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Un visiteur
1,5
Publiée le 9 septembre 2013
Je l'ai vu en VF alors je ne sais pas si j'y aurai gagné en VO. Pour moi les acteurs sont mous, et ce même si l'époque était un peu à la coolitude. Les aspects de ce festival ne sont qu'effleurés. le manque de bilouse, la mafia proposant ses services pour faire régner l'ordre, l'argent qui coulait à flot chez les commerçants etc.... ce film ma plus fait penser à une comédie familiale juive du style "tellement proches". Les acteurs n'ont absolument rien de convaincants, aucunes images d'archives ni musiques ne vient illustrer ce film. Tout n'est que reconstitution en carton pâte. Je le déconseille vivement à ceux qui ont encore un souvenir frais des années 70.
Une telle note. Pourquoi ? Parce que ce film vend du rêve. Là, maintenant, j'ai juste envie d'aller aux States à un big concert de hippies et de me poser sur la colline avec mon bédo entre l'index et le majeur. Après évidemment, faut au moins être à moitié hippie pour tomber amoureux de ce film. Une superbe oeuvre cinématographique hurlante de réalisme interprétée par des acteurs qui endossant leur rôle à la perfection à ma grande surprise. Une BO planante en totale harmonie avec l'histoire qui elle-même est magnifique. Un début certes pas très accrocheur, mais la suite vaut le coup du détour. Certains vont dirent "Ouais, mais ça c'est pas vraiment passé comme ça, après quand les gens sauront, ils seront dessus !", et bien non figure-toi, jeune protestant. On s'en fou du réalisme, ce qui compte là, dans ce film, c'est le rêve ; oui comme je l'ai dit plus ci-dessus, il vend du rêve et ça nous fait voyager, cela nous donne un instant de bonheur, et c'est ça le plus important. Bref, je suis tout simplement en admiration.
Quand Elliot accepte d'accueillir un festival de musique hippie dans le champ près de chez ses parents, c'est avant tout car il espère relancer le motel familial délabré
Pluie, boue, invasion de festivaliers et embouteillages les plus importants de l'histoire des Etats-Unis : connaître les dessous de l'organisation d'un festival historique et voir comment les organisateurs se sont fait totalement dépasser par les évènements
D'abord estimé à 50 000 personnes, l'évènement va finalement attiré près d'un demi million de spectateurs !
Dans les coulisses du fameux festival de Woodstock; étant moi-même passionnée par cette époque, j'avoue être un peu déçue car il manque quelque chose qui aurait pu faire de ce film un must-see. Quelques scènes sympa sans plus. La fin est pitoyable par contre.
Que c'est lent ! Le film donne l'impression d'être plein de bon sentiments mais comme ses personnages, un peu embrumé. Les scènes ne vont pas au bout de ce qu'elles auraient à donner. Au final, rien de très convainquant, un film au goût tiède. Et l'on se demande comme l'un des personnages du film, ce qui pourra bien rester de tout ça.
On montre finalement très peu ce qu'était réellement Woodstock en tant que festival ; cela peut être surprenant voir décevant pour celui qui s'y attendait. Mais il faudrait être de mauvaise foi pour dire que le film en est mauvais pour autant : il est même plutôt très bon. L'histoire est vraiment intéressante et amusante. Les personnages sont attachants. Alors que certains nous replongent dans l'époque à notre grand émerveillement (Paul Dano, Jeffrey Dean Morgan), le premier rôle est joué à merveille (Demetri Martin). Ses parents sont formidables (Henry Goodman) avec une mère névrosée toujours aussi bien menée par Imelda Staunton. Liev Schreiber apporte une touche humoristique et décalée qui fait parti de ces choses qui donnent tout son caractère à un film de ce genre. On adore aussi quelques scènes vraiment caractéristiques de l'époque, parfaitement bien menées et indispensables.
Ang Lee ferait mieux de retourner à l'école... Réalisation d'amateur, acteurs sans âme, Émile hitch à quoi sert il ? Pas assez de drogue, pas de musique alors que le film repose sur un festival musical ! Et sincèrement on a pas envie de goutter du hippie...
Un bon film, honnête, sans prétention. voilà. On passe un bon moment. Ca sera loin d'être la meilleure expérience dans une salle de cinéma, mais on ne regrettera pas d'y être allé.
Dernier sorti des films d’Ang Lee « Hôtel Woodstcok » n’a reçu qu’une critique très moyenne, j’étais donc curieux de voir ce film d’un réalisateur qui, excepté « Hulk », possède une filmographie plutôt bonne. Il a choisi de mettre en image les mémoires d’Elliot Teichberg sur les évènements qui amenèrent à l’établissement du concert de Woodstock à Bethel. Le film draine toute la mythologie de cette époque et de cet évènement mythique sans que jamais pourtant la musique qui y fut donnée ne résonne vraiment ni que jamais un des artistes qui y étaient présents ne soit montrés. C’est dans ce paradoxe qu’il faut voir à mon avis la déception qu’a provoqué le film sur les spectateurs. J’ai au contraire, pour ma part, aimé cette distanciation qui nous épargne une résurrection un peu artificielle et en même temps très kitsch de cet évènement. Tout le long du film on reste dans les coulisses où errent une bande de personnages tous plus haut en couleur les uns que les autres. À commencer par la mère du principal protagoniste juive russe aussi pleine de vie que terrifiante et dont l’obsession de l’argent (pour fuir la pauvreté pas par cupidité) l’amène à mentir à sa propre famille. On peut aussi signaler le rôle de Liev Schreiber surprenant et pour le moins attendrissant en transgenre peroxydé et armé. Tout le film est parcouru par l’insouciance des mouvements hippies de cette époque et on se surprend à se dire qu’on plongerait bien dans cette boue psychédélique pour aller s’y amuser. Un film qui n’est pas un chef-d’œuvre ni le meilleur film d’Ang Lee, mais qui reste un petit moment de tendresse et de naïveté que j’ai trouvé très rafraîchissant.
Très intéressant, à partir d'un endroit pommé et d'un vieux motel, ils arrivent à faire un festival incroyable. Trop incroyable. Le film n'a pas vraiment de punch, de complication avec certaines personnes, je dirais presque tant mieux mais à cause de ceci on commence à s'ennuyer. Heureusement, il y a plein de bons morceaux et des situations vraiment drôle.
"Hôtel Woodstock", réalisé par Ang Lee est un film plutôt sympathique qui mêle la petite histoire d'une famille possédant un Motel à Bethel dans les Catskills au nord de l'Etat de New-York, avec l'un des évènements majeurs de la contre culture de la fin des années 60. La petite bourgade de Bethel va en effet voir, en 1969, son territoire envahi par un demi million de hippies venus participer au célèbre festival de Woodstock. Dans la première partie, la plus intéressante et surtout la plus structurée, Ang Lee dépeint les relations de la famille Teichberg, propriétaire d'un Motel à la situation économique difficile. La seconde partie décrit, dans un récit un peu foutraque, le rassemblement géant qu'a entraîné la tenue du festival de Woodstock dans cette petite ville tranquille. Ang Lee s'attache à décrire l'atmosphère psychédélique de cette manifestation, faisant passer un élan de liberté et de douce folie dans cette description qui part un peu dans tous les sens. Avec cette réalisation, Ang Lee réussit à saisir l'esprit de toute une époque mais "Hôtel Woodstock" ne convainc pas totalement, principalement à cause d'une deuxième partie trop brouillonne qui ressemble plus à un documentaire mal fichu qu'à un véritable film de cinéma.
Bien bien bien . A travers ce film Ang Lee nous présente l'année 1968 à travers la révolution des hippies et bien ma fois ça devait être super cool à vivre ! Comme quoi ces pacifistes ont tout compris en fin de compte .. Casting niquel , on est fan !