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Quatre nuits avec Anna est bourré de signes plastiques, narratifs, poétiques, que l'on repère dans la crainte que Skolimowski les réchauffe à vide. C'est sans compter sur la capacité du cinéaste à intégrer et exploiter ce qui se fait et ce qu'il a fait, pour en apporter un démenti complètement personnel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Très moderne dans sa construction en récits enlacés, l'oeuvre plonge simultanément dans la culture cinéphilique de la génération des nouvelles vagues. (...) Beau film (...)
(..)le film s'accorde à son personnage étrange, presque autiste, pour qui l'amour est fantasme trouble et dévotion délicate. Il nous rappelle que Skolimowski, longtemps absent des écrans, est un grand cinéaste, qui fait palpiter l'obscurité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
La rigueur de la mise en scène, la puissance de l'interprétation, la violence de l'histoire et la fin, obscure et terrible, font de ce petit film (1h30) un chef-d'oeuvre.
(...) une philosophie existentielle : le reflet absurde et inévitable de toute relation humaine. (...) un suspens trouble et diffus que Skolimowski filme avec habileté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
C'est un cinéma de loup des steppes, transformant le monde en un vaste terrain vague, pour se concentrer sur le face-à-face entre deux (...) miss lonelyhearts naufragées.
Skolimowski maintient tout au long une atmosphère ambiguë qui reflète le vertige de cet impénétrable soupirant (...) un personnage limité et dont le martyre serre la gorge.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
De l'ambiance macabre, on passe à une histoire d'amour, de la tragédie à la comédie, du cauchemar au fantasme (...) Le réalisateur n'a rien perdu de sa maîtrise de l'art cinématographique.
Avec la sensibilité de l'écorché vif et une ironie grinçante, le cinéaste cultive au maximum le point d'inconfort. Toujours à la limite de l'absurde et du glauque, son cinéma a le tranchant d'une lame de rasoir.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Magnifique fable aux accents de tragédie, Quatre Nuits... dit l'amour impossible d'un être simple et entouré par la mort (...) pour une Vénus de banlieue abîmée par la vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Chronique puissante (...)
Brazil
C'est déjà un chef d'oeuvre à mettre au crédit du réalisateur polonais (...). C'est surtout un cri d'amour étouffé.
Chronic'art.com
Quatre nuits avec Anna est bourré de signes plastiques, narratifs, poétiques, que l'on repère dans la crainte que Skolimowski les réchauffe à vide. C'est sans compter sur la capacité du cinéaste à intégrer et exploiter ce qui se fait et ce qu'il a fait, pour en apporter un démenti complètement personnel.
L'Express
Voir la critique sur le site.
L'Humanité
Très moderne dans sa construction en récits enlacés, l'oeuvre plonge simultanément dans la culture cinéphilique de la génération des nouvelles vagues. (...) Beau film (...)
L'Obs
Quatre Nuits avec Anna, un film exceptionnel, superbe, sur l'illusion, l'amour, le regard, la folie.
Le Figaroscope
(..)le film s'accorde à son personnage étrange, presque autiste, pour qui l'amour est fantasme trouble et dévotion délicate. Il nous rappelle que Skolimowski, longtemps absent des écrans, est un grand cinéaste, qui fait palpiter l'obscurité.
Positif
Quatre nuits avec Anna combine la veine sociocritique et la compassion.
TéléCinéObs
La rigueur de la mise en scène, la puissance de l'interprétation, la violence de l'histoire et la fin, obscure et terrible, font de ce petit film (1h30) un chef-d'oeuvre.
Télérama
(...) une philosophie existentielle : le reflet absurde et inévitable de toute relation humaine. (...) un suspens trouble et diffus que Skolimowski filme avec habileté.
Cahiers du Cinéma
C'est un cinéma de loup des steppes, transformant le monde en un vaste terrain vague, pour se concentrer sur le face-à-face entre deux (...) miss lonelyhearts naufragées.
Ciné Live
Voir sur le site www.cinelive.com
Elle
(...) Jerzy Skolimowski nous aura ouvert en grand la porte d'une illusion esthétique envoûtante, différente et sublime.
Le Journal du Dimanche
Il signe un film d'auteur d'une grande tenue, libre et retors, âpre à regarder, serti de touches surréalistes et de touches burlesques.
Le Monde
Skolimowski maintient tout au long une atmosphère ambiguë qui reflète le vertige de cet impénétrable soupirant (...) un personnage limité et dont le martyre serre la gorge.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un opus noir, drôle et kafkaïen. Profondément désespéré.
Libération
Cette passion chaste (...) hésite constamment entre le tragique et le ridicule. Mais ni le rire ni les larmes ne sanctionne l'aventure.
MCinéma.com
De l'ambiance macabre, on passe à une histoire d'amour, de la tragédie à la comédie, du cauchemar au fantasme (...) Le réalisateur n'a rien perdu de sa maîtrise de l'art cinématographique.
Metro
Haletant et posé à la fois, ce film sombre est porté par un Arthur Steranko (Leon) magistral.
Paris Match
Avec la sensibilité de l'écorché vif et une ironie grinçante, le cinéaste cultive au maximum le point d'inconfort. Toujours à la limite de l'absurde et du glauque, son cinéma a le tranchant d'une lame de rasoir.
Première
Magnifique fable aux accents de tragédie, Quatre Nuits... dit l'amour impossible d'un être simple et entouré par la mort (...) pour une Vénus de banlieue abîmée par la vie.
Studio Magazine
Voir le site www.studiomag.com