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Votre avis sur Largo Winch II ?
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Léger mieux minimum pour cette suite à nouveau dirigée par Jérôme Salle. L’intrigue est un peu plus travaillée, les personnages moins caricaturaux et le rythme est encore renforcé dans les scènes d’action par un découpage plus serré mais parfois difficilement lisible. Tomer Sisley répond une fois encore présent. En prime, la beauté de Sharon Stone, la présence accrue de Nicolas Vaude et la dernière apparition de Laurent Terzeiff.
L'histoire est nul. Le méchant est caricaturiser irréaliste mais les effets sont bien Fait
une suite comme le premier cari durale sur tout le ligne , lle producteur a pris la bd et a fait une bd
Encore un bon petit divertissement mais un poil moins bon que le premier opus à mon goût.
On a du rythme et de l'action, et un scénario à rebondissements qui tient la route.
Sharon Stone apporte son standing et sa classe au film. Tomer Sisley lui, et tantôt bon, tantôt très moyen...
On a du rythme et de l'action, et un scénario à rebondissements qui tient la route.
Sharon Stone apporte son standing et sa classe au film. Tomer Sisley lui, et tantôt bon, tantôt très moyen...
« Largo Winch II » se révèle être un divertissement des plus honorables même s’il ne rivalise pas avec les grands blockbusters (on est loin tout de même des « Jason Bourne »). Ce second opus gagne en intensité avec une pointe d’émotion et de romantisme. Le scénario est correctement ficelé, certaines scènes d'action impressionnantes. Sharon Stone et Tomer Sisley se révèlent efficaces dans leur rôle respectif. Un bon moment en perspective pour tous ceux qui ne l’on pas encore vu.
Fêtons le cinéma
Revirement total avec ce second opus à l’efficacité redoutable qui développe enfin, de manière convaincante, l’univers de la bande-dessinée. Le film s’ouvre sur une course-poursuite remarquablement mise en scène qui a l’avantage de plonger le spectateur dès les premières secondes dans l’œuvre, ce que le volet initial avait manqué par un éclatement temporel lassant. Ici les ellipses sont bel et bien présentes mais amenées avec intelligence de sorte à imbriquer passé et présent vers un futur – le futur que les retournements scénaristiques illustreront – qu’il nous tarde de voir arriver. De très bons acteurs incarnent des personnages hauts en couleurs à la psychologie et aux motivations fouillées. Cette fois Jérôme Salle trouve le rythme adéquat pour raconter les tribulations de son héros, mêle les strates sociales, démêle les conflits politiques avec talent. Enfin, la composition musicale, toujours signée Alexandre Desplat, fonctionne par son aspect plus sobre et en dialogue constant avec le film. Largo Winch 2 constitue une œuvre d’action forte et divertissante qui, en dépit de quelques longueurs et facilités, apporte quelque chose au cinéma français, s’érige en vision d’une certaine et exigeante idée du film d’action non dénué de charme. Bravo.
Eric C.
S'inspirant de la bd de Van Hamme et en en respectant globalement les codes, ce deuxième opus de l'aventurier milliardaire propriétaire du groupe W tient globalement ses promesses de bon film d'action . Le plus difficile, Tomer Sisley est parfaitement crédible pour interpréter le rôle fondamental et central de Largo Winch. On peut même dire su'il apporte plus de profondeur, d'émotion et d'équilibre affectif surtout que le héros de papier, aventurier coureur de jupons et aux prises dans les arcanes de la finance internationale. Là on est clairement plus dans l'ambiance film d'action et d'aventures à l'américaine avec cependant des moyens plus limites, nombre de facilités et raccourcis scenaristiques, mais l'ensemble reste très plaisant et rythmé. La touche de casting international avec la toujours sublime et excellente Sharon Stone apporte un plus indéniable et une dimension supplémentaire. Soin particulier apporté aux décors, un bon film d'action français à déconseiller cependant à ceux qui cherchent une adaptation fidèle de la bd.
Mieux que le premier volet, Sisley a pris de l'épaisseur et étoffé son jeu. Le scénario reste tout de même banal et foireux.
Largo décide de vendre son groupe estimé à plus de 50 milliards de dollars pour créer une fondation humanitaire. Mais le jour de la signature, il se retrouve poursuivit pour crime contre l'humanité par une juge (Sharon Stone) qui l'accuse d'avoir été complice d'un massacre en Birmanie financé par son père Nerio. Pour prouver son innocence, Largo va retourner sur les traces de sa vie passée, au cœur de la jungle birmane. Dès le début du film, on retrouve Largo en train de signer un document qu'il avoue ne pas complètement comprendre alors qu'il consiste à mettre en vente tout son groupe estimé à 50 milliards de dollars. Personnellement, lorsqu'il s'agit des conditions générales d'un logiciel que j'installe, j'accepte sans tout lire et tout comprendre. Mais s'il s'agissait de l'intégralité de mon patrimoine, je souhaiterais évidemment comprendre les tenants et aboutissants de la moindre clause contractuelle. Mais pas Largo. Lui, il signe quasiment les yeux fermés en faisant confiance à ses conseillers. Qui plus est dans les eaux internationales... Bref, le truc sent la merde dès la début mais Largo aime tellement se fourrer dedans... Une entame pas crédible du tout : c'est parfait pour me gâcher un film qui s'en sort pas trop mal dans beaucoup d'aspects. Par exemple, j'ai trouvé que les scènes d'actions, et notamment de bagarres sont très bien tournées. Elles sont à la fois réalistes et spectaculaires. Tomer Sisley est toujours aussi convaincant dans son rôle de Largo. Sharon Stone nous a ressorti sa panoplie de Basic Instinct, version juge, tout au long du film : systématiquement en jupe et vas-y que je croise et décroise et re-recroise les jambes dans tous les sens. Ceci dit, ça marche toujours et il faut bien avouer qu'elle a de beaux restes. Quelques passages comiques avec notamment Gauthier qui part à la recherche de Simon Ovronnaz. Quelques exagérations avec la baston en chute libre, qui reste cependant très spectaculaire et qui doit plaire à certains. Perso, j'ai trouvé ça ridicule. Le premier opus était plutôt réussi et laissait espérer une suite correcte mais elle se révèle un ton en-dessous, notamment du fait d'un scénario un peu bidon et cousu de fil blanc. le film se regarde cependant très agréablement, sans coup de mou, le rythme est très dynamique, on ne s'ennuie pas une seconde.
Largo Winch II est la suite de Largo Winch et le fait qu'il soit meilleur que le premier est suffisamment rare pour être souligné . On y retrouve de l'action mais avec un petit peu plus d'originalité que le premier .
Ce film est très bien filmé et propose d'excellentes scènes .
L'histoire comporte des rebondissements et des surprises en restant claire et cohérent .
Le scénario est très bon .
Le dialogue comporte de l'humour .
Une bonne fin .
Sisley (meilleur que dans le premier) ,Stone (dans cette suite il n'y a plus Scott Thomas mais Stone est aussi performante dans deux rôles différents) ,Vaude (plus présent sur dans le premier) ,... sont géniaux .
Ce film est très bien filmé et propose d'excellentes scènes .
L'histoire comporte des rebondissements et des surprises en restant claire et cohérent .
Le scénario est très bon .
Le dialogue comporte de l'humour .
Une bonne fin .
Sisley (meilleur que dans le premier) ,Stone (dans cette suite il n'y a plus Scott Thomas mais Stone est aussi performante dans deux rôles différents) ,Vaude (plus présent sur dans le premier) ,... sont géniaux .
Un bon second volet des aventures de Largo Winch. Sharon Stone incarne une femme d'affaires. Un bon thriller d'aventures.
Un second volet rythmé et réussi avec un scénario efficace, des scènes d'action réussies et un casting impeccable.
videoman29
Jérôme Salle poursuit son adaptation de la bande dessinée « Largo Winch » avec un second épisode tout aussi tonitruant que le premier. Les personnages nous ayant déjà été présentés par le passé, il n'est plus question de s'embêter avec ça et on peut directement rentrer dans le vif du sujet... Ce que le réalisateur Français ne manque pas de faire avec talent et un indéniable sens du spectacle. Du coup, les scènes d'action s’enchaînent sans aucun temps mort et le film n'a pas grand chose à envier à ses modèles made in US. Tomer Sisley reprend le rôle titre avec une énergie totalement intacte et la belle Sharon Stone vient en renfort d'un casting éclectique et plutôt efficace. On n'est donc absolument pas dépaysé par ce nouveau volet des aventures du milliardaire philanthrope que j'ai pris plaisir à retrouver. Il est d'ailleurs bien dommage que la source se soit tarie, tant sont louables les efforts déployés par le cinéaste pour sortir des chemins battus. Je reprendrais d'ailleurs volontiers un épisode ou deux de ce divertissement efficace et musclé qui démontre qu'il est parfaitement possible de faire des films de genre estampillés « bleu, blanc, rouge ». On ne sait jamais, peut-être qu'avec le temps...
Roub E.
Par moment vraiment plaisant, par moment franchement bancal, Largo Winch 2 est un film d'action très inégal. J'en veux pour preuve la super scène du saut en parachute et celle beaucoup moins maîtrisées de l'attaque du village. Il a par moment un côté grenouille française qui veut se faire aussi grosse que le bœuf américain.
Je suis déçu car j’avais bien aimé le premier volet et, cette fois-ci, je n’ai pas « accroché ». C’est en fait surtout l’histoire que j’ai moins aimée. Autant dans le premier épisode, on se pose beaucoup de questions et on s’inquiète vraiment pour Largo, autant ici, on ne s’inquiète pas vraiment et on suit l’histoire sans passion en attendant le dénouement.
En terme de casting, par rapport au premier, je suis aussi déçu car on perd Gilbert Melki dans le rôle de Freddy Kaplan et pourtant le personnage est toujours là mais incarné par un autre acteur. Sharon Stone, dont les gros plans montrent un certain abus pour la chirurgie esthétique est, quand à elle, sous-exploitée.
En terme de casting, par rapport au premier, je suis aussi déçu car on perd Gilbert Melki dans le rôle de Freddy Kaplan et pourtant le personnage est toujours là mais incarné par un autre acteur. Sharon Stone, dont les gros plans montrent un certain abus pour la chirurgie esthétique est, quand à elle, sous-exploitée.
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