Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Les images sont d'une grande beauté et, disons-le, ce film est sublime !
La critique complète est disponible sur le site Elle
Metro
par Mehdi Omaïs
Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Fuyant l'académisme, la réalisatrice dépouille son histoire d'amour obsessionnel à l'os (absence de musique, dialogues minimalistes), convoque un univers sensoriel et sonore sauvages, qui rappelle les films d'Andrew Kötting.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film brille par un découpage et un montage extrêmement inventifs et mobiles, capables de heurts comme de fluidité, tirant leur précision d'une subjectivité affirmée, variant continûment les distances et les échelles de plan, dont les collisions ne laissent aucun répit.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de l'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Marie-noelle Tranchant
La réalisatrice fait preuve d'un sens de la nature puissant et original.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Noémie Luciani
Un travail d'exception pour une réussite incontestable, et une grande leçon de lecture.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
En portant à l'écran le roman d'Emily Brontë, Andrea Arnold évite la veine purement romantique des précédentes adaptations. Elle redonne à cette histoire d'amour sa beauté brute, sa fouge, sa violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Le résultat est, une envoûtante exploration du lyrisme anglais.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Un film pas aimable, encore une fois. Mais à aimer.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Paris Match
par Yannick Vely
Si l'on comprend l'aspect théorique du projet - impressionnant travail sur le son, passionnante composition des plans et des motifs -, la froideur qui s'en dégage coupe l'empathie qui pourrait se dégager de l'histoire d'Heathcliff.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
(...) pour la première fois, devant la caméra d'une femme, le monde créé par une femme qui ne quitta jamais ou presque le presbytère familial (...) prend vie sous nos yeux, décapé, remis à nu, débarassé de toutes les images fausses qui en ont été données au fil du temps.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Eric Vernay
(...) Andréa Arnold apporte sa touche de modernité à la ténébreuse love story.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
(...) on oscille sans cesse entre des images d'éléments concrets et des métaphores, sans jamais se fixer sur les personnages eux-même dont le sort finit par laisser indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
TF1 News
par Romain Le Vern
Plus que jamais sur les traces de Jane Campion pour la plongée dans les arcanes du désir féminin ..., cette histoire d'amour, (...) possède toutefois suffisamment de cinéma pour séduire. Ce n'est pas rien.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Vincent Avenel
Lâchée dans les monts du Yorkshire, Andrea Arnold parcourt "Les Hauts de Hurlevent" avec la légèreté d'un bataillon d'infanterie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
En transformant le héros original en victime toute désignée, et en n'adaptant que la moitié du texte d'Emily Brontë, Andrea Arnold ne trahit pas le matériau de base, elle l'amoindrit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Pourtant, prisonnière d'une caméra démonstrative, la réalisatrice britannique [Andrea Arnold] signe un film monolithique qui épuise vite sa charge émotionnelle. (...) Au choc des premières images, succède une molle lassitude.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Jacques Morice
La beauté visuelle du film est indéniable (...) mais la caméra à l'épaule, frénétique, donne vite la désagréable sensation d'être ballotté dans une mer en furie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
par Damien Aubel
Non content d'émousser les aspérités du réel, ce glacis esthétisant tente de donner du lustre à une mise en scène très chiche d'idées.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Elle
Les images sont d'une grande beauté et, disons-le, ce film est sublime !
Metro
Bouleversant.
TéléCinéObs
Fuyant l'académisme, la réalisatrice dépouille son histoire d'amour obsessionnel à l'os (absence de musique, dialogues minimalistes), convoque un univers sensoriel et sonore sauvages, qui rappelle les films d'Andrew Kötting.
Cahiers du Cinéma
Le film brille par un découpage et un montage extrêmement inventifs et mobiles, capables de heurts comme de fluidité, tirant leur précision d'une subjectivité affirmée, variant continûment les distances et les échelles de plan, dont les collisions ne laissent aucun répit.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Le Figaroscope
La réalisatrice fait preuve d'un sens de la nature puissant et original.
Le Monde
Un travail d'exception pour une réussite incontestable, et une grande leçon de lecture.
Les Fiches du Cinéma
En portant à l'écran le roman d'Emily Brontë, Andrea Arnold évite la veine purement romantique des précédentes adaptations. Elle redonne à cette histoire d'amour sa beauté brute, sa fouge, sa violence.
Libération
Le résultat est, une envoûtante exploration du lyrisme anglais.
Marianne
Un film pas aimable, encore une fois. Mais à aimer.
Paris Match
Si l'on comprend l'aspect théorique du projet - impressionnant travail sur le son, passionnante composition des plans et des motifs -, la froideur qui s'en dégage coupe l'empathie qui pourrait se dégager de l'histoire d'Heathcliff.
Positif
(...) pour la première fois, devant la caméra d'une femme, le monde créé par une femme qui ne quitta jamais ou presque le presbytère familial (...) prend vie sous nos yeux, décapé, remis à nu, débarassé de toutes les images fausses qui en ont été données au fil du temps.
Première
(...) Andréa Arnold apporte sa touche de modernité à la ténébreuse love story.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Charlie Hebdo
(...) on oscille sans cesse entre des images d'éléments concrets et des métaphores, sans jamais se fixer sur les personnages eux-même dont le sort finit par laisser indifférent.
TF1 News
Plus que jamais sur les traces de Jane Campion pour la plongée dans les arcanes du désir féminin ..., cette histoire d'amour, (...) possède toutefois suffisamment de cinéma pour séduire. Ce n'est pas rien.
Critikat.com
Lâchée dans les monts du Yorkshire, Andrea Arnold parcourt "Les Hauts de Hurlevent" avec la légèreté d'un bataillon d'infanterie.
Ecran Large
En transformant le héros original en victime toute désignée, et en n'adaptant que la moitié du texte d'Emily Brontë, Andrea Arnold ne trahit pas le matériau de base, elle l'amoindrit.
La Croix
Pourtant, prisonnière d'une caméra démonstrative, la réalisatrice britannique [Andrea Arnold] signe un film monolithique qui épuise vite sa charge émotionnelle. (...) Au choc des premières images, succède une molle lassitude.
Télérama
La beauté visuelle du film est indéniable (...) mais la caméra à l'épaule, frénétique, donne vite la désagréable sensation d'être ballotté dans une mer en furie.
Transfuge
Non content d'émousser les aspérités du réel, ce glacis esthétisant tente de donner du lustre à une mise en scène très chiche d'idées.