait entrevoir une sorte de délire loufouque, "Les chevres..." ne tient pas la distance et se perd en verbiage et en attitude poseur. L'humour finit par se faire rare au fur et à mesure que la mécanique tourne à vide malgré des comédiens qui assurent il faut dire que Clooney s'amuse beaucoup en simplet tandis que Jeff Bridges est toujours aussi savoureux en soldat hippy.
Précédé d’une bande-annonce prometteuse et d’un casting de haute-volée, ce film de guerre d’un genre plus que particulier séduit, surtout pendant la première heure. Les gags visuels et les répliques improbables fonctionnent parfaitement, incarnées par une brochette d’acteurs tous formidables d’autodérision : Ewan Mac Gregor, George Clooney, Jeff Bridge et Kevin Spacey, excusez du peu… Seule la dernière demi-heure donne un peu l’impression de tourner à vide, comme si le sujet était déjà épuisé, c’est curieux et dommage pour un film qui ne dure qu’1H ½ ! Evidemment, il s’agit là d’un humour plutôt potache et bon enfant, rien de révolutionnaire ni de très fins ou spirituel mais qu’importe ! Pendant les années Reagan, l’armée américaine, la plus grande et le plus moderne armée de l’Histoire (surement influencée par le succès de « Star Wars » et des chevaliers Jedi) a réellement penser à utiliser la parapsychologie comme nouvelle arme de guerre, il y a de quoi s’interroger… Il s’est trouvé des élus américains pour trouver des financements à ce genre de recherches farfelues. Du coup, on est à peine surpris d’apprendre que, ébranlé par les évènements du 11 septembre, il s’est trouvé des gens dans l’armée US pour remettre au gout du jour les « expériences » psychologiques, cette fois au service de la manipulation des informations et de la torture (le côté obscur de la Force, en quelque sorte !). Faire une comédie sur la guerre d’Irak était déjà une entreprise audacieuse, mais y intégrer des références (discrètes) à Abou Graïb, à Blackwater et autres scandales de l’administration Bush, c’est plus que délicat, ça ne met pas toujours très à l’aise… Reste que, sans être révolutionnaire et exempt de tous défauts, le film rempli son objectif : lever le voile sur un pan très mal connu de l’armée US par le biais de la comédie et rien que pour y trouver matière à réflexion, ça vaut le coup de le voir.
Adapté du best-seller de Jon Ronson, The Men who stare at Goats bénéficie d'un casting en or ayant un jeu plus que convaincant, scénario intelligent et déjanté, des gags subtils, références aux mouvements pacifistes et à Star Wars. Ce film caractérise la naissance, l'âge d'or, puis la déchéance et la perversion d'un mouvement de paix, d'une philosophie, d'un mode de vie par le biais de flash-back, et de la conversion du journaliste à ce mouvement. On pourrait comparé ce film ce film à M.A.S.H. et Three Kings, pour son côté utopique et tranche de vie, mais il ne fait aucun doute que ce film trouvera sa place dans le coeur de tous!!!
Grosse déception que ce film au quatuor de stars très prometteur. Alors que sa femme le quitte, Bob (Ewan McGregor) décide de partir avec sa colère au Koweït pour écrire sur la guerre en Irak. Là, il rencontre Lyn Cassady, un illuminé qui va lui faire découvrir l’existence d’une unité de l’armée entraînant des soldats à développer des superpouvoirs. J’attendais une comédie satirique dynamique et enjouée, je me suis retrouvé devant une comédie se contentant d’aligner une succession de scénettes loufoques. Certes celles-ci sont servies par de brillants acteurs mais l’ensemble n’a pas réussie à vraiment m’enthousiasmer. La voix off omniprésente qui sert de lien, finit aussi rapidement par lasser. Il y a bien sûr le plaisir de retrouver 4 acteurs d’exception au même générique, Ewan McGregor (3ème film vu avec lui cette année déjà), Jeff Bridges, Kevin Spacey et un George Clooney en très grande forme en paranoïaque moustachu traumatisé depuis qu’il pense avoir tué une chèvre pas la pensée, mais malheureusement ce n’est pas suffisant. Ce n’est pas que le film soit mauvais, je dirais plutôt qu’il est raté. Il ne m’en restera donc qu’un maigre souvenir.
Une comédie qui ne me fait pas rire et une conclusion qui s’impose à moi : ce n’est pas mon genre d’humour ! L’humour anti-français et les allusions au chevalier Jedi faites à un personnage interprété par un acteur ayant campé un chevalier Jedi sont encore ce qu’il y a de plus réussi dans le film. Il y a quelques scènes et dialogues sympa mais il y a un gros problème de scénario et de mise en scène. Que c’est lent et long. Le film à éviter en ce début d’année !
Un film très drôle, jouissif à regarder et on se demande à chaque moment si c'est vrai ou non et on s'amuse à s'imaginer que la réalité soit ainsi. La bande originale est à l'image du scénario, c'est-à-dire excellente. Et même s'il existe parfois un manque de rythme et quelques manquements, l'ensemble est soigné et accrocheur !!
Bien que bénéficiant d'un accueil assez tiède, The men who stare at goats (les hommes qui regardent les chèvres) est pourtant une comédie avec un sujet original et risqué, des scènes très drôles et des acteurs géniaux comme George Clooney ou Jeff Bridges hilarants, Ewan Mc Gregor formidable ou Kevin Spacey parfait en méchant. Alors que le sujet pouvait faire craindre de sombrer dans le plus parfait ridicule, il n'en est rien. Le film sait se faire très drôle et en devient de fait un très bon divertissement. Après, la réalisation laisse parfoi sceptique et les flashbacks sur la formation du personnage de Clooney arrivent comme des cheveux sur la soupe, mais le fort potentiel comique des situations, le plaisir des acteurs et la BO rythmée font de ce film un excellent moment. A découvrir.
Un film décalé avec un thème plutôt bon et une voix-off narrative intéressante mais un scénario quasi absent qui fait que le film manque de tension et d’intérêt. Le casting est excellent, l’ambiance décalée sympathique mais au final, c’est longuet pour pas grand-chose. Et ne c’est pas trop quoi en penser.
Le paranormal dans l'armée américaine, c'est un sujet polyprometteur qui permet ici de faire à la fois un film de guerre, une comédie et une histoire à frissons. Heslov, qui hésitait à l'époque à passer d'une carrière d'acteur à celle d'un producteur, s'en tiendra là pour sa deuxième expérience de réalisation.
Les Chèvres du Pentagone, en fait d'être à proprement parler "écrit", tient plus du jeu à points entre les croustillants phénomènes parapsychiques dont il fallait absolument parler, et qu'on tenait à mettre dans les mains de Clooney pour qu'il en fasse l'espèce de bouillie de polaroïd un peu cringe et un peu rigolote avec laquelle l'Amérique se distrait aussi bien au premier degré qu'au second.
Au-delà de ça, sa non-linéarité ne reboucle pas, ses références multiples à Star Wars frisent la lourdeur en révélant la vacuité de la narration (oui, McGregor a vraiment joué un Jedi et c'est rigolo parce que le truc s'appelle le projet Jedi, on a compris, c'est bien) et les quelques stars s'effacent mutuellement sans avoir une idée bien précise de ce vers quoi leurs rôles tendent. Si quiconque l'a su.
Amusant par son côté dérisoire, c'est un film sans plan B qui peine à passer à autre chose que le filon assez pauvre dont elle a hérité, et qu'elle faillit tout à fait à déringardiser.