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J-c T.
34 abonnés
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2,5
Publiée le 27 octobre 2011
La seconde déclinaison, après « Espace Détente », sur grand écran des aventures des personnages de la série « Caméra Café » est moins réussie et compte moins de personnages que le 1er opus. Néanmoins ce second film réserve quelques bons gags qui font mouche. Les inséparables J-C et Véver sont au top
Un peu rude la moyenne spectateur, pour ce film qui à défaut d'être hilarant, tente de jouer sur le tableau du drame social, tout en restant dans le registre comique. Un exercice de grand écart qui n'est pas toujours réussi, mais qui a le mérite de rendre accessible une certaine réalité sociale.
Alors bien-sur il y a la comédie, le comique de dialogue, le comique de situation (pas toujours très fin, je le concède), le burlesque aussi et honnêtement, c’est pour ça que les gens vont le voir en salle. On y va comme on retrouve de vieux copains, des anciens collègues qu’on n’a pas vus depuis trop longtemps et dans ce sens, on tient là une jolie petite madeleine ! Mais si on veut bien aller un peu au-delà, il y a du fond dans ce film, si… Moi, j’y vois aussi une critique sociale du monde de l’entreprise d’aujourd’hui, et notamment de ce qu’on appelle les « ressources humaines », bien plus que dans « Espace détente », le premier film... Pas besoin de travailler dans le privé pour savoir que ce séminaire de remotivation et de cohésion est tellement ridicule dans son esprit qu’il en devient… parfaitement crédible ! Avec ces phrases toutes faites, ses mots lénifiant, ses jeux de rôles improbables, ses sous-entendus (ceux qui relèvent du bourrage de crâne politique et pernicieux)et… son but inavoué : évaluer avant de dégraisser, on baigne dans une atmosphère qui parle à bien plus de gens qu’on ne pourrait le croire ! Et derrière la comédie se cache quelque chose de plus douloureux, surtout par les temps qui courent. Et d’ailleurs la fin du film laisse dans la bouche un peu étrange : un goût sucré/salé dont on ne sait pas s’il n’est pas finalement plus salé que sucré !
Bien meilleur que le premier, je ne saurai pas dire pourquoi mais je le sens comme ça. Peut-être plus...pas mâture, plus... Moins pénible en somme. Un bon gros con-venant lourdeau, un syndicaliste pourri à souhait (dommage que ça ne s'améliore pas, là il m'est vraiment devenu antipathique après avoir repoussé Virgine Hocq ^^. Un film creux à ne pas acheté en dvd.
Les revoilà les employés décalés et hystériques mais drôlissimes à souhaits de Geugène qui nous avait laissé dans un ESPACE DETENTE carrément barré, ô combien poussif mais heureusement divertissant. Cette joyeuse bande d’intrépides (cette fois seulement les six principaux) de cette boîte qui peine à se recentrer, se voit envoyer à Paris pour un séminaire de remotivation, et quel séminaire ! Entre Vé-ver le communiste ringard, désormais père de famille, Jean-Claude et son tempérament excessif, le beauf (attachant) par excellence, Jean Guy le PDG manipulateur, aigri et sans cœur, Jeanne la nunuche maladroite et inoffensive, Maëva l’huberlulu de service enceinte jusqu’au coup et Philippe l’homo kitch et rafraîchissant, le spectacle promet d’être encore réjouissant ! Et le divertissement escompté est bien évidemment au rendez-vous avec cette fois-ci un réel intérêt en dénonçant les honteux plans sociaux et les licenciements que cela génère, qui plus est à l’insu des concernés et de manière totalement illégal et surtout immoral. LE SEMINAIRE dépeint donc le milieu de l’entreprise avec beaucoup de réalisme et se met au service des gags et des personnages tout en restant fidèle à l‘humour qui faisait mouche dans la série. Certaines répliques sont très hilarantes, d’autres beaucoup moins ce qui suscite un film inégal tant sur le rythme que le contenu. Mais le film se regarde avec un malin plaisir car ces retrouvailles marquent définitivement la fin de la série pour ces personnages cultes en clôturant dignement ’Caméra café’ avant l’arrivée de la nouvelle équipe… C’est donc la nostalgie et l’indulgence qui s’éprend de nous.
J'ai rarement eu l'occasion de voir "Caméra café" sur le petit écran, programme qui a sauvé la vie à Yvan Le Bolloc'h et Bruno Solo qui accumulèrent pendant longtemps les bides et émissions stoppées précocement à la télévision avant cela. Ca ne m'a pas empêché d'apprécier ce film assez drôle dans l'ensemble sur ce thème du séminaire d'entreprise assez classique. Le Bolloc'h y joue d'ailleurs un personnage assez proche de son rôle de quadragénaire semi-raté que l'on voyait dans "J'ai faim !!!", il pourrait se renouveler le bonhomme. Gentillet, mais tout ça ne vole pas bien haut quand même.
Une énorme déception autant j adorais la mini série de M6 et la première adaptation ciné de caméra café, autant ce film est un plantage quasi total. En mettant de côté certains personnages et en plaçant l histoire au cours d'un séminaire d entreprise (ce qui aurait pu être une bonne idée pour se renouveler) le film a perdu aussi ce qui faisait le charme du concept à savoir les mesquineries petites et grandes dans le monde de l entreprise. Alors oui le personnage de Jean Claude Convenant m a arraché quelques sourires (alors qu avant c était des rires très franc) mais cela est bien trop faible comparé à ce qui avait été fait auparavant. Cela manque de rythme et d idées, un vrai comble.
Voilà un film plus intelligent qu'il ne veut bien le laisser croire, car si LE SÉMINAIRE est bel et bien cuisiné à la sauce CAMERA CAFÉ, l'heure n'est plus franchement à la flânerie de l'ESPACE DÉTENTE... Si le scénario semble prétexte à des retrouvailles, c'est parce que la comédie, cette fois, importe moins que l'étude de mœurs. Chose rare, un scénario ne comble pas sa vacuité en prétendant à la 'comédie divertissante' par facilité, au contraire, il s'agit ici d'informer, de dénoncer, de divertir presque accessoirement, en tout cas sans abêtir. Face au chaos qui règne dans le monde de l'entreprise aujourd'hui, où les gens s'écrasent les uns les autres pour réussir à grand renfort de coups bas en tous genres, LE SÉMINAIRE déplore l'esprit de solidarité qui régnait dans l'entreprise il fût un temps, qui n'est plus envisageable aujourd'hui au sein d'une entreprise gangrenée, où les employés n'ont d'autre choix que de survivre, et de surveiller leurs arrières sous la menace des abus de pouvoir. En somme un constat affuté et tout à fait réaliste de la situation actuelle. Mais pour ceux qui s'inquièteraient face à tant de sérieux, ne vous inquiétez pas, LE SÉMINAIRE reste ce film à l'humour très forcé dans lequel on retrouve le sens du burlesque unique de CAMERA CAFÉ, mais sans pour autant négliger un propos vraiment très engagé, et un point de vue justement extrêmement bien vu. Une page se tourne pour l'histoire de CAMERA CAFÉ, ses auteurs que l'on retrouvent plus enjoués que jamais semblent avoir été jusqu'au bout de leur discours, minimisant la concession, prônant la dénonciation, le témoignage, dans un pamphlet à la réflexion aboutie. Côté réalisation, elle ne dérangera pas la plupart, mais rebutera certains par un kitch dont on ne sait jamais trop s'il est assumé ou pas !
Une comédie burlesque et même quelques peu psychologique où des personnages en l occurrence salariés se retrouvent au bord de la crise de nerfs. A voir si l on a vu Camera café. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Le séminaire est une très bonne suite du premier volet! On rit beaucoup, les personnages sont bien respectés. L'histoire est, pour une comédie de ce type, assez bie écrite avec quelques scènes et répliques totalement loufoques qui gardent l'esprit de la série Caméra Café. Bref, un très bon moment de détente!
Une seconde excursion cinématographique qui ne casse pas des briques, la faute principalement à une réal inexistante et à un script tournant méchamment en rond mais qui reste agréable grâce à quelques moments barrés et à un casting heureux d'être là.
vous en reprendrez bien un ptit dernier? c'est clairement la fin! ils ont été aux bout de leurs personnages epuisé tout les ressorts comiques possibles! le séminaire est un barroud d'honneur une façon pour les hérvé, jc maéva jean guy nancy juju et autre de nous remercier d'avoir été fidèles au poste toutes ces années! t'en veux?