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    Les Trois singes
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    2,8
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    56 critiques spectateurs

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    caro18
    caro18

    172 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 juin 2010
    Il ne se passe rien, c'est long, c'est lent et c'est ininteressant.
    Audrée B.
    Audrée B.

    3 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 juin 2010
    C'est une histoire très originale, mais qui perd de son élan à certains moment de par des longueurs. La facon de filmer est très dérangeante mais efficace et signifique quelque chose pour le film. En moins long il mériterait mieux que 2 étoiles.
    r0c-bribri
    r0c-bribri

    21 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 juin 2010
    Les Trois Singes bénéficie faute d'un rythme prenant et du coup plutôt balourd d'une mise en scène de qualité, et donc d'un prix mérité.Tout passe par le cadre,le silence,le jeu du vent, des acteurs.Ce silence qui parvient à faire passer tant ennuie cependant beaucoup mais les rapports entre personnages sont tellement bien filmés que l'ennuie(parfois) se dissipe.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 avril 2010
    Ce film possède deux ou trois plans pas mal du tout, mais tout le reste ne m'a ni intéressé, ni subjugué et j'ai franchement pas trouvé la photographie du film belle, au contraire, ça donnait une sorte d'aspect poisseux que je n'aime pas.
    ygor parizel
    ygor parizel

    241 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 novembre 2012
    Nuri Bilge Ceylan est bien un esthète (et son directeur de photo aussi d'ailleurs). Beaucoup de plans sont très beaux, réalisé dans son style de cadrage caractéristique. L'histoire de base est bonne mais par moments certaines scènes (plutôt des séquences) sont sans grand intérêt.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 février 2010
    Histoire dans laquelle tout le monde est triste. Assez chiant avec un rythme très lent !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2010
    Sous la présidence de Sean Penn au festival de Cannes 2008, ce film turc a reçu le prix de la mise en scène ; ce prix n’est pas usurpé. Pourquoi la mise en scène est-elle puissante ? Rien n’est dit (on est proche du film muet par moment), rien n’est montré (un œil par le trou d’un serrure, des bruits derrière une porte,…), rien n’est entendu, mais tout est dit ; ce qui nous renvoie encore au titre du film. Avec peu de dialogue mais des regards profonds et plein de sens, les comédiens nous entraînent dans un le crescendo d’un drame qu’on sent inévitable dès les premiers instants du film. L’atmosphère moite devient pesante dans la 2nde partie du film. Les travers de l’orgueil humain, la jalousie, la violence, l’arrogance du pouvoir ; cette famille où la parole est presque impossible est hantée par tous ces démons.
    La conclusion est une pirrouette audacieuse peu prévisible prouvant que chacun use parfois de sa supiorité sur autrui pour se sortir de situations périlleuses ; un film peu moral en conclusion. Un film turc en VO, çà passe bien quand même…
    Un seul bémol, la caméra très contemplative ralentit parfois trop le film.
    manoj94
    manoj94

    45 abonnés 642 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 octobre 2009
    Un film effroyablement lent... En effet, il y a beaucoup de séquences inutiles et d'une longueur excessive. C'est dommage car il y a de l'idée. Quant aux acteurs, ils sont corrects.
    defleppard
    defleppard

    379 abonnés 3 373 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 octobre 2009
    D'une lenteur etouffante !
    marcfieldfr
    marcfieldfr

    6 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 octobre 2009
    on appreciera le magnifique travail de photographie avec le traitement post prod des couleurs .... par contre la mise en scène pour son aspect rythme n'a rien de percutant, c'est très lent et cela dilue l'histoire qui était déjà faiblarde à l'origine. Pour faire un bon film, il faut que tous ces aspects soient réunis. Au final l'immersion ne fonctionne pas, dommage
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 30 juin 2009
    La beauté des cadres ne parvient malheureusement pas à nous sortir du profond ennui que nous procure la vision des trois singes.
    Hakim G
    Hakim G

    47 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2011
    Le prix de la mise en scène est largement mérité. Les trois singes est tout simplement un film captivant.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2009
    Plonger dans un film présente un risque. Au pire, on gâche son temps, au mieux, on s’y perd. «Uç Maymun» (Turquie, 2008) de Nuri Bilge Ceylan contient parmi ses premiers plans celui d’une voiture qui, phares allumés, s’enfonce dans la nuit, suivant les sinuosités de la route avant de renverser un homme dans un virage. Il suffit de peu pour plonger dans une intrigue, il suffit d’un corps au sol, d’une voiture à l’arrêt, d’un visage inquiet et d’une mise en correspondance, par un écrasement de la perspective, de ces trois éléments pour faire saillir un sentiment d’inquiétude. Nuri Bilge Ceylan, parmi les cinéastes actuels portés sur l’esthétique du numérique, compte parmi les plus capitaux. En jouant sur les profondeurs de champs, pour aplanir le monde ou le dévoyer en grossissant les distances, Bilge Ceylan rejoint les jeux formels d’Antonioni et aliène ses protagonistes à l’image autant que ses spectateurs à son œuvre. «Uç Maymun», récit d’un père qui, par loyauté pour son patron, décide de se faire accuser à sa place, décrit le quotidien de quatre personnages reliés par des liens affectifs qui, un à un, se brisent sous la tension des rapports. Cause de l’incommunicabilité, dirait-on ? Erreur. La véritable raison de la rupture des liens sociaux que Bilge Ceylan relate provient de la promiscuité des corps et des intentions. Si une femme se dispute avec son époux, si un fils se fait gronder par son père, si un amant se plaint de l’insistance de sa maîtresse, ce n’est pas tant qu’ils ne s’accordent pas sur leurs intentions mais plutôt qu’ils sont trop proches pour pouvoir s’entendre. La collusion tacite passée entre tous les personnages aboutit à une explosion progressive qui fantasme les situations les plus dramatiques. La réussite du cinéma de Bilge Ceylan est d’employer le monde entier, dans une démarche hallucinatoire, comme le matériau de l’angoisse.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 février 2009
    J’avais pris la totale, tant qu’à faire, alors un film en VO, allons y, et pas en anglais hein, mais en turc, comme cela je suis sûr de ne rien comprendre et de bien plonger dans les regards des acteurs. Et puis avec Sean Penn comme président du festival de Cannes qui lui a délivré le prix de la mise en scène, ça devait être bien… Alors c’est l’histoire d’un politicien mollasson, d’un père psycho rigide, d’un fils feignasse et d’une mère hystérique qui s’ignore. La famille habite au dernier étage d’un immeuble pourri et si mince que le vent qui souffle dans tout le film devrait le faire tomber vite fait. Tout le monde ment à tout le monde, y compris à soi-même. Pour nous faire comprendre leurs tempêtes intérieures, les acteurs soufflent dans le micro pour bien faire saisir au spectateur leurs respirations haletantes et pleines de motions, euh… d’émotions. Et si on n’a pas compris, des orages éclatent pour bien insister et les plans sur les visages sont longs, longs. Donc si tu as Parkinson, inutile de briguer un poste de caméraman dans les films de Ceylan. Alors en résumé, nous étions deux dans la salle (salle d’art et d’essai, voyez-vous ça très chèèèère), et le titre aurait dû être : écoute, je ne dis pas que je l’ai vu.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    61 abonnés 929 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 novembre 2021
    Lumières, angles de la caméra et cadrages subliment les regards et plongent le spectateur dans l’âme de cette famille pleine de souffrances. Le vent et les courants d’air omniprésents sont les seuls mouvements qui poussent la lente narration, comme pour nous arracher des pensées qui semblent envoûter les personnages. Dans un style différent, j’y ai retrouvé l’esprit de « In the mood for love », moins évanescent et sophistiqué, mais plus primal, plus « tripal ». Les images sont superbes et les regards débordent de toutes les émotions.
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