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Un visiteur
4,5
Publiée le 13 mars 2011
Une histoire magnifique et très émouvante dans laquelle l'amour reste plus fort que la maladie et la mort. Des acteurs formidables, tout en finesse et subtilité , un film qui aurait mérité de faire parler de lui beaucoup plus . Un bijou du cinéma français.
film avec un très beau titre accrocheur et poetique qui nous donnait vraiment envie de voir le film Hélas, on ne s'attendait pas à tomber sur une telle guimauve , dégoulinante de bons sentiments . Un film pour se rincer l'oeil au détriment de l'actrice . On est sensé pleurer. En réalité , on essaie tout simplement d'échapper aux innombrables plans de fesses ( fort belles au demeurant) que ce réalisateur nous inflige pour compenser un scénario déficient. Ce regard lubrique posé sur l'actrice gêne le spectateur plutôt qu'autre chose. D'une minute à l'autre , on s'attend à voir le logo d'une pub pour savon moussant. On finit par y échapper . cela rend presque supportable cette fin sinistre accompagné de discours intello à deux balles . Ce regard sale et cynique sur un thème qui aurait pu apporter tant d'émotions ne nous lâche pas , plusieurs heures après qu'avoir quitté la salle. Mauvaises ondes , j' vous dis !
Très joli film, bouleversant bien sûr de par le thème qu'il traite, même si j'avoue l'avoir trouvé assez inégal, comme s'il y avait une première et une deuxième partie (nettement plus intense à mes yeux, y compris dans le jeu des acteurs). La première partie m'a en effet parue assez figée, pour ne pas dire sacadée ... Impression personnelle ou choix délibéré du metteur en scène ? Le fait est que ça m'a un peu gênée et que ça m'a laissé une impression assez mitigée ...
Certainement le meilleur film de l'année 2008 ... Je regrette que ce film ne soit diffusé que dans 16 salles en France ... L'histoire et les acteurs sont bouleversants d'humanité et de réalisme . Salomé Stevenin et Nicolas Giraud sont excellents . Ce film est un chef d'oeuvre ! n'hésitez pas courez y ! Vs en ressortirez vrt conscient de ce qu'est la vie et qu'elle ne doit pas etre vécue sans amour ... un véritable hymne a la vie !
Une histoire d'amour entre deux êtres dans laquelle la maladie fait son entrée. En évitant tout matos et tout mélodrame excessif, le réalisateur dresse le portrait d'un couple qui s'aime et qui doit affronter le pire. Grâce à ces deux comédiens, qui se donnent corps et âme, on ressort bouleversé de la salle.
Bof bof, le film ne partait pas sur une mauvaise idée mais il y a 2 gros problèmes dans ce film: Primo le jeux d'acteur, je m'étonne qu'aussi peu de personne le remarque... pendant la première demi-heure ca saute aux yeux, les dialogues sonnent horriblement creux... et puis avec le temps ca s'améliore un peu (a moins qu'on s'y habitue ?). Le deuxième problème est les scènes d'amour. Pourquoi le réalisateur passe son temps à filmer le corps nue de l'actrice principale ? ou est l'intérêt ? que cherche t il à nous faire comprendre ? Bref, il en faut plus pour nous satisfaire.
Film très touchant, d'autant plus pour les personnes comme moi qui ont vu un proche s'éteindre progressivement qui cherchait malgré tout à profiter de tout tant qu'il peut. Bon casting avec un Nicolas Giraud très touchant, et une Salomé Stévenin très convaincante qui semble dresser un mur autour d'elle pour ne pas montrer ses faiblesses. Juste un peu déçu que leur amour n'est pas continué à travers un bébé.
Ce film est soporiphique, je l'ai trouvé plat des les premières images. Pourtant le sujet traité pouvait donné lieu a de grandes envolées Lyrique hélas il n'en est rien les acteurs jouent mal, aucune justesse au niveau des emotions qui sont surfaites et mal exploitées. les dialogues sonnent creux et faux. On ne ressent rien de la force des sentiments sensés unir ces deux êtres qui s'aiment, Ni de la tristesse de salomé stevenin, dont la Nudité ne semble là que pour divertir l'oeil du spectateur et n'a souvent aucun lieu d'être, elle est gratuite et n'apporte rien au film sinon une touche de voyeurisme. Des fesses filmées sous tous les angles on en a à foison dans des pubs pour déo ou gel douche. En résumé une histoire interessante mais dont la réalisation et l'interprétation laisse largement à désirer. Il manque la force des mots, des émotions, des images. manque la fogue tout simplement. on ne peut pas traiter d'un sujet tel avec une telle molesse, je regrette donc d'être allé le voir.
Très beau film, lumineux en dépit du sujet tragique qu'il aborde avec beaucoup de sensibilité et de pudeur. Salomé Stévenin fait preuve d'une grande maîtrise de son rôle et habite son personnage. Son partenaire masculin se trouve du coup un peu en retrait, ce qui est dommage car il est lui aussi excellent. Les histoires d'amour finissent mal en général ; celle-ci, entamée dans la touchante timidité de deux futurs amants, se finit sur une plage inondée par le soleil couchant, dans une autre dimension, un autre espace-temps... Profondément humain, profondément optimiste, triste mais réconfortant, ce film est à l'image de la vie qui nous ôte ceux qu'on aime et qu'on n'oublie jamais.
Biiiiip. Le premier plan sonne faux, archi faux, c'est tout sauf la vraie vie. On regrette déjà d'etre venu. Finalement on est pas déçu; ça ne s'arrange qu'avec le clap de fin. ... J'irai bien revoir "ma vie sans moi", tiens...
Grosse surprise que ce film, de René Féret je n'attendais plus rien depuis BIEN longtemps, je dois avouer. La pudeur avec laquelle le sujet de la maladie est traité ici demande le respect. La galaxie Stévenin ne cesse de surprendre, et cete fois-ci c'est la douce et belle Salomé qui émerveille dans un rôle des plus casse-gueule. Je trouvais le titre atroce et/ou racoleur (?), mais la mise-en-scène de Féret rend toute sa noblesse aux interprètes et au sujet. Courez-y.
L'amour, la mort... Cet antagonisme nourrit le film de René Féret. L'amour est superbement illustré par la scène (au début du film) où Nicolas Giraud dit à Salomé Stévenin qu'il veut vivre avec elle et avoir un enfant. L'amour devient surtout un langage, celui des corps, d'abord émouvant dans "leur première fois" puis au fur et à mesure du film plus dérangeant, plus provoquant ("on a le droit de faire l'amour avec un grand malade, avec un corps qui se décharne au fur et à mesure que la maladie avance" semble dire le film). Puis cela paraît être le seul échange possible, pour elle, lui dire qu'elle l'aimera jusqu'au bout, pour lui, de croire qu'il peut apporter encore quelque chose à quelqu'un... A côté de tout cela il y a tous les autres : ceux qui devraient être là mais qui ne savent pas quoi faire, ceux qui ne voient que souffrance alors que c'est l'espoir qu'ils devraient voir, toutes ces lâchetés qui renvoient le spectateur à ses propres interrogations : quel courage j'aurais face à ma maladie, pire peut-être à celle d'un proche. Plus que la mort, et c'est sans doute une des forces du film, c'est le travail de deuil qu'illustre le film : pour l'héroïne du film, la fin annoncée lui permet de le faire différemment : l'agonie en constitue le premier élément. Cela peut gêner (comment peut-on passer à "l'après", alors que rien ne s'est encore passé ?)et c'est très peu représenté au cinéma. Tout cela soutenu par des acteurs qui s'engagent dans leur rôle de manière juste et forte.
Ce film n'est pas unique sur ce sujet : impossible de ne pas penser à Chéreau "Son frère" où là aussi le corps est présenté mais comme une carcasse aux mains d'une institution médicale, à Ozon, "au temps qui reste", à "Haut les coeurs" sur l'amour (pour un enfant à naître) et la maladie... C'est un autre regard, que "Comme une étoile..." porte : sur le savoir aimer jusqu'au bout alors qu'on sait que la fin sera inexorable et douloureuse. Très beau film.
Jamais on a vu autant de deballage de chair, gratuite et presque obscène, et si peu de tenue dans la réalisation. On comprend que les réalisatrices refusent de plus en plus de se preter à ces tournages libidineux. On se demande quand ces réalisateurs d'age mur cesseront d'exploiter le corps de belles nymphettes pour remplumer leurs entrees . Quand comprendront ils que nos corps ne leur appartiennent pas et que plus ils voudront nous vendre aux regards du public, plus nous fuirons leurs films décérébrés. Pourtant,j'aimais bien René Ferret avant et appréciais ses films. Mais malheureusement,il ne bonifie pas avec le temps . Dommage . je ne le voyais pas se spécialiser dans les films de ce genre et m'étonne qu' aucune censure ou avertissement n'ait eu lieu. J'ai eu honte d'avoir emmené ma fille . Je croyais que c'etait un film d'auteur, c'est tout betement un film X, meme pas couillu !=
Un sujet tout-à-fait intéressant mais un traitement ô combien lamentable! La relation si profonde entre les personnages n'est pas perceptible et l'omniprésence de la paire de fesses dénudée de l'actrice ainsi que de son pubis rasé fait moins de ce film une ode à la vie qu'un plaidoyer pour la futilité et la superficialité assumées.