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Un visiteur
4,0
Publiée le 7 octobre 2009
J'étais vraiment impatiente de découvrir ce film... Et je suis pas déçue ! Un vrai moment de plaisir, ou on oscille entre émotion, rire et émerveillement. Le scénario est bien ficelé, on ne s'ennuie jamais ! On ressort de ce film le sourire aux lèvres, tout émoustillé par ce qu'on vient de vivre !
C’est l’histoire romancée de la naissance de ce Festival de1969 qui fit et fai encore couler beaucoup d’encres. Un événement comme il y en eut peu, et comme sans doute il n’y aura plus, qui a marqué l’histoire de la musique et de l’histoire tout court. Ang Lee choisit de ne montrer dans son film que les coulisses, aucune scène de concert, et ce n’est pas un mal, la narration gagne en puissance et ne sombre pas dans la comédie musicale, se concentrant sur les rapports humains. Rien que de très universel en somme mais qui fonctionne à merveille : l’amour, la quête de soi, la recherche de son idéal et de sa voie. Les acteurs choisis sont tout à fait excellents, Imelda Staunton (le Pr Ombrage des Harry Potter) est affreuse et géniale ; Jonathan Groff délicieux ; liev Schreiber original et touchant. Pour ne citer qu’eux. Un très bon film à mon avis, des histoires dans l’histoire. Pourrait-on rêver d’un moment comme celui-là adapté à nos jours ?… pas sûr mais qui sait ?
J'ai trouvé ce film long est ennuyeux... sans intrigue ni suspens ni enjeu... Il ne s'y passe pas grand chose et ce n'est que tres rarement rigolo... Pour ce qui est du positif, les acteurs jouent bien ( sauf peut etre etonnement hirch qui en fait trop je trouve ) et les decors sont superbes. les lumieres ainsi que la façon de filmer sont belles, le réalisateur à quelques fois voulu donner le rendu du grain des cameras de l'époque et c'est pas mal... On voit comment le festival c'est fait et il relate je pense bien l'ambiance "peace" qu'il y regnait la bas... mais bon...
Place offerte pour mon anniversaire par le gaumont..... et heureusement que je n'ai pas payé pour ce film ! creux, mal joué, pas joué, clichés. En même temps, ce sont les années 60, il ne faut pas s'attendre à du moderne.
Attention de ne pas venir voir Hôtel Woodstock pour les mauvaises raisons ! Ce n’est pas un film sur le festival (pour cela aller plutôt voir Woodstock de Michael Wadleigh), mais bien sur une époque. A travers les coulisses du fameux festival on devient spectateur d’une jeunesse américaine désireuse de changer le (leur) monde : homosexualité, Vietnam, conflits familiaux, féminisme sont les thèmes abordés avec une pudeur qui est propre à Ang Lee. Ce film est une belle réussite en partie pour l’atmosphère qui y règne (merci la photographie) et pour les acteurs géniaux : Liev Schreiber, Emile Hirsch, Imelda Staunton, et surtout Demetri Martin dans un rôle « casse gueule » de jeune un peu transparent tiraillé entre l’amour pour ses parents et une sexualité pas assumée.
« Super ! Ang Lee est de retour ! » C'est bien ce que beaucoup auraient envie de crier devant les affiches de tous ces cinémas nous annonçant la projection de cet "Hôtel Woodstock". Pourtant, avouons-le, il est bien difficile de conseiller à quiconque la dernière oeuvre du maître taïwanais tant l'ensemble est routinier et sans réelle saveur. En effet, la linéarité de l'intrigue, ainsi que le manque d'imagination dans la mise en images de ce sujet, contribuent à faire de la première demi-heure un moment particulièrement soporifique et du reste un ensemble relativement banal. Pourtant, bien que cet "Hôtel Woodstock" ne parvienne jamais à sortir des sentiers battus pour nous surprendre, il faut néanmoins lui concéder que le spectacle reste honnête, mené sans envergure certes, mais avec une certaine maîtrise, si bien que la pilule passe sans trop d’amertume. Bref, pas de chef d'oeuvre en vue, ni même de film qu'on pourrait qualifier d'agréable, mais au moins un film correct qui pourrait - malgré tout - satisfaire convenablement ceux qui auraient un réel besoin de passer le temps.
J'ai tout simplement adorer ce film, un vrai bonheur, des acteurs qui joue très simplement et avec beaucoup de justesse, je retiendrais surtout Emile Hirsch, je pensais le voir plus dans ce film, mais ses rares apparitions sont remarquable, Demetri Martin qui joue le premier rôle "eliot" l'interprète a merveille, mais je retiendrais surtout Jonathan Groff qui est pour moi une révélation, je l'ai trouver tellement parfait dans ce rôle de Michael Lang, toujours le sourire au lèvre, bref je pense que cet acteur a de l'avenir (en tant qu'acteur mais même en tant que chanteur, et il connait déjà l'univers hippie car il joue dans le nouveau "Hair" a Broadway!!). Mais il manquait quelque chose, je ne sais pas quoi, peut être faut il que je le vois en VO....quand il sortira en DVD....
Il y a des moments très forts dans Hotel Woodstock(quand le concert démarre)par contre tout ce qui concerne les parents du héros alourdisse le film.L'image du film est magnifique, on se croirait parfois dans une sorte de paradis, sans qu'Ang Lee en rajoute.Un film positif sur cette période, à moitié réussi.
J'aime de plus en plus la filmographie d'Ang Lee.Relateur de grandes histoires par le biais de la petite,il confère à ses films un cachet de vénérable modestie et de certitudes épanouies.On pouvait craindre la sortie de route pour "Hôtel Woodstock",opus léger et frais pour Ang Lee qui a prouvé sa valeurs dans les drames générationnels.Pourtant,c'est une réussite.Pourquoi?En sortant des sentiers battus.le film ne nous montre jamais une image du concert emblématique du flower power et l'apothéose de la culture hippie.Il préfère sillonner les a-côtés,à savoir la famille voisine,tenancière d'un môtel décrépi.A travers le personnage introverti Tiber de(Demetri Martin,incontestable découverte),Ang Lee veut montrer la libération irrésistible d'une jeunesse,alors contestataire et fusionnelle.Il aborde son quota de thèmes douloureux(homosexualité,Vietnam,conflits parentaux,féminisme)avec sa pudeur coutumière.Maître zen et hédoniste.Comme ses protagonistes.Coloré en pastel et bercé d'une douce mélancolie latente,"Hôtel Woodstock" est une apnée dans un évènement,qu'on croirait fantasmé,si l'on n'en connaissait son existence.Un passage mémorable d'un trip LSD dans un combi VW et le message pacifico-insouciant dominant,finissent de nous emporter sur les cîmes de l'euphorie rêvée.
Ce film est la narration du fameux festival hippie. on suit l'histoire de ce jeune homme dans une passe difficile et qui essaie de se "dépétrer" de l'emprise de ses parents. L'organisation de ce festival va bouleverser sa vie et celle de toute une génération. De beaux paysages, de belles musiques et couleurs... Meme si on ressent une certaine nostalgie en regardant ce film je trouve qu'une partie du film "frole" le documentaire et on s'ennuie un peu , quelques passages auraient pu etre coupés ! pas indispensable
ennuyeux à mourrir !! première fois pour moi que je pars avant la fin je n'ai pas pu supporter les 15min restante! Aucun sénario, il ne se passe absolument rien, la musique est inexistante et c'est un comble pour un film qui se dit retracé cet évenement!! Lent, long, à éviter absolument si on ne veut pas gacher 2h de sa journée.