Un beau conte de Noël de l’année Abondamment de référence inspirée vers les arts cinématographes mécaniques tirés du siècle Photo ! J’aurais dit Steven Spielberg spirituellement me fera penser Qu’au siècle et siècle des lumières frères marché Les gens étaient des impressionnistes Le cri 😱du fond au cœur venu du pôle nord enneigé père Noël artiste peintre Simples curieuses créations Collection de la nature Obéissez aux lois Tel cet orphelin C’est non négociable Rebelle cause toujours Un mystère de bonhomme et une énigme à résoudre Affaire personnelle chef-d’œuvre
C'est un très beaux film émouvant, drôle, plein de rebondissement. J'aurais pus mettre 5 étoiles mais il était un peu trop long à mon goût. Je recommande Hugo Cabret
Ça commence comme un conte pour enfant qui serait réalisé par un trio T.Burton-S.Spielberg-L.Besson, dans un splendide décor d'une gare parisienne des années 30: le jeune Hugo Cabret, son univers, ses aventures, ses rencontres, le tout entre magie et dramaturgie. La mise en scène très soignée nous rend plus contemplatif que captivé par cette histoire charmante à laquelle on cherche tout de même un intérêt. Puis, M.Scorsese décide enfin à dévoiler son vrai sujet: rendre un hommage à la création du cinéma, aux frères Lumière, et particulièrement à G.Méliès: à la génése de son oeuvre et à sa destinée incroyable et oubliée. Filmé par le spectre de son jeune héros et de son univers fantaisiste, l'hommage évite l'écueil de la biographie à thèse, pour une affection adulatrice pour la fabrique à film de cet artiste-réalisateur fantasque, inventeur de la science-fiction au cinéma. "Hugo Cabret" est une oeuvre étonnante dans la filmographie de M.Scorsese, qui délaisse ici la violence contre les bons sentiments. Mais ce n'est pas étonnant de le voir mettre en scène, encore ici de manière sublime, un confrère de cinéma qu'il admire et encense, comme le créateur de la mise en scène moderne. Ce qu'il oublie de signaler, par simple humilité, est qu'il en est un illustre héritier.
LE PRIX MELIES. L'arroseur arrosé. Scorsese accroché à un rêve, s'aventure à des années lumières du voyage dans la lune. Le petit Hugo cabré sur ses petites pattes arrières regarde en numérique! l'ampleur des dégâts de son horloge biologique. Une Lumière d'ambiance triste sur les frères. Harold Lloyd a aimé sa scène.
je ne comprend pas les grands critiques du 7eme art qui font la fine bouche sur ce film de Scorcèse dont la distribution, l'ambiance la photo et le thème sont simplement envoutants .... sacha baron Cohen m'a surpris trop peu de jude law ...mais Sir Kingsley égal à lui meme .... j'ai vraiment aimé ....c'est du bon Scorcèse ....
J'ai découvert ce film totalement méconnu de Scorsese. J'ai aimé mais je suis restée un peu sur ma faim. En effet j'aurais aimé que l'histoire soit un peu plus recherchée surtout du côté du père de Hugo.
Bon désolé j'ai trouvé ce film bien trop dégoulinant d'attendus et de bon sentiments pour pouvoir accrocher. Après c'est Scorcese, une réalisation parfaite avec de très belles images flirtant entre photo et animation. Mais ça ne parvient pas à faire oublier le coté trop linéaire et ennuyeux de cette fable, parsemée de personnages tellement caricaturaux qu'on dirait eux aussi des automates. Petit regain d’intérêt avec le passage sur la carrière de Georges Melies et du coup on comprend un peu pourquoi le film est sur ce ton mais il y avait nettement mieux à faire pour lui rendre hommage. Sinon le Paris d'antan, que ce soit la, dans Amélie Poulain ou dans Minuit à Paris est décidément une belle usine à clichés.
Une mise en scène originale et de qualité (belle reconstitution de la Gare de Lyon) pour ce film largement récompensé (pas trop par le public) que je n’ai malheureusement pas vu en 3D. Un hymne aux initiateurs du Cinéma, aux frères Lumière et surtout à l’immense Georges Méliès auxquels Scorsese rend un hommage appuyé. On peut cependant regretter quelques lourdeurs de scénario.
Un joli conte pour tous, dont l'objet, outre nous faire rêver comme des enfants, comme le cinéma de notre prime jeunesse est de rendre hommage aux pionniers du cinématographe français, en particulier Georges Méliès mais aussi aux frères Lumière. Ce n'est pas pour rien que le festival du film Lumière à Lyon a décerné son prix à Martin Scorcèse en 2015. Evidemment, Paris où se situe l'action est un Paris stéréotypé, les décors et personnages aussi, mais après un début qui peut sembler gnangnan la magie opère et on se laisse entrainer par le jeune Hugo, jeune orphelin remonteur d'horloges, son automate sachant écrire et leurs aventures
Un film enchanteur, magnifique visuellement et qui raconte une très belle histoire pour les petits comme pour les grands. A ne pas rater en famille, voire tout court !
Une belle photographie pour un film que j'ai trouvé destiné seulement à un jeune public. L'histoire n'avance guère et je me suis bien ennuyée à essayer de m'y intéresser.
Un film qui vaut surtout pour ses décors et sa photographie époustouflante et extraordinaire (ce qui lui vaut la classification dans le Fantastique). Du côté de l’histoire, elle n’est guère originale, parfois même un peu niaise, cela manque aussi de rythme, avec de nombreux plans qui se traînent en longueur. Dommage. Tant de génie pour pas grand-chose, finalement.