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Votre avis sur Mother ?
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On connait du prodige de la nouvelle vague corèenne Joon-ho Bong un remarquable film policier sur la traque d'un serial killer, "Memories of Murder", et un film d'horreur particulièrement rèussi, "The Host". Dans "Mother", le rèalisateur met une nouvelle fois en scène une histoire forte, celle d'une veuve sexagènaire dont le fils simple d'esprit est accusè d'avoir tuè une lycèenne! Joon-ho Bong nous fait une visite guidè de son pays fracassè en construisant une tension douloureuse, tant par les cadrages très recherchès que par l'audace à montrer sur le fil du scalpel la face cachèe des èvènements qui se dèroulent sous nos yeux! Star de tèlèvision avec à son actif quarante ans de sitcoms en tous genres, Kim Hye-Ja est exceptionnel dans le rôle de cette femme courage qui remue ciel et terre pour sauver son fils! Certaines scènes de ce mèlo très original se manifestent souvent là où on ne s'y attend pas! Quant au plan final de cette mère, avec ces doux rayons du soleil dans un bus touristique que l’on prend en pleine face, il est juste inoubliable...
L'histoire d'une mère qui prend très à cœur son rôle protecteur.
Dire que l'humanité vue par les coréens n'est pas source de bonheur est un euphémisme. L'existentialisme et le pragmatisme sont la religion d'état des réalisateurs du coin. Mais là, sous couvert d'amour maternel, on perd tout espoir dans l'existence d'une justice humaine.
Par ceux-là même qui sont censés l'incarner.
C'est de loin le travail le plus ambitieux et le plus abouti du réalisateur, les exercices de styles anecdotiques sont cette fois à la botte du récit.
Le scénario a sa petite part d'originalité mais c'est la peinture d'une certaine société sud coréenne qui nous donne tant de plaisir.
Sachant que si la violence n'atteint pas le paroxysme d'un « Old boy » ce n'est pas pour autant à conseiller aux âmes sensibles.
Mais il faut bien avouer que la bonne surprise ne réside pas dans la très haute qualité du film, le traitement général est d'un excellent niveau, mais dans l'histoire et la remise en cause de l'amour maternel tel qu'il pourrit l'ensemble de la société par sa partialité et tous ces passe droits.
L'actrice qui invente et porte son rôle à des hauteurs que l'on n'atteint que rarement, même avec les monstres sacrés d'Hollywood. Magnifique.
On peut parler d'une redite, puisque dans « The host », on avait déjà ce personnage et ses problèmes avec la police. C'est là qu'on sent les grands auteurs et non les professionnels.
Dire que l'humanité vue par les coréens n'est pas source de bonheur est un euphémisme. L'existentialisme et le pragmatisme sont la religion d'état des réalisateurs du coin. Mais là, sous couvert d'amour maternel, on perd tout espoir dans l'existence d'une justice humaine.
Par ceux-là même qui sont censés l'incarner.
C'est de loin le travail le plus ambitieux et le plus abouti du réalisateur, les exercices de styles anecdotiques sont cette fois à la botte du récit.
Le scénario a sa petite part d'originalité mais c'est la peinture d'une certaine société sud coréenne qui nous donne tant de plaisir.
Sachant que si la violence n'atteint pas le paroxysme d'un « Old boy » ce n'est pas pour autant à conseiller aux âmes sensibles.
Mais il faut bien avouer que la bonne surprise ne réside pas dans la très haute qualité du film, le traitement général est d'un excellent niveau, mais dans l'histoire et la remise en cause de l'amour maternel tel qu'il pourrit l'ensemble de la société par sa partialité et tous ces passe droits.
L'actrice qui invente et porte son rôle à des hauteurs que l'on n'atteint que rarement, même avec les monstres sacrés d'Hollywood. Magnifique.
On peut parler d'une redite, puisque dans « The host », on avait déjà ce personnage et ses problèmes avec la police. C'est là qu'on sent les grands auteurs et non les professionnels.
Malgré un univers et des personnages déroutants, le film est une réussite. L'histoire et ses rebondissements nous surprennent, les personnages s'avèrent attachants quoique parfois farfelus ! L'image est belle, le tout très artistique.
Bong Joo-ho est un des meilleurs réalisateurs asiatiques du moment - de la nouvelle génération - à n'en pas douter. Mother confirme son talent et sa prédilection pour les thriller - en milieux ruraux, sil vous plait, où la communauté du village forme presque une entité inquiétante -.
Dans ce film, où brille la comédienne Kim Hye-Ja, Bon Joon-ho nous laisse de très beaux moments de cinéma et un scénario passionnant, qui prend toute sa force dans la seconde partie de l’œuvre. A quand son prochain film ?
Dans ce film, où brille la comédienne Kim Hye-Ja, Bon Joon-ho nous laisse de très beaux moments de cinéma et un scénario passionnant, qui prend toute sa force dans la seconde partie de l’œuvre. A quand son prochain film ?
Yetcha
Une belle réalisation présentant le combat d'une mère pour son fils limité mentalement. Prête à tout, elle va faire le maximum pour le protéger. Parfois gênant et dérangeant, les images sont profondes et nous montre à quel point l'amour d'une mère peut être fort. Une belle mais triste histoire.
Un film sans grande surprise mais une réelle qualité quant à la réalisation. Le spectateur n'est pas pris à parti par la cause de cette mère, il existe une certaine distanciation vis-à-vis de l’héroïne. C'est intéressant.
Par ailleurs, l'actrice Kim Hye-Ja est fabuleuse!
Par ailleurs, l'actrice Kim Hye-Ja est fabuleuse!
Le cinéaste coréen Bong Joon-ho nous livre une petite pépite d'une grande virtuosité. Ce thriller dramatique sur une mère prête à tout afin de préserver son fils attardé léger et accusé d'un meurtre, à le mérite d'être original et de ne pas dévoiler qui est l'auteur du crime dès le début du film. Du coup le suspense est de mise, au fur et à mesure que progresse l’enquête. Porté par d'excellents acteurs et une réalisation étonnante de justesse Mother est un film qui tient la route jusqu’à son remarquable dénouement.
Mais quelle plaie ce film.... Je sais pas si c'était dû au doublage complétement merdique ou bien à la mise en scène, mais alors, j'ai regardé jusqu'au bout pour faire vanne que j'avais vu un film coreo-japano-chinois. Ben non. L'histoire est bien mais ça s'arrête là: c'est trop lent et plutôt mal joué.
superbe film coréen, beau jeu des acteurs, magnifiques vues.
Difficile de noter cette oeuvre tant la pratique du coréen semble indispensable à la compréhension de cette poésie. Reste, pour nous profanes, le portrait surprenant et sans cliché(très rarement dans l'émotion frontale... peu de gros plan comme on pouvait s'y attendre) d'une mère en quête de sens et d'un peu de beauté dans cette vie qui inéluctablement la quitte.
TTNOUGAT
Pour moi, le cinéma c'est avant tout le spectacle familial qui distrait et rend heureux. Certes, il peut montrer le malheur, la folie et presque n'importe quoi mais pour cela il faut que le réalisateur ait un grand talent pour n'ennuyer personne. Dans 'Mother' il y a bien trop de longueurs et pire des moments sans aucune mise en scène, la caméra filme n'importe quoi et n'importe comment. Je reconnais qu'il y a de belles séquences cinématographiques, c'est indéniable. Cependant, il ne s'agit pas de courts métrages juxtaposés mais d'un film qui se veut, je lui en suis gré, convaincant sans être démonstratif. Le cinéma coréen nous apporte un peu de nouveauté par rapport au cinéma contemporain mais, c'est peu si l'on tient compte de l'ensemble du cinéma mondial depuis 1930. Ce qui peut paraître formidable sera bien vite oublié. Bergman faisait des milliers d'adeptes en 1960 avec son style ''suédois''; qui en parle aujourd'hui ? Je pense que l'on est dans un effet de mode comme toujours avec la jeunesse ,critiques professionnels compris, et que la violence y est pour beaucoup. Mother est un drame qui pousse l'amour d'une mère à son paroxysme. Cela suffisait largement. Pourquoi en plus nous égarer dans autant de petits mystères dont certains s'expliqueront et d'autre jamais? A cet égard la scène finale dans le car est sans excuses.Quelle idée finir un tel drame d’une façon visuellement aussi baclée?
encore un super film asiatique, ce polar est prenant jusqu'à son terme
Après un the host plutôt moyen , le réal de mémories of murder se reprend, et signe un superbe film qui mériterait plus de reconnaissance , tout comme l'actrice principale d'ailleurs.
La première demi-heure est juste un peu poussive et aurait mérité un montage plus serré. Au-delà le film devient beaucoup plus dense et l'intensité dramatique s'accroît a chaque séquence pour devenir un brillant thriller psychologique. Mêlant une réalisation inventive (on pense parfois à Lynch façon Twin Peaks), une interprétation vivante et un scénario inspiré, ce film est une nouvelle "pépite" du cinéma asiatique !
Un film magnifique et dur sur l amour d'une mere. Elle est prete a tout pour prouver l innocence de son fils. Le cinema asiatique est vraiment tres interressant
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