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Magnifiquement restitués, les décors envoûtants et les personnages de l'Ecosse médiévale offrent un écrin parfait pour ce récit initiatique, teinté d'un zest de féminisme et de beaucoup d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Rebelle" retient certaines des scories narratives de "Là-haut" et de "Wall-E" (...) mais le progrès est notable, et, malgré ces quelques fautes, le film va subtilement, progressivement aller au-delà de son canevas préconçu de conte de fée celte, via sa foi inébranlable dans l'humanité de Merida et de ses autres protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Rebelle" est une merveille de construction rythmique et de caractérisation de personnages. C'est simple : on ne s'ennuie jamais (...). D'une beauté picturale à couper le souffle, "Rebelle" est un nouveau joyau technologique. Dommage que la 3D ne soit enivrante qu'à de rares occasions (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le fond est un modèle d'écriture, et il faut saluer une fois encore cette capacité qu'ont les studios Pixar de nous offrir sans cesse des histoires inédites, sans jamais chercher à faire fructifier un investissement (...).
[La morale un peu lourde] vient en conclusion d'un vrai spectacle, coloré, documenté, précis, un peu long parfois, qui met en oeuvre toute la virtuosité, l'imagination, la vivacité et le tonus des équipes artistiques et techniques de la maison.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Rebelle nous offre tout ce qu'on pouvait attendre du mariage Pixar-Disney : la féérie Disneyienne (avec princesse et sorcière), mais revue par une technique au top et des scénaristes inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
A première vue, "Rebelle" n'est pas non plus porté par l'ambition scénaristique qui magnifiait les pépites du studio. Pourtant, le charme opère. (...) Au-delà d'une qualité technique suscitant l'ébahissement (...), le charme de "Rebelle" vient de son attachement indéfectible à l'histoire de Pixar.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) le studio magnifie la liberté de mouvement de l'héroïne avec des scènes fougueuses en clair-obscur où elle chevauche dans la lande et tire à l'arc mieux que Robin des bois lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Rebelle" se regarde volontiers grâce à un humour bon enfant, de superbes images et un message un tantinet plus moderne que d'habitude. En ces temps de vaches maigres, ça ne se rate pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Malgré une introduction prometteuse, le reste est très convenu, souvent répétitif, d'une lourdeur parfois même pénible. Nettement moins réussi par exemple que "Raiponce", film estampillé Disney mais génétiquement modifié par des injections d'ADN Pixar.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Même si cette princesse millésime 2012 prend volontiers le contrepied de ses consoeurs historiques de la maison Disney, et c'est tant mieux, sur le fond, "Rebelle" reste fidèle à la tradition des contes animés du studio.
Au bout d'une longue mise en place particulièrement sclérosée (...), une angoisse point : que la précieuse singularité de la firme à la lampe soit définitivement étouffée par le grand frère Disney. Et puis, ouf de soulagement, le film honore in extremis la promesse de son titre.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
C'est peu dire que les précipices, béances et douleurs intimes auxquels nous avait habitués Pixar ont été évacués au profit d'une histoire niaise dont les enjeux ne dérangent personne. Mais que fait John Lasseter ?
(...) quand ces créateurs de talent mettent sept ans pour produire "Rebelle", une assez classique histoire de princesse, on est en droit de se demander si Pixar n'est pas en voie de " disneyisation ". L'imagination débordante des studios d'Emeryville (Californie) s'est-elle peu à peu asséchée, six ans après leur rachat par la maison-mère de Mickey ?
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
Magnifiquement restitués, les décors envoûtants et les personnages de l'Ecosse médiévale offrent un écrin parfait pour ce récit initiatique, teinté d'un zest de féminisme et de beaucoup d'humour.
CinemaTeaser
Pixar offre à sa première véritable héroïne un grand film d'aventures... Un petit bijou.
Critikat.com
"Rebelle" retient certaines des scories narratives de "Là-haut" et de "Wall-E" (...) mais le progrès est notable, et, malgré ces quelques fautes, le film va subtilement, progressivement aller au-delà de son canevas préconçu de conte de fée celte, via sa foi inébranlable dans l'humanité de Merida et de ses autres protagonistes.
Excessif
"Rebelle" est une merveille de construction rythmique et de caractérisation de personnages. C'est simple : on ne s'ennuie jamais (...). D'une beauté picturale à couper le souffle, "Rebelle" est un nouveau joyau technologique. Dommage que la 3D ne soit enivrante qu'à de rares occasions (...).
L'Ecran Fantastique
Le fond est un modèle d'écriture, et il faut saluer une fois encore cette capacité qu'ont les studios Pixar de nous offrir sans cesse des histoires inédites, sans jamais chercher à faire fructifier un investissement (...).
Les Fiches du Cinéma
Mené tambour battant, ce récit initiatique mêle suspense, humour et émotion, servis par le meilleur de l'animation numérique.
Ouest France
[La morale un peu lourde] vient en conclusion d'un vrai spectacle, coloré, documenté, précis, un peu long parfois, qui met en oeuvre toute la virtuosité, l'imagination, la vivacité et le tonus des équipes artistiques et techniques de la maison.
Positif
Rebelle nous offre tout ce qu'on pouvait attendre du mariage Pixar-Disney : la féérie Disneyienne (avec princesse et sorcière), mais revue par une technique au top et des scénaristes inspirés.
Première
A première vue, "Rebelle" n'est pas non plus porté par l'ambition scénaristique qui magnifiait les pépites du studio. Pourtant, le charme opère. (...) Au-delà d'une qualité technique suscitant l'ébahissement (...), le charme de "Rebelle" vient de son attachement indéfectible à l'histoire de Pixar.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
(...) le studio magnifie la liberté de mouvement de l'héroïne avec des scènes fougueuses en clair-obscur où elle chevauche dans la lande et tire à l'arc mieux que Robin des bois lui-même.
Ecran Large
On serait presque tenté de qualifier le film d'insidieusement réactionnaire.
L'Express
"Rebelle" se regarde volontiers grâce à un humour bon enfant, de superbes images et un message un tantinet plus moderne que d'habitude. En ces temps de vaches maigres, ça ne se rate pas.
Le Journal du Dimanche
Une déception estompée par une esthétique visuelle sublime, qui plonge le spectateur au coeur des landes envoûtantes et du folklore de l'Écosse.
Le Monde
Malgré une introduction prometteuse, le reste est très convenu, souvent répétitif, d'une lourdeur parfois même pénible. Nettement moins réussi par exemple que "Raiponce", film estampillé Disney mais génétiquement modifié par des injections d'ADN Pixar.
Télé 7 Jours
Même si cette princesse millésime 2012 prend volontiers le contrepied de ses consoeurs historiques de la maison Disney, et c'est tant mieux, sur le fond, "Rebelle" reste fidèle à la tradition des contes animés du studio.
TéléCinéObs
Au bout d'une longue mise en place particulièrement sclérosée (...), une angoisse point : que la précieuse singularité de la firme à la lampe soit définitivement étouffée par le grand frère Disney. Et puis, ouf de soulagement, le film honore in extremis la promesse de son titre.
Cahiers du Cinéma
C'est peu dire que les précipices, béances et douleurs intimes auxquels nous avait habitués Pixar ont été évacués au profit d'une histoire niaise dont les enjeux ne dérangent personne. Mais que fait John Lasseter ?
La Croix
(...) quand ces créateurs de talent mettent sept ans pour produire "Rebelle", une assez classique histoire de princesse, on est en droit de se demander si Pixar n'est pas en voie de " disneyisation ". L'imagination débordante des studios d'Emeryville (Californie) s'est-elle peu à peu asséchée, six ans après leur rachat par la maison-mère de Mickey ?