Derniers Avis sur Face à l'enfer

Chuck Noriss combat le diable, ça le change des gangsters et autres terroristes.Il en sort vainqueur dans cette série B à tendance Z mais l'inverse aurait été surprenant.Le cahier des charges est rempli avec son lot de bagarres en tout genre.L'ensemble est filmé un peu n'importe comment et le diable est vraiment caricatural. Peut importe les amateurs de cinéma Bis s'y retrouverons.

Un Chuck Norris de plus qui fait que je ne comprend pas la réputation dont il jouit. un scénario simple mais pas top, un casting bas de gamme, une image pas des plus joli. des dialogues franchement pathétique pour dire qu'il vaut mieux passer son chemin sur ce film.

Face à l’enfer n’est pas un film bien génial, qui aurait clairement pu être bien meilleur, mais qui ne fait pas tache dans la filmographie de Chuck Norris, et reste même un de ses films les plus agréables je crois.
Lui-même joue assez bien pour le coup, s’amusant visiblement avec son personnage de policier aventurier. Genre de rôle qui lui sied d’ailleurs plutôt bien finalement, avec lesquels il semble plus à l’aise, car peut-être moins sérieux que dans ses rôles de militaire. A ses côtés une de ses comparses de Walker Texas Ranger, la charmante Sheree J. Wilson, qui ne fait pas d’étincelles cependant, et un Calvin Levels, peu connu, qui se débrouille honorablement en pote du héros. Il n’en fait pas trop, et se montre même souvent attrayant. Quant au méchant, il bénéficie du charisme de Christopher Neame, mais aussi, malheureusement, de son surjeu ici. L’acteur en faisant clairement un peu trop.
Le scénario est moyen. En fait il promet de bonnes choses au début, et puis finalement une fois en Israël, le film s’enlise. L’intrigue perd en cohérence, et devient même parfois passablement ridicule (la princesse !). L’enquête avance à coup de grosses ficelles. Néanmoins ce qui sauve le métrage c’est un côté second degré salvateur, introduit par le pote du héros, par le gamin aussi, et un rythme alerte, qui fait de Face à l’enfer un petit métrage distrayant à défaut d’être très attrayant.
La réalisation est signée du frère de Norris, assez incontournable dans sa filmographie, à savoir Aaron. Ce dernier fait rarement de grandes choses, mais pour le coup je crois que ce film est l’un de ses mieux fichus. L’action est correctement menée, les décors sont assez bien utilisés. Sans apparaitre comme un foudre de guerre, il faut avouer qu’Aaron Norris à assez bien emballé le produit qui s’avère plaisant de ce point de vue. Pour le reste, les décors et la photographie sont honorables, même si le début, à Chicago fait clairement plus forte impression que la partie se passant à Jérusalem. Finalement je pensais que ça allait être l’inverse, et bien non, dommage que l’on abandonne trop vite l’ambiance moite de Chicago, bien montrée, même si le dépaysement n’est pas mauvais non plus. La bande son reste un peu en retrait, et les scènes violentes, malgré quelques bonnes choses au début, restent finalement trop discrètes elles aussi. Un peu regrettable.
Enfin, Face à l’enfer est une petite série B dont l’idée me plaisait, surtout avec un Chuck Norris dans un emploi un peu original, et je dois dire que le résultat correspond à ce que j’attendais. C’est-à-dire un film moyen, comme le sont en général les meilleurs avec Norris en tête d’affiche, mais divertissant, et sympathique. Dommage que l’histoire peine à tenir la route, car avec un scénario mieux bâti, on aurait pu tenir là un film d’aventure dans la moyenne haute du genre. 3.

Un film moyen mais plutôt distrayant ou l'on ne s'ennuie pas une seconde. Pis maintenant on sait qui gagne dans le combat Chuck Norris VS Le diable.

J'ai beaucoup aimé ce film, Il n'y a pas une minute où on s'ennuie, les acteurs sont vraiment bon!
L'histoire est originale est reste cohérente tout le long du film.
J'adore l'équipe Chuck Norris et Calvin Levels, toujours présent avec un ton humoristique. A voir!

Je m'attendais a un bon petit nanar avec Chuck Norris mais non c'est meme pas drole a regarder, c'est juste de la merde.

Ah Chuck... que dire de ce film dans lequel il bat le diable en personne (enfin un de ses émissaires)... tout est classique, voire même cliché! D'autant que les blagues à deux balles s'enchaînent sans temps mort et que l'histoire est franchement bancale.

Chuck Norris nous a habitué aux super navets, comme Steven Seagal, mais là, une fois n'est pas coutume, le film est distrayant. Dans le genre, on fait mieux certes, mais on ne s'ennuie pas. Le scénario est correct, sans plus, à voir puis oublier...

Ok. Je suis peut être jeune, mais je suis pas con non plus. Ce film aligne plus de 2098 clichés en 19 minutes (Le black s'appelle Jackson, il est grincheux, ils poursuivent un dealer qui s'appelle SPIDER..)

Que ce soit un vieux film a la limite OK, mais même si c'est pas DU TOUT le même genre de film, Massacre a la Tronçonneuse sorti en 1974 est bien mieux sur TOUTE LA LIGNE que ce film sorti en 1994. Même les effets speciaux. Après toutes ces années.

L'histoire est bidon, le seul truc qui m'a fait rajouter 1,5 a la note c'est Chuck qui est plutôt marrant. Marrant dans le sens ou il est très ridicule. Depuis quand avec un berretta en une balle on fait voler un gars sur 6 mètres?

Bref. A voir pour rire un samedi soir, mais pas celui de Noël, vous passerez pour un con.

Ce film est must du genre, action intense, sentiments, un pur film américain, et avec un acteur principal génial, le magnifique Chuck Norris !

Ouverture intrigante avec le seigneur Richard Coeur de Lion et sa croisade pour empêcher une scène de sacrifice sous les paroles maléfique de Prosatanos un émissaire de Satan. Seulement voilà, Prosanatos revient cette fois pour se rendre à Chicago et termine son plan machiavélique en Israël. Vous retrouvez dans ce film l'actrice Sheree J. Wilson qui joue également dans la série Walker Texas Rangers, quand à Norris toujours fidèle à lui même pas transcendant des masses bien qu'une fois de plus un duo est présent dans cette aventure avec un black, c'est distrayant mais l'histoire reste très simple et la musique ne correspond pas très bien. Au final Hellbound est moyen.

Contrairement aux précédentes critiques, j'ai trouvé ce film assez sympa. Assez bonne mise en scène, très belle technique. Les dialogues sont assez fun (les réplique du coéquipier de Chuck Norris)
Bref, tous les ingrédients sont là pour passer un bon moment.

En vue de la jaquette, je m'attendais à une vieille bouze à la Chuck Norris (baston, baston et encore baston), et bien non pas du tout, très peu de baston ; on peut retenir les réactions du black qui sont assez marrantes.

Un bon divertissement que je conseille (à voir...pas à tout prix, mais à voir). Je pense que les plus jeunes adoreront ^^

Je mets 1 car c'est le meilleur film de Chuck Norris, même si il mérite 0, c'est juste pour le démarquer

étant fan de chuck le film 'hellbound "face a l'enfer" et de loin le film le plus POURRI de la filmo de chuck. (à évité de toute urgence) meme chuck et nul dans ce film !!!

Aaron Norris, plus connu comme étant le frère de Chuck qu’il a par ailleurs dirigé durant toute sa carrière cinématographique, que ce soit dans Delta Force 2 (1990), Sidekicks (1992) ou encore Top Dog (1995) pour les longs-métrages, mais aussi à la télévision dans la série télé à succès (et niaise) Walker, Texas Ranger. A défaut d’être un réalisateur hors pair et novateur, il aura passé son temps à recycler les films, pour en ressortir au final, un condensé de déjà vu. C’est à peu de chose près ce que l’on obtient avec Hellbound (1993), un direct to video bas de gamme (comme la plupart des films où joue Chuck), auquel son frère a eu l’idée de réunir au sein du film, Sheree J. Wilson (qui joue dans la fameuse série télé, la femme de Chuck !). A défaut d’avoir pu obtenir Clarence Gilyard Jr. (qui interprète Trivette, toujours dans la série) il s’est rabattu sur un autre acteur de couleur noir, Calvin Levels, dont il bénéficiera durant tout le film, des meilleurs clichés auquel Hollywood nous a toujours habitué pour un acteur noir, c’est à dire un personnage qui a toujours le dernier mot pour rire, celui qui a tout le temps peur ou encore, celui qui râle en permanence quand son collègue blanc préfère rester stoïque et bosseur.
Alors que le scénario est archi bidon et prévisible (on passe brièvement de l’An de Grâce 1186 aux années 50 au Moyen Orient pour ensuite se retrouver en plein Chicago dans les 90. L’idée de départ est typique d’un téléfilm auquel on doit en plus de celui-ci, supporter une musique inadaptée au film. C’est d’un ennui effroyable !