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boscopax
84 abonnés
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2,0
Publiée le 21 avril 2010
Je m'attendais à beaucoup mieux pour le retour de Gibson dans un film policier. Alors que le film nous est vendu comme un "justicier dans la ville", il s'agit avant tout d'une enquête banale avec complot sans que le statut de père ne soit indispensable. Mel Gibson est toujours crédible mais semble supporter le film plus qu'il ne le porte. Même l'acte de vengeance final se résume à 4 coups de feu dans une baraque. Quelques bons moments toutefois mais qui donnent quand même l'impression d'une arnaque de promo.
Malgré une première partie qui peine à démarrer, Edge of Darkness s'en sors avec les honneurs dès la seconde lancée. La réalisation de Campbell reste toujours aussi classe, le retour de Mel Gibson fait très plaisir, talentueux et charismatique à souhait. De plus, malgré une trame scénaristique de vengeance très souvent exploitée, celle ci va plus profondémment, nous impliquant dans un complot national plutôt prenant à suivre...
Enfin le retour de Mel Gibson à l'écran avec ce thriller politique et nucléaire adapté d'une série anglaise diffusée sur la BBC. Si le scénario s'étire en longueur et en prévisibilité, seul le Mel Gibson balourd et dénué de sentiments rappelant Payback relève le niveau.
15 ans après sa série du même nom, Martin Campbell reporte à l'écran mais cette fois si au format long-métrage, Edge of Darkness. L'histoire reste la même. Thomas Craven, flic vétéran de Boston voit sa fille assassinée sous ses yeux. Il mène donc en marge de la police, sa propre enquête afin de découvrir si oui ou non, il était visé. Voilà pour l'histoire et les grandes lignes. Si la prestation de l'ancien héros des Leathal Weapon est correcte (chose importante car il est sur presque tous les plans), on se retrouve malgré quelques scènes percutantes vraiment efficaces (dont l'introduction) devant une trame qui n'offre que peu de surprises. Le déroulement du récit met maladroitement en lumière les avancées de l'enquête qui en devient téléphonée. Mais le film reste malgré tout intéressant grâce à ce personnage qui n'a plus rien à perdre. Les échanges entre Ray Winstone et Mel Gibson sont un régal et si ce n'est la fin, je n'ai pas aperçu les gros sabots et les rouleaux compresseurs dont la presse parle. Au contraire, Martin Campbell n'oublie pas son personnage et malgré ses airs de justicier, le réalisateur tente de lui donner une réelle profondeur. Un bon polar, pas innovant, mais qui arrive à nous tenir en haleine pendant ces 2 heures.
Ma foi, j'ai bien aimé ce sympathique film policier, porté par le grand retour de Mel Gibson (devant la caméra), très impliqué par son rôle de père vengeur. L'histoire m'a touché parce que je m'attendais à un pur film d'action, entrevue dans la bande annonce, mais la direction scénaristique s'intéressait plus au deuil que nous pourrions avoir envers la perte d'un de nos enfants, et çà n'empièteras pas sur l'enquête qu'il va mener pour découvrir la vérité sur l'assassinat de sa fille. on prend le temps d'installer la relation filiale, puis çà s'emballe... et notre héros commence son enquete. Un long tunnel qui mêne vers les jeunes activistes américains. Politique, écologie, internet, complots, secrets bref du classique. Lisible, pas mené à un rythme trépidant mais plutôt une alternance de scènes d'enquêtes et d'action réalistes, bien menées et mis en scène avec efficacité par Martin Campbell (le futur réalisateur de Green Lantern). L'ambiance est lourde et au fur et à mesure que l'on s'approche de la vérité, Tom Craven devient plus dur, moins diplomate. Violent et engagé, j'ai passé un bon moment qui fleure bon les 80's, sans en y voir toute la folie et le côté bis assumé, avec les appel, et flash des souvenirs d'enfances de sa môme à la "Gost"... de bon moment d'émotion et un bon travail d'artisan en fait. A voir pour se faire sa propre opinion, d'où mon 2.5
Difficile de reconnaître le réalisateur de Casino Royale, Martin Campbell, le scénariste des Infiltrés, William Monahan ou encore lle compositeur du Seigneur des Anneaux, Howard Shore, derrière cette parodie de thriller d'action au relent conspirationniste qui semble tout droit sortie des années 90. Filmé avec un grain hideux, des couleurs fades, un montage qui donne un rythme somnolent, alternant les séquences d'action costauds et les dialogues plats, Hors de Contrôle mérité décidément son titre. Et pourtant, l'idée de départ était bonne (Caché du nucléaire militaire sous du nucléaire civil avec la complicité du gouvernement US), et pourtant, Campbell n'est pas le dernier venu pour mettre en scène un polar de ce type, et pourtant, Mel Gibson méritait mieux pour son grand retour au ciné que l'imperméable de Columbo... Loupé de A à Z.
Un flic renfrogné et asocial dont la fille chéri meurt va mener à fond une enquête contre des gros bonnets qui ne pensent qu'au pognon et à leur gloriole (comme d'hab quoi), Mel est fou de rage et à fleur de peau dans ce film ou l'action est quasi absente mais dont le déroulement improbable nous enmène vers une scène final pleine d'émotions.Allez Mel sèche des larmes et refait nous un bon film.
Film très efficace, Mel Gibson est toujours aussi charismatique et le scénario tien bien la route malgré les quelques raccourcis scénaristique. Martin Campbell n’est pas un manche derrière la camera, il arrive à nous tenir en haleine tout le long, en nous livrant un film assez sobre avec quelques scènes spectaculaire bien maitrisées. A défaut d’être original, ce thriller/policier tient tout de même ses promesses, j’ai passé un agréable moment …
Superbe retour de Mel Gibson devant la caméra . Un thriller à couper le souffle, sans temps mort . Et une fin "spirituelle", mais remarquablement faite . Mel Gibson a peut-être vieillit (comme tout le monde), mais il ne fait pas encore son age . Un 15/20 mérité.
Mel Gibson revient aux affaires après une quasi décennie à se confronter à l’addiction et à œuvrer en qualité de metteur en scène. Le jeune chien fou de «L’arme fatale » s’est épaissi et il est devenu un père de famille qui doit se battre pour comprendre les raisons de la mort de sa fille qu’il a vu se faire abattre sous ses yeux. Le film mené par un Martin Campbell rompu aux attentes des studios, remplit parfaitement son rôle, mêlant polar et complot d’état sur fond de combat écologique. Mel est encore crédible en flic aux méthodes musclées mais c’est la limite d’âge qui se fait jour à l’horizon et on peut parier qu’il n’aura pas la longévité d’un Clint Eastwood qui magnait encore le magnum à plus de 65 ans. Distrayant.
Ma foi, j'ai bien aimé ce sympathique petit policier, porté par un M. Gibson impliqué. Ca commence rapidement puis le climat s'installe, Tom enquête, se fritte de temps en temps, avance dans un long tunnel qui même politique, écologie, internet, complots, secrets bref du classique. Lisible, pas mené à un rythme trépidant mais plutôt une alternance de scènes d'enquêtes et d'action réalistes, bien menées et mis en scène sans génie mais avec efficacité par M. Campbell. L'ambiance est lourde et au fur et à mesure que l'on s'approche de la vérité, le personnage principal devient plus dur, moins diplomate. Violent et engagé (plus une façade opportuniste à mon avis mais bon), un bon petit film policier qui fleure bon les 80's, sans en avoir toute la folie et le côté bis assumé. Interprètes corrects, musique sympa, du bon travail d'artisan en fait. A voir. D'autres critiques sur
Le scénario est classique et les rebondissements peinent à maintenir l'attention, mais la mise en scène assez crue de Martin Campbell et l'interprétation de Mel Gibson parviennent à donner au film quelques moments de fulgurance remarquables.
Je m'y suis rendu sans y attendre grand chose sincèrement. Uniquement pour y voir un bon film d'action sans prétention et puis surtout afin d'y retrouver Mel Gibson, le héros de mon enfance, fouler à nouveau les plateaux d'acteurs après huit ans d'absence. Rien à sauver. On ne sait vraiment pas ou il a voulu en venir. Apparemment Campbell semble avoir choisi la sobriété mais ne trouve rien de mieux pour l'illustrer que d'étirer son film en longueur s'efforçant de rester calme en pimentant toutefois son oeuvre de quelques scènes choc sans aucun intérêt. Desservi par des acteurs plats et une intrigue dont on se désintéresse royalement, le cinéaste fait finalement basculer son film du coté du thriller bavard, austère et pesant. Come back raté donc pour Gibson décidément bien fatigué. J'avais apprécié certaines productions de Martin Campbell mais là avec "Edge of Darkness", il signe sans doute son pire ouvrage.
Quasiment 20 ans après, Cambpell adapte sa propre série avec le retour de Mel Gibson qui n'était plus apparu devant une camera depuis longtemps dans une sorte de vigilante movie . Le film n'est pas aussi raté que certains le disent. Il est vrai qu'il se traine en longueur et ne propose rien d'original ou même de surprenant ce qui en fait une oeuvre prévisible. Mais il arrive aussi à conserver une certaine efficacité et n'hésite pas non plus à taper dans la violence sèche bien loin de la majorité des films grand public. C'est d'ailleurs avec ces scènes là que le film réussit à exister bien plus que dans tout le reste. Côté interprétation on est quasiment dans l'anecdotique, Huston, Winstone ne servent quasiment à rien, il ne reste que Mel Gibson présent dans quasiment toutes les scènes et qui assure pas trop mal sauf dans une ou deux scènes d'actions ratées ou la doublure assez voyante fait le boulot.