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    Looking for Eric
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    518 critiques spectateurs

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    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 246 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2023
    Quand Ken Loach se met à la comédie sociale, avec un scénario un peu confus, la révolte des gentils... et surtout l’utilisation amusante d’Eric Cantona en ange gardien philosophe. L’ensemble est brouillon mais se regarde plaisamment, avec une belle prestation de Steve Evets.
    rayonvert
    rayonvert

    17 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2009
    Beau film de Ken Loach, émouvant et drôle à la fois qui perd de sa force lorsqu'i glisse vers le polar. Les personnages sont tous très attachants et Eric Cantona est formidable en génie de la lampe magique.
    jane_goodale
    jane_goodale

    19 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2009
    Formidable !!!!
    Quelques précisions: je suis une femme qui n'est ni une fan de foot ni une fan de Cantona.

    Ce film est drôle, émouvant, humaniste et jouissif !!!! Mesdames, avec ou sans votre footeux de compagnon, allez-y, vous ne le regretterez pas !!!!
    Cyril B
    Cyril B

    13 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2009
    Un bon film, mêlant drame et beaucoup d'humour. A voir absolument en VO pour pouvoir avoir toutes les subtilités dues aux courts passages qui sont en Français.
    Julien D
    Julien D

    1 127 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2012
    Si Cantonna est tout sauf un grand acteur. Ses dialogues à la fois drôles et intelligents font de son rôle de coach imaginaire pour de ses fans beauf et dépressif en recherche de confiance de soi, d'autorité sur ses fils et surtout de reconnaissance de son ex, un personnage attachant. Mais, en parallèle à ça, l'histoire de la résolution des problèmes du fils complice d'un skin psychopathe qui occupe entièrement la dernière demi-heure est parfaitement inutile. Ken Loach n'a donc pas le talent de réalisateur de comédies mais ça ne coutait rien d'essayer.
    Félix F
    Félix F

    213 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 février 2010
    Beaucoup de blabla, des décores typiques anglais (personellement c'est pas mon truc) pour un film qui met pas mal de temps a démarré. Cantona sert juste de Guest pour ainsi dire, seul la fin du film relève le niveau, mais c'est pas encore une grande réussite à mon gout.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    165 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juin 2009
    Comédie humaine et sociale réussie où la tendresse est plus de rigueur que l'hilarité pour au final en faire un film mignon et gentil mais qui ne cassera pas trois pattes à un canard. Le duo d'acteur est fort sympathique et le King Canto joue plus sur son charisme qu'autre chose, mais au final cela permet tout de même de passer un moment agréable. Looking for Eric n'est pas une priorité mais peut se regarder à l'occasion sans aucun problème même pour les anti football.
    totoro35
    totoro35

    90 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Après plusieurs opus en demie teinte, le cinéaste étant le plus souvent plus préoccupé à décrire un milieu qu'à raconter une véritable histoire, Ken Loach revient à un cinéma plus simple et plus humain avec cette fable agréable, à la fois drôle et touchante, portée par l'interprétation habitée de Steve Evets et par l'autodérision d'Eric Cantona. Dommage que le film perde beaucoup de sa force dans une seconde partie s'encombrant inutilement d'une sous-intrigue policière à la résolution certes amusante mais pas franchement crédible.
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juin 2009
    Voilà donc Cantonna dans l'univers de Ken Loach: celui des cabossés de la vie –et de l'amitié entre ces cabossés là. Eric Bishop (l'excellent Steve Evets), postier dépressif, ne se remet pas d'avoir planté là sa première épouse, épousée trop jeune, avec sa petite fille. Il se trimballe deux abominables beaux-fils, qui encombrent la maison de matériel volé et de copains douteux. Il a complètement baissé les bras; il lui reste la légende du Manchester United, le pub -et les copains de la poste qui tentent de le remettre sur pieds, de le faire rire -rien n'y fait. Jusqu'à ce qu’apparaisse dans sa chambre son Jiminy Cricket sous la forme de son idole: Eric Cantonna. Qui va lui redonner, à grand renfort d'aphorismes à la mords-moi-le-noeud (qu'il traduit en anglais approximatif avec un accent à couper au couteau!) le goût de se battre, de se reprendre en main... et de faire confiance aux autres. Quand il s'agira de sauver la famille et l'aîné des fils, tombé dans les pattes d'une menaçante crapule, c'est toute la poste de Manchester, affublée de masques de Cantonna, qui va débarquer de bus de supporters où les battes de base-ball ont remplacé les trompettes, pour aller donner à la petite crapule une leçon qu'il n'est pas prêt d'oublier. Inattendu chez Loach, il y a une happy end digne d'une comédie américaine mais qu'on ne s'y trompe pas: c'est un film largement aussi politique que les précédents. La leçon c'est que, pour s'en sortir, il faut faire du beau jeu: il faut faire collectif. Vous vous souvenez, dans son précédent film, it's a free world, l'héroïne avait décidé de jouer complètement perso, égoïste. Elle s'en sortait -dans quel état. Après ce contre-exemple, après cette dénonciation amère du monde libéral où nous vivons, c'est une sorte de conte de Noël que Loach réalise avec la complicité d'un Cantonna épatant. A voir, bien sûr, et si vous n'aimez pas le foot, ce ne sont pas les quelques images d'archive des meilleurs buts du grand Eric pour vous faire peur!
    The Claw
    The Claw

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2014
    Franchement, ça commençait mal. Entre un personnage central complètement dépressif et une photographie dans les tons bruns/gris/vert kaki, j'avais juste envie d'arrêter le film au bout d'une demi-heure. Mais heureusement, j'ai tenu. Oui, "heureusement" car tout va bien mieux par la suite, Eric Cantona fait son apparition et apporte un peu de gaité à tout ça, et puis on est vraiment porté par l'histoire, qui devient de plus en plus intéressante au fur et à mesure que le film avance. Au final, j'ai vraiment beaucoup aimé ce film.
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2009
    Après Almodovar, Loach... encore un cinéaste non récompensé cette année à Cannes... Attention Isabelle, il va falloir que les films primés soient très bons pour surpasser les recalés. Car Loach est vraiment remarquable dans ce film tout en nuances où l'émotion perle à chaque image... Cantona dans son propre rôle est parfait, aussi bon que dans les images d'archives de ses plus beaux buts!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 janvier 2010
    petite comédie british assez sympathique, qui se laisse regarder, assez inégale, une seconde moitié plus réussie mais très en rupture avec la premiere partie. cantona est juste un pretexte rigolo pour dérouler l'histoire, c'est pas si mauvais que ça... envie de mettre deux etoiles.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    40 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mai 2009
    Ken Loach s’offre un intermède dans le domaine de la comédie avec ce film tour à tour drôle, émouvant et grave par moments. S’appuyant sur un scénario très original – un postier dépressif qui a raté sa vie va trouver réconfort et tonus auprès de son idole de toujours Éric Cantona – il réussit à croquer le quotidien des banlieues anglaises avec humour, dérision et tendresse. Ce petit bijou d’humour typiquement britannique souffre malgré tout de quelques longueurs. Éric Cantona, dans son propre rôle, semble beaucoup s’amuser et va encore renforcer outre-manche son statut d’icône indéboulonnable. La rencontre entre Ken Loach et notre footballeur-acteur, également initiateur et coproducteur du film, est une surprenante réussite.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 janvier 2011
    Bon film de Ken Loach, sur la relève d'un homme dont la vie bascule vers le côté obscur de la force - je veux dire décadence psychologique, familiale, vitale, socio-professionnelle... En soi, donc, un film plutôt sympathique - au sens d'un film "de gauche" : ça parle la quasi misère, le laisser-aller dans la pauvreté, en somme l'horizon du film tente d'être le plus représentatif possible d'une réalité bien malheureuse, dans une ville post-industrielle comme Manchester. Ce qui fait la richesse d'une vie n'est pas l'argent, puisqu'il n'y en a guère: c'est plutôt la choppe de bière dans le pub du coin, quand ce n'est pas la petite combine illégale comme la rapine pour subsister. Tout ça est bien traduit, si l'on veut, dans la mise en scène du domicile d'Eric Bishop, le personnage principal, qu'on voit au début du film dans un état de délabrement et de bordel assez significatif. La seule richesse - richesse étant bien entendu ici à prendre avec toute l'ironie possible - c'est le nombre impressionnant de Téléviseurs, presque derniers cris, qui sont présents dans chaque pièce de la baraque.
    Bref, ça c'est l'horizon général dans lequel se développe le film, et bien caricaturé par la première scène, qu'on ne comprend qu'après, où Eric est dans sa voiture, un peu cinglé, et tourne autour d'un rond point en sens inverse, la tête dans le guidon. Mais tout ça, c'est en quelque sorte le symptôme à partir duquel Ken Loach a décidé de partir pour accéder à la cause du problème, à l'origine des maux. Cette origine, c'est l'échec de son premier mariage et la séparation d'avec ce qu'il faut bien appeler la femme de sa vie, Lilly, qu'il a abandonné par peur, peur devant sa responsabilité de père. Bref le trajet psychologique d'Eric est une longue descente aux enfers, à partir de cette première fuite de la réalité, puisque chaque action n'est que l'occasion d'une perte supplémentaire de confiance, d'une nouvelle fuite, d'un nouvel abattement. En somme, Eric est une mauvaise conscience : comme condamné au remords, à la conscience toujours réitérée de l'échec et de la fuite, il est le peureux qui perçoit sa faute et sa culpabilité partout, en permanence. Tout ça sur fond d'échec familial : Lily ne lui parle plus, ses deux beaux-fils qui habitent chez lui font la loi, et lui s'enterre encore plus, jusqu'à voler du chichon dans la cache de l'ainé.
    Là-dessus, événement un peu drôle et surtout un peu farfelu, apparition de Cantona, l'anti-Eric Bishop, l'homme du charisme naturel, de la confiance absolue, du courage, bref, du vainqueur. Le héros de Bishop, son double (Eric), mais inversé, l'anti-Bishop, vient sauver Bishop sous la silhouette d'une projection psychologique, d'un dernier recours inconscient, ou je ne sais quoi... Au-delà de l'amusement, on ne comprend quand même pas trop cette vérité inconsciente, ce bien inconscient, enfoui, mais toujours là pour sauver la conscience au dernier moment. On dirait du Freud raccourci et raté... Bon cela dit, le personnage de Cantona - lui-même, donc, mais projeté par l'inconscient de Bishop - est réussi, parce qu'il n'est pas pris au sérieux, parce qu'il est même moqué. On retrouve donc un Canto hyper-cliché (qui a explicitement pris du plaisir à ce petit jeu d'auto-dérision), avec des proverbes super prétentieux et non crédibles (du genre "ne lâche jamais rien", "la victoire n'appartient qu'à celui qui prend des risques"...), contre lequel Bishop lui-même se révolte (donc conscience qui se moque de l'inconscient, ce qui sauve un peu le tableau).
    Dans l'ensemble, bonne réalisation, sans trop en faire comme d'hab, et très bon jeu des acteurs (notamment Steve Evets, alias Bishop), Canto compris. Un peu trop d'insistance sur les jurons, quand même, on a compris au bout d'un moment (fuck...). Bonne incursion malgré tout dans ce milieu anglais du football, avec ses fans à la limite du hooliganisme, de la ferveur, de la passion, où rien ne compte d'autre que le foot. Et puis idée ("de gauche" encore une fois) que le groupe, le collectif, comme dans une équipe de football mais ici transposé à la vie quotidienne, sont toujours plus forts que l'individu, que la conscience malheureuse ou la brute solitaire : ça c'est quand même un peu chiant à la longue, et on nous rabat les oreilles avec cette idée mégarelou (société égoïste et individualiste, nous t'opposons notre âme collective...)... Ken, Ken, c'est pas aussi simple, tu sais... Ce qui est drôle (affligeant), c'est que le film transpose cette idée aussi reçue qu'inefficace en termes de football : ce que dévoile Canto, c'est qu'il n'a pas été surtout marqué par ses buts (individualisme, égoïsme, culte de soi, idolâtrie), mais par une passe (collectif, générosité, bienveillant, altruisme...). Bon côté musique c'est pas énormissime, à part un truc que j'aime bien, les chants collectifs (ici de supporters), mais c'est raté.
    Donc 14/20

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's ciné:
    http://tchingscine.over-blog.com
    galau7
    galau7

    28 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2009
    Décevant! Le film hésite entre un hommage à Cantona, un drame de société et le comique de situation. Et le spectateur se perd en route...Restent de superbes buts et quelques sourires amusés.
    Ohé, ohé Cantona....
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