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    Serbis (Service)
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    2,8
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    38 critiques spectateurs

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    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2008
    Avec Serbis, le philippin Brillante Mendoza ne confirme pas vraiment les espoirs placés en lui au vu de l'excellent John John. Le quotidien d'un cinéma porno, aussi bien lieu de vie familial que repaire pour la prostitution, n'est pas dénué d'intérêt mais le cinéaste a une fâcheuse tendance à souligner le côté sordide et glauque de l'affaire. Sans scénario structuré, le film part à vau l'eau et il est difficile de s'attacher à un personnage dans ce portrait de groupe (croupes ?). Malgré la déception, Mendoza reste un metteur en scène à suivre dans un cinéma philippin parmi les plus créatifs d'Asie.
    Photo-cineaste
    Photo-cineaste

    56 abonnés 572 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 novembre 2008
    Je sort du cinéma. Une chose qui m'a choqué d'entrée. Aucun avertissement pour ce film. Il aurait du au moins être interdit minimum aux moins de 12 ans. Je ne m'attendais pas du tout à voir les scènes que j'ai vu. Certaines très inconfortable. En plus a côté de moi il y avais un vieux tout sourire dans le ciné. Limite si il n'avais pas la gaule. Du coup, ses scènes que je trouve un peu trop vulgaire et malsaine, même pour ce genre de film. Fait que je n'ai pas aimé cette histoire, enfin j'ai bien aimé l'histoire de cette famille, mais pas le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 novembre 2008
    Ce film est une horreur. plan publicitaire, Aucune intelligence. Rendez-vous service : n'y allez pas !
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2008
    On a reproché à l'auteur un récit excessivement glauque, un style amateuriste, une imagerie criarde et une bande-son assourdissante, les bruits de rue (klaxons, circulation) dégageant un volume de décibels particulièrement éprouvant. Mais des digressions insolites tempèrent un faux naturalisme : ce sont les images d'une (vraie) chèvre devant l'écran, suscitant un mouvement de panique dans la salle, ou celles d'un furoncle, symbole du caractère imprévisible du quotidien.
    Voilà tout compte fait un film d'atmosphère audacieux mais efficace (ses 90 minutes défilent vite).
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 novembre 2008
    Six mois après la sortie de "John John", son film précédent, le réalisateur philippin Brillante Mendoza était en compétition à Cannes. On se demande bien comment et pourquoi ? Pour choquer les spectateurs ? Bof, c'est un peu raté, car les scènes un peu chaudes qui se déroulent dans cette salle de cinéma porno dans laquelle on s'adonne également à la prostitution, on les a déjà vues et revues. Pour épuiser le jury et les spectateurs ? Alors là, oui ! D'un bout à l'autre du film, on entend en fond sonore le bruit de la rue d'une ville des Philippines et c'est assourdissant ! Un conseil : si vous décidez, malgré tout, d'aller le voir, mettez des boules Quies !
    rayonvert
    rayonvert

    22 abonnés 253 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2015
    Conquis par la mise en scène de Brillante Mendoza mais par encore je suis resté extérieur à l'histoire. Cette famille est attachante mais je ne me suis pas senti concerné par leurs vies.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 novembre 2008
    C'est à une véritable expérience cinématographique que nous invite le réalisateur philippin Mendoza. Une journée dans la vie d'une famille, d'un cinéma. Une journée aux Philippines. Evidemment ça casse tous les codes narratifs classiques, mais si on ouvre ses yeux, ses oreilles, (son nez presque...), on y est ! Eveilleur des sens, merci Brillante Mendoza !
    cristal
    cristal

    177 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2008
    C'est "Cinema Paradiso" pour les pornographes. C'est l'enfance de Tarantino remixée aux philippines. C'est le coeur bouillant d'une ville entière qui palpite à l'écran, au milieu des couleurs saturées, des mouvements saccadés et de la nuisance sonore du trafic urbain qui sert de fil musical à la totalité du film. Dès le générique de départ, la pellicule amochée fait défiler les noms avec le bruit incessant de la bobine qui tourne infiniment derrière. L'effet est réussi ; il m'a semblé être perdu quelquepart au milieu d'un cinéma de quartier philippin, dans lequel deux ou trois prostituées ou quelques gays déambuleraient à la recherche de 'services' . Ô perverse illusion du cinéma. Le film perd vite de son charme dès qu'il aligne sa tempête sonore, son tourbillon à la fois vide et entier de personnages qui se croisent, s'aiment, se défont par secondes, se baisent, se lovent, se touchent, se sucent, qu'ils se draguent, se livrent à un petit jeu de séduction qui se mue rapidement en prostitution, qu'ils sont là, devant un film érotique, scrutés dans l'obscurité par nous et l'obscurité de notre salle. "Serbis" peut alors vite devenir passionnant, à l'unique condition de bien vouloir rentrer dans le jeu, non pas malsain, d'une population, ou d'une famille plutôt, incapable de n'être autre chose que les instruments éphémères d'une foire sexuelle sans réel enjeu politique ou social. Le film, plutôt que de plaindre la condition humaine aux Philippines, sujet qui aurait ceci dit eu bien interêt à se développer ailleurs dans un autre film aux buts et aux conditions différentes, préfère plutôt vivre du cinéma, car on est là pour ça, pour jouer et déjouer le réel. La caméra embarquée, presque hystérique et en temps réel, construisant la suite par une épopée de plans-séquences en allers/retours et en effets miroirs, peut vite nuire à la lisibilité du film. Mais elle est là comme un gag ou une épreuve (que les protagonistes semblent subir pour décrire au mieux leur réalité), sans
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