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Votre avis sur King Guillaume ?
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Dans le même genre que "Bienvenue à bord", je pourrai faire un copier coller car on utilise là les mêmes ingrédients, soit : un gros casting de soi disant comiques pour dire qu'il y a de l'humour, une trame banale, une histoire brodé autour de ça pour justifier le tout et emballé c'est pesé.
D'accord j'ai du mal avec les nouveaux rigolos de service qui en font trop alors qu'à part 2-3 blagues dans un spectacle, le niveau d'écriture est loin d'un Coluche, ou même d'un Popeck. M'enfin ça permet de faire un film, pas frileux les producteurs, les stars suffisent à remplir le bas de laine...
D'accord j'ai du mal avec les nouveaux rigolos de service qui en font trop alors qu'à part 2-3 blagues dans un spectacle, le niveau d'écriture est loin d'un Coluche, ou même d'un Popeck. M'enfin ça permet de faire un film, pas frileux les producteurs, les stars suffisent à remplir le bas de laine...
ferdinand75
Une toute petite comédie, où Floresti essaye de mettre du peps à un scénario bien mince et bien nul . On ne croit pas une seconde à cette histoire et les gags sont lourds,et tombent souvent à plat. Même l'apparition du très bon Pierre Richard ne sauve pas l'affaire.
Une sympathique comédie, même si j'aurais aimé un peu plus de scènes vraiment marrantes, mais qui a au moins le mérite d'être originale, d'avoir de bons dialogues (enfin, pas 100% du temps, mais on voit qu'il y a de la recherche quand même), et une super bonne bande son. Et puis la fin est toute mimi!
J'aime beaucoup PEF et les Robins des Bois mais ce film ne rend pas hommage à leur humour. À l'image de sa courte durée, cette soi-disant comédie n'a pas grand-chose à raconter, et encore, le scénario est tout juste suffisant pour faire un moyen métrage, donc 1h20 c'est long. On a vite fait le tour du sujet, pas exceptionnel mais dépaysant. Concernant l'humour, y a pas énorme à signaler, si ce n'est de l'absurde pâle, quelques gags basiques, quelques répliques poussives et des acteurs qui cabotinent dans tous les sens pour meubler le vide. Si Pierre Richard s'en sort pas trop mal dans ses numéros de folie, Pef est trop en retrait (alors que son style fantaisiste est plutôt agréable), laissant la place à l'insupportable Florence Foresti, dont les mimiques agacent rapidement. Enfin, les décors sont pas terribles, entre une banlieue trop moche et une île assez rudimentaire. À l'arrivée, Pef ne parvient à retrouver ni la magie, ni l'humour de son magnifique film "Essaye-moi", la faute à un scénario pauvre et une Florence Foresti difficilement appréciable.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que "King Guillaume" n'entrera pas dans les annales des comédies françaises. C'est complètement absurde et dépourvu d'un humour parfois discutable, mais ça se laisse regarder tranquillement. Florence FORESTI en fait des tonnes, mais le divertissement reste potable.
Ce film ne mérite pas les critiques négative dont on l'affuble, mais c'est vrai que dès lors que l'on quitte l'humour hollywoodien et les romances du types thèse, antithèse, synthèse, le publique est perdu. Nous sommes ici dans un univers incroyable, débordant d'humour de situation et d'émotions. c'est une vrai fable, elle aurait pût si elle avait été écrite plus tôt un classique des contes que l'on lit à nos enfants.
Certes, le royaume situè entre la France et l'Angleterre dont il est question dans cette comèdie « montypitonesque » est une île miteuse au large de la Bretagne mais ça Pierre-François Martin-Laval et Floence Foresti ne le savent pas! Histoire naïve mais une galerie de personnages sympathiques où Pef nous propose un vrai univers! Le spectateur se retrouve sur un rocher de 2 kms carrè battu par les vents du Nord dont on n'a vite fait le tour! Mais en même temps, cette proposition est originale et a le mèrite de sortir des sentiers battus même si les plaisanteries sont parfois rèpètèes! Vraiment dommage de trouver l'arrogante et très agaçante Florence Foresti en tête de distribution car le film de Pef a du charme, de la fraicheur et cette folie douce propre aux « Robins des Bois » que nous connaissons bien aujourd'hui! Que ce soit les costumes, les dècors, les noms des personnages et l'histoire, Pef nous propose une espèce de fantaisie qui lui appartient et qui ne ressemble qu'à lui! Et puis n'oublions pas le grand Pierre Richard, attachant William Fernand...
Pour sa deuxième réalisation, Pierre-François Martin-Laval alias Pef reste fidèle à son style. On sent le garçon rêveur et fleur bleue comme les personnages de ses films. Dans celui-ci,
spoiler:
un homme mène une existence paisible jusqu’au jour où son père lui annonce qu’il est l’héritier d’un royaume, une île entre la France et l’Angleterre. Se voyant déjà reine, sa femme, incarnée par la pétulante Florence Foresti, dilapide toutes les économies du couple. Mais l’île est loin d’être paradisiaque et les sujets du roi sont pour le moins bizarres.
« King Guillaume » offre des moments vraiment drôles. spoiler: La folie des grandeurs
de Florence Foresti est risible. J’ai ri aussi lorsque le personnage joué par Pef découvre spoiler: la vérité sur l’héritage
. Son attitude vis-à-vis spoiler: du gouvernement anglais
est également cocasse. Le film doit beaucoup aux habitants dépenaillés complètement loufoques interprétés, entre autres, par Pierre Richard, Omar Sy et Isabelle Nanty. Ça m’a fait plaisir de retrouver "le grand blond", maintenant grisonnant, en spoiler: serviteur fidèle et menteur au look improbable
. Le réalisateur cultive son univers absurde et naïf à travers des plans insolites comme spoiler: cette cabine téléphonique anglaise délabrée uniquement accessible à marée basse, ou encore l’épave inclinée dans laquelle vivent les six habitants de l’île (et leur lama !)
. Chez Pef, l’amour est plus fort que tout. Même sans maison, le couple du film vit heureux spoiler: dans une simple cabane à outils
! L’humour du réalisateur est sain, sans vulgarité et très visuel ( spoiler: l’immersion ratée avec le cercueil du roi mort planté dans le sable à marée basse, les coutumes des autochtones dominées par la traîtrise comme celle de trinquer sans regarder l’autre
etc.). En revanche, les scènes spoiler: avec le voisin du couple dans le lotissement
sont un cran inférieur. Mais ce que je reproche au film, c’est de ne pas aller assez loin dans la poésie et la folie au vu du sujet ; bref, de se limiter à une petite comédie sympathique un peu mièvre.
« King Guillaume » offre des moments vraiment drôles. spoiler: La folie des grandeurs
de Florence Foresti est risible. J’ai ri aussi lorsque le personnage joué par Pef découvre spoiler: la vérité sur l’héritage
. Son attitude vis-à-vis spoiler: du gouvernement anglais
est également cocasse. Le film doit beaucoup aux habitants dépenaillés complètement loufoques interprétés, entre autres, par Pierre Richard, Omar Sy et Isabelle Nanty. Ça m’a fait plaisir de retrouver "le grand blond", maintenant grisonnant, en spoiler: serviteur fidèle et menteur au look improbable
. Le réalisateur cultive son univers absurde et naïf à travers des plans insolites comme spoiler: cette cabine téléphonique anglaise délabrée uniquement accessible à marée basse, ou encore l’épave inclinée dans laquelle vivent les six habitants de l’île (et leur lama !)
. Chez Pef, l’amour est plus fort que tout. Même sans maison, le couple du film vit heureux spoiler: dans une simple cabane à outils
! L’humour du réalisateur est sain, sans vulgarité et très visuel ( spoiler: l’immersion ratée avec le cercueil du roi mort planté dans le sable à marée basse, les coutumes des autochtones dominées par la traîtrise comme celle de trinquer sans regarder l’autre
etc.). En revanche, les scènes spoiler: avec le voisin du couple dans le lotissement
sont un cran inférieur. Mais ce que je reproche au film, c’est de ne pas aller assez loin dans la poésie et la folie au vu du sujet ; bref, de se limiter à une petite comédie sympathique un peu mièvre.
C'est pas un chef d'œuvre, c'est pas une catastrophe. C'est pas super drôle, c'est pas non plus la tristesse ultime. C'est loufoque, un peu chiant, mais ça passe. Ca ne restera pas gravé dans ma mémoire, ca c'est sur. Puis y a Foresti (c'est la seule raison qui m'a fait regarder ce film de toute façon).
J'ai bien aimé le petit côté poétique, les mises en scènes ne sont pas mal, Foresti et Pierre Richard ne s'en sortent pas mal non plus. Mais c'est aussi assez pompeux, naïf et un peu trop absurde à mon gout. Une lourdeur et de grosses faiblesses dans le scénario qui rendent ce film indigeste.
Pas grand chose à dire sur cette bouse donc je vais économiser mes doigts...
un vrai film plein de tendresse et d'humour, d'ailleurs si Pierre Richardet Terry Jones ont acceptés de jouer dedans, ce n'est pas pour rien.
c'est sur qu'il n'y a pas de blondasse siliconée ni de voiture qui explose a peine elle touche un caillou, donc certains seront deçus et n'aimeront pas.
les autres, ceux qui cherchent du bon cinema avec un scenario, des dialogues, de l'humour et de la tendresse seront charmés , moi je le revoi toujours avec plaisir :)
c'est sur qu'il n'y a pas de blondasse siliconée ni de voiture qui explose a peine elle touche un caillou, donc certains seront deçus et n'aimeront pas.
les autres, ceux qui cherchent du bon cinema avec un scenario, des dialogues, de l'humour et de la tendresse seront charmés , moi je le revoi toujours avec plaisir :)
Un très bon film, un régal de poésie et de fraicheur, un peu décalé, qui fait du bien !
Pas terrible mais honnête, voilà comment je qualifierais le film de Pierre-François Martin-Laval.
Oui, l'entreprise est honnête dans son propos, dans sa réalisation et dans son interprétation.
Toutefois, après avoir créer son univers et peint ses personnages, le réalisateur reste dans son petit monde et sa propre folie...
Hélas, cette dernière est à peine suffisante pour nous tirer un ou deux sourires (un merci tout particulier aux facéties de Florence Foresti).
Le film est à l'image de son île : désespérément vide et ennuyeuse.
Oui, l'entreprise est honnête dans son propos, dans sa réalisation et dans son interprétation.
Toutefois, après avoir créer son univers et peint ses personnages, le réalisateur reste dans son petit monde et sa propre folie...
Hélas, cette dernière est à peine suffisante pour nous tirer un ou deux sourires (un merci tout particulier aux facéties de Florence Foresti).
Le film est à l'image de son île : désespérément vide et ennuyeuse.
Parti de l'idée de départ du scénario de la BD « Panique à Londres » de Pétillon et Rochette, Martin-Laval a malheureusement voulu le réécrire entièrement à sa sauce, et il lui a fallu deux ans pour nous pondre cette bouse... Martin-Laval nous présente toujours sa prestation de benêt très naïf dans son monde absurde et gentillet, mais qu'est-ce qu'on s'emmerde ! La réalisation est digne d'un mauvais téléfilm sans moyens avec un scénario très niais débordant de guimauve (le mot d'ordre est : l'argent est secondaire, seul compte l'amour) et jamais réaliste. Tout sonne faux, à commencer par cette histoire d'héritage d'un îlot indépendant miteux dans la Manche, dont la dépendance vis-à-vis de l'Angleterre nous fait bien sûr penser aux îles anglo-normandes, et c'est déjà là que ça cloche car les Anglais en auraient fait depuis bien longtemps un paradis fiscal offshore ! Martin-Laval joue l'héritier qui accepte de s'engager sans rien vérifier (ah oui c'est vrai que c'est un benêt). Ensuite, rien n'est crédible dans la brochette de personnages, à commencer par les cinq habitants de l'îlot qui semblent vivre d'amour et d'eau fraîche, et seraient autant amusants dans l'univers d'une BD qu'ils sont ridicules en chair et en os. On peut pardonner à Omar Sy d'avoir accepté là un de ses tout premiers rôles et cachets. Pierre Richard a connu mieux. Florence Foresti joue là son premier grand rôle au cinéma et ça se voit, elle apporte son énergie et son enthousiasme, mais en néophyte a tendance à systématiquement surjouer avec ses grimaces et ses vannes, elle a du mal à sortir de ses prestations comiques de one-woman-show. On se demande ce que Terry Jones est venu faire là. Curieusement, Martin-Laval est le seul à prendre visiblement son rôle au sérieux. La fin évidemment se devine à des kilomètres. On ne croit pas un instant à cette histoire niaise, il n'y a même pas d'humour pour compenser et c'est là l'arnaque. Du cinéma très bas de gamme, très Robins des Bois.
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