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    Rapt
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    3,2
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    321 critiques spectateurs

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    Shephard69
    Shephard69

    331 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2013
    Yvan Attal très impressionnant dans le rôle physique, complexe et antipathique d'un individu immoral et sans scrupules. Impeccable réalisation sans temps morts, atmosphère glauque et sombre à souhait. Un excellent polar à la française mais auquel il manque un petit quelque chose pour en faire un film mémorable.
    loulou451
    loulou451

    120 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2013
    Certes, Yvan Attal est véritablement formidable dans le rôle de cet homme d'affaires enlevé par des truands, désocialisé, puis rejeté par les siens à sa libération. On saluera également l'intelligence du scénario, sa modernité qui colle si bien à son temps, le souci du détail de Lucas Belvaux dans sa réalisation, cette manière si particulière qu'il a de sentir son époque, de la décortiquer, mais le film ne parvient toutefois pas à dépasser son sujet, à apparaître comme une grande oeuvre de cinéma, laissant au final ses spectateurs sur leur faim...
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2013
    Film dramatique français mené sous forme de policier et thriller mais de façon lente. La réalisation colle ainsi parfaitement à cette enquête de longue haleine, passionnante, terrifiante. Si on connait déjà le principe du rapt, on découvre pourtant avec grand plaisir cette histoire plus que réaliste. Les acteurs sont tous à la hauteur ce qui donne à ce film toutes ces lettres de noblesse...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 février 2013
    Le scénario du film s’inspire de l’enlèvement le 23 janvier 1978 du baron Edouard-Jean Empain, riche héritier et P-DG du groupe Empain-Schneider.
    Le long métrage emprunte les codes du film policier sans utiliser le ressort du suspense. Comme le personnage de Stanislas Graffi est un clone du baron Empain, le spectateur anticipe la libération de Stanislas.
    Le film décrit la haute bourgeoise dont fait partie le héros, et les cadres dirigeants de la société dont il est le P-DG. La mise en scène est efficace, en autres les séquences de poursuites des rançonneurs par la police. Aucun des personnages du long-métrage n’est idéalisés: les kidnappeurs sont cruels et brutaux, ils ne sont intéressés que par l’argent qu’ils espèrent obtenir en échange de la libération de Stanislas (séquence de dialogue vers la fin du film entre Stanislas et un de ses ravisseurs); Stanislas est un joueur invétéré et trompe sa femme; les administrateurs de son entreprise l’abandonnent.
    C’est l’histoire d’un homme martyrisé par ses bourreaux, incompris par ses proches et rejeté par ses pairs.
    La qualité des comédiens et l’arrière plan sociologique donnent de l’épaisseur au film.
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2013
    Allant droit à l'essentiel autant que son titre, pourvu d'une intense interprétation d'Yvan Attal, "Rapt" donne une image effrayante d'une soi-disante justice sociale démesurée qui, explosant et confondant les nombreuses sphères et facettes du personnage, oublie l'homme derrière sa puissance, la victime derrière l'épreuve.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Très bon film sur un homme de pouvoir ,Yvan Attal impressionnant ,réalisme et justesse de ton sont les maitres mots de cette histoire de rapt , félicitations au réalisateur Lucas Belvaux qui signe à nouveau un bon film .
    Christian B.
    Christian B.

    17 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 décembre 2012
    Un film bien joué ou les victimes changent , le film est plus basé sur l'effet psychologique des personnages , ce qui rend le film trés intéressant
    PMarino
    PMarino

    1 abonné 108 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2012
    efficace, bien joué, qui tourne un peu en rond parfois, quelques trous dans le scénario mais bonne réflexions sur la culpabilité de la victime...
    Salim S
    Salim S

    50 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2012
    La triste descente aux enfers d'un homme d'affaires très haut placé. Par le biais de cet enlèvement, il perd sa confiance ainsi que la fidélité de ses proches (spoilers à ne pas évoquer). Trés beau film émouvant avec un excellent Yvan Attal.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 novembre 2012
    Lucas Belvaux nous livre un film poignant et percutant, mêlant l’élégance et la violence. La mise en scène est précise, affûtée, mettant en avant la succession d'affrontements psychologiques. Yvan Attal est méconnaissable, nous permettant d’être plongé avec lui dans sa chute ! Le cinéaste met en avant la solitude d’un homme plongé dans l’univers de la finance, aussi bien dans son succès que dans son malheur avec tout le traumatisme que cela implique.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 954 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2012
    Un riche industriel est enlevé par des malfaiteurs qui vont demander une énorme rançon. L'otage finit par embarrasser tout le monde. Un histoire captivante et poignante portée par un grand Yvan Attal.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    289 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 octobre 2012
    "Rapt" est un très bon thriller à la française, oppressant, angoissant et intelligemment réalisé. Cette descente aux enfers d'un grand patron donne à réfléchir sur la fragilité du pouvoir, la puissance dévastatrice des médias, ainsi que sur la crédulité de la masse. Yvan Attal y livre une partition digne des plus grands. L'atmosphère générale du film est très sombre, la tension omniprésente, grâce à une intrigue qui rentre rapidement dans le vif du sujet, et qui ne nous lâche pas. Immanquable.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2012
    Je n'ai pas l'habitude de raconter la fin dans les résumés des films que je critique. Pourtant, ici, je me permets d'évoquer le dénouement (la libération de Stanislas), tant l'enjeu narratif du "Rapt" se situe ailleurs que dans les ingrédients habituels des thrillers. Lucas Belvaux ne s'en est pas caché, l'histoire racontée ici s'inspire de l'enlèvement de son compatriote le Baron Empain en 1978, (il suffit de traduire de l'allemand le nom de Stanislas) et on en connaît l'issue. Mais comme la plupart des gens, je n'avais pas gardé le souvenir du déballage dont il avait été la victime, ni du bouleversement que cela avait entraîné pour la suite de sa vie.

    Lucas Belvaux a choisi de situer cette histoire en 2009, mais la plupart des détails racontés dans son film sont directement tirés de l'affaire de 1978 : l'hôtel avenue Foch, le mode opératoire de l'enlèvement, la tente dans la cave pour le premier lieu de détention, la caisse clouée pour son transport, le rallye de café en café avec la rançon, jusqu'à la couleur du survêtement que lui avaient donné ses geoliers... Il a juste effacé certains aspects très contextualisés, comme la fausse revendication des NAPAP, ou l'identification des ravisseurs grâce à la tonalité des impulsions du téléphone à touches lors de l'appel d'Alain Caillol.

    Le véritable sujet du film, c'est donc bien les effets dévastateurs de la médiatisation des faits divers sur ceux qui les subissent, et le processus de transformation d'une victime en suspect, voire en coupable. C'est pourquoi Lucas Belvaux a choisi de faire de son héros un personnage ni véritablement sympathique, ni vraiment antipathique. Le prélude le montre enchaînant au pas de charge des séquences de sa vie professionnelle et privée : signature du parapheur au bureau, déjeuner d'affaires avec un ministre, visite à sa maîtresse, séquence de vie familiale, partie de poker, sans qu'on n'en sache plus sur ses pensées ou ses émotions.

    On ne le découvre qu'à partir du moment où il a été enlevé, et à l'image de la tente installée dans la cave, c'est bien l'évolution de ses perceptions, de ses peurs et de ses espoirs qui nous est montrée, Lucas Belvaux délaissant intentionnellement tous les aspects triviaux de sa détention. Ses ravisseurs sont représentés pour ce qu'ils sont : "lls ne sont pas sympathiques. Leur seul but est de s'enrichir. Ils ont un goût certain pour la violence et le pouvoir. Donc ces personnages-là je n'ai aucune volonté de les glorifier. Pour moi, ils incarnent l'essence du fascisme, c'est-à-dire un être qui en domine un autre et qui en fait ce qu'il veut". Il fait une exception apparente pour le personnage du Marseillais joué par Gérard Meylan, l'acteur fétiche de Guédiguian, qui "humanise" ses conditions de détention et semble chercher la complicité "entre hommes... entre chasseur", jusqu'à la pirouette de la libération où la violence du personnage éclate, d'autant plus brutale qu'elle reste bonhomme.

    Concernant les proches de Stanislas, Lucas Belvaux les filme avec la même distance, attentif à la souffrance de la famille (que des femmes : mère, épouse, filles) mais peu enclin à les rendre proches. Parmi les hommes, avocat, administrateurs du groupe, policiers, il établit une graduation dans leur description négative, depuis le policier qui met de l'humanité dans sa sale besogne, jusqu'au confident-éminence grise qui manoeuvre pour tirer profit de la situation ou au ministre qui l'avait invité dans l'avion présidentiel et qui se scandalise de l'effet de bande des révélations qui risquent de l'éclabousser. Mais tous sont délibérément enfermés dans leurs rôles, avec un jeu distancié et une diction assez théâtrale qui renforce la brutalité des dialogues.

    Yvan Attal, qui a perdu 20 kg au prix d'un régime draconien qui l'obligeait à s'isoler du reste de l'équipe, réussit à rendre toute la complexité du personnage, héritier suffisant et irresponsable avant son enlèvement, gibier forcé à la soumission durant sa détention, bouc émissaire révolté après sa libération. Ce type de performance est souvent prisé à l'heure des récompenses, et il prend date pour les Césars (en concurence avec Tahar Rahim, à moins que celui-ci hérite du meilleur espoir ?).

    Après avoir montré l'humanité des laissés pour compte de la crise, Lucas Belvaux illustre une nouvelle fois le titre de son film précédent, "La raison du plus faible", le plus faible ici n'étant pas le plus pauvre, mais celui à qui tout est enlevé : pouvoir, famille, honneur. On retrouve la même rage à dépeindre l'inhumanité du système plus que la perversité des individus, comme dans la scène où un juge d'instruction le questionne comme un suspect alors qu'il sort de 63 jours de séquestration et doit faire face à l'implosion de sa famille. Affuté à l'image de son acteur principal, "Rapt" parvient à rendre captivant ce récit, en s'éloignant de l'intrigue vieille de 30 ans pour nous interroger sur des problématiques très actuelles.

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 octobre 2012
    "Rapt" est un film policier sombre et efficace. Son plus gros point fort est Yvan Attal, qui nous prouve une fois de plus que c'est un très bon acteur. C'est l'histoire d'un riche PDG d'entreprise qui va se faire kidnappé, et il ne sera libérer par ses ravisseurs que contre la modique somme de 50 millions d'euros. Entre la famille qui découvre que cet homme n'est pas ce qu'il paraît être, qu'il trahit sa femme, qu'il dépenses de folles sommes au casino et une entreprise qui n'est pas prête à payer pour lui, le pauvre Stanislas Graff aurait sûrement préféré mourir... "Rapt" nous offre une réflexion intéressante sur le pouvoir de l'argent, mais c'ets également un polar solide, bien que par moments un peu mou. A noter aussi une bande originale peu présente. Enfin, ne renions pas le scénario assez bien construit, cohérent et original, ce qui est assez rare de nos jours.

    Bref, je n'ai pas boudé mon plaisir devant ce film, bien construit et filmé, bien que de légères baisse de rythme par moment. Lucas Belvaux a remplit son contrat, ce sui n'est déjà pas si mal.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    19 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    un excellent film sur le rapt d'une personne président d'un gros groupe et sur son retour à la liberté qui ne se déroule pas comme il le pensé
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