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Nuri Bilge Ceylan continue de manière cohérente d'explorer la complexité des rapports humains en déployant une intelligence de cinéma sidérante que ce soit dans la composition des plans ou le sens du cadre.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
Le cinéaste signe un nouveau film plastiquement sublime, flirtant sans cesse avec l'ennui mais réussissant à redresser ka barre grâce à un humour étrange et un dynamitage des genres assez fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Première
La grâce vibrante [des] précédents films [de Nuri Bilge Ceylan] (...) s'est ici figée en un esthétisme appuyé, étouffant de virtuosité sombre. (...) Un film suffocant.
[Une] fable fataliste qui (...) marque un léger repli, un petit déficit d'inspiration (...) Nuri Bilge Ceylan n'a pas perdu, heureusement, son sens de l'ironie, qui lui inspire quelques fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) les pesanteurs accumulées l'emportent sur ce qui restait de vif ou de disponible au monde dans (...) les si beaux La Petite Ville et Nuages de mai. (...)
20 Minutes
(...) Nuri Bilge Ceylan n'a pas reçu la mise en scène pour rien, mais pour inciter les cinéphiles curieux à découvrir ces fulgurances esthétiques.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Positif
Ce n'est pas seulement une leçon de mise en scène, c'est un sommet de la direction d'acteurs (...)
Dvdrama
Nuri Bilge Ceylan continue de manière cohérente d'explorer la complexité des rapports humains en déployant une intelligence de cinéma sidérante que ce soit dans la composition des plans ou le sens du cadre.
L'Humanité
(...) un genre particulier de cinéma, le mélodrame populaire. C'est aussi pour cela qu'on aime ce film (...)
Le Journal du Dimanche
(...) Le film impressionne par sa beauté plastique, ses comédiens poignants, sa photographie magique (...)
Le Monde
(...) une atmosphère pesante, palpable dans la tonalité existentielle du film autant que dans son traitement esthétique (...) Du grand cinéma.
Libération
(...) Un film envoûtant sur la jalousie, l'arrogance du pourvoir, la violence et surtout le mensonge (...)
Première
Le cinéaste signe un nouveau film plastiquement sublime, flirtant sans cesse avec l'ennui mais réussissant à redresser ka barre grâce à un humour étrange et un dynamitage des genres assez fascinant.
TéléCinéObs
(...) Ni effets ni morceaux de bravoure, juste une caméra contemplative, qui suit les personnages dans leurs errements.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
L'Obs
(...) Résultat : une oeuvre curieuse et lancinante.
Le Figaroscope
Cette réflexion sans concession sur la condition humaine pourra déclencher l'ennui comme une étrange fascination.
Les Inrockuptibles
La grâce vibrante [des] précédents films [de Nuri Bilge Ceylan] (...) s'est ici figée en un esthétisme appuyé, étouffant de virtuosité sombre. (...) Un film suffocant.
Ouest France
(...) un goût de l'hermétisme dans le fond et de l'esthétique dans la forme.
Télérama
[Une] fable fataliste qui (...) marque un léger repli, un petit déficit d'inspiration (...) Nuri Bilge Ceylan n'a pas perdu, heureusement, son sens de l'ironie, qui lui inspire quelques fulgurances.
Cahiers du Cinéma
(...) les pesanteurs accumulées l'emportent sur ce qui restait de vif ou de disponible au monde dans (...) les si beaux La Petite Ville et Nuages de mai. (...)
Metro
(...) Le spectateur décroche trop vite (...)
Studio Magazine
Voir le site www.studiomagazine.fr