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Un visiteur
5,0
Publiée le 8 décembre 2011
L'histoire de ce tout minuscule monde promet un énorme divertissement. De plus on ne peut qu'admirer ,une nouvelle fois, le magnifique travail artistique de PIXAR.
Ah, les débuts de Pixar, cette extension prometteuse du cinéma d'animation où tout est encore plus noir et blanc que chez Walt Disney, et rapide et effréné et... fatigant. Lasseter et Stanton ont posé les bases d'une compagnie et d'une manière de faire, mais ils ont surtout créé une génération d'enfants qui auront vibré devant ce rythme qui leur parlait tant, tout comme j'ai été fan de Toy Story bien avant de connaître le cinéma.
1001 pattes, c'est aussi beaucoup de codes, et il y a des limites à hyperglorifier des personnages d'apparence tout lisses avec une musique gaie constante. Car hélas, il souffre de la même affliction que tout ce qui a un jour innové : il a vieilli, en plus d'avoir du mal à se prétendre autre chose qu'un film pour enfants (ce qui est rare pour un Pixar). Aujourd'hui l'on retrouve l'immense créativité du film comme Andy adolescent retrouve Woody dans ses vieux jouets : poussiéreuse, un peu pathétique, jamais réutilisée mais attendrissante, et tellement liée à son époque qu'on ne peut pas la jeter sans se briser le cœur.
Près de 15 ans après avoir découvert Pixar et les avoir laissés dessiner sur mon jeune esprit pour la première fois, c'est avec une grande lassitude que je sors du visionnage de 1001 pattes. Mais est-ce vraiment parce que je ne supporte plus de reconnaître ses codes et de subir sa précipitation, ou bien parce que le film, doté d'une certaine étincelle, m'a ramenée en arrière ?
Des graphismes toujours aussi somptueux aux service d'une histoire certes classique mais dont les petits détails en rapport avec la vie des humains ainsi que des jeux de mots sur le monde animal ( ok des fois c'est facile ) apportent a l'ensemble un charme qui séduit les grands comme les petits et c'est bien ca l'important ,sans oublier un doublage français judicieux qui humanise encore un peu plus tout ce petit monde le bêtisier final très drôle.
Un disney en dessous malheureusement, l'intrigue n'est pas palpitante et les personnages pas vraiment attachants. On sourit tout de même avec les personnages du "cirque" mais pas passionnant pour les enfants qui doivent vite décrocher.
bien mais sans plus car l'histoire et certes peut etre intéressante mais pas beaucoup finalement car je n'est pas du tous accrocher. Je trouvais bien mais pas non top . la derniere fois que j'avais vu ce film j'était petit et je me souvenais pas pourquoi je ne lavais pas revue depuis finalement je sais je n'avais pas trop aimer . En plus l'humour on voit qu'il essaye d'être drole mais c'est pas drole mais je pense que ce film de pixar et vraiment pour les tout petit pas comme Toy story ou monstre et compagnie que meme les adultes on plaisir a voir
Second long-métrage des studios Pixar pour le compte de Disney, après leur premier chef d’œuvre : Toy Story (1996), ils récidivent avec 1001 Pattes (1999), une formidable histoire au pays des fourmis. Imaginez un seul instant Microcosmos (1996) en images de synthèse ! La beauté sidérante des paysages, on croirait qu’ils s’agit de prises de vues réelles ! L’histoire mêle aventure et humour avec l’hilarante troupe du cirque qui apporte la joie et la bonne humeur, quant au reste, cela se passe de commentaires tant le film est parfait ! Une œuvre bien plus drôle et à l’esthétique visuellement incomparable, face à ses confrères signés par DreamWorks avec Fourmiz (1998) ou Warner avec Lucas, Fourmi malgré lui (2006).
2ème long-métrage d'animation en 3D, ce film souffre d'un point de vue technique avec les films plus récents : son rendu est en effet trop lisse et manque parfois de contraste. Mais alors, pour le reste, il est largement au-dessus de la mêlée. Sa poésie et sa subversion n'ont guère d'équivalent aujourd'hui. Bénéficiant de gags très imaginatifs et avec une troupe de personnages très imposante, le film tient debout malgré tout. S'il se concentre sur Tilt et Atta, il n'oublie pas ses 2nds rôles qui compose la troupe du cirque et dont chaque personnage existe par lui-même mais se révèle en groupe, dans l'action. Sans oublier la petite Dot, vraiment trop craquante avec ses tâches de rousseur. Inventif, mignon tout plein, subversif (le film invite clairement à la révolte contre le pouvoir politique car après tout, ne sommes nous pas plus nombreux qu'eux ?), découpé avec soin et recelant d'innovations, un vrai bijou du genre qui prouvait que le studio à la lampe pouvait enchaîner les films sans que la qualité en pâtisse et que son originalité dépassait celle de ses concurrents (renvoyant "Fourmiz" et son opportunisme à ses chères études). D'autres critiques sur
La fourmi ouvrière (et accessoirement héroïque) qui entame une histoire d’amour avec la princesse, ah tiens, ça me rappelle quelque chose... La cloche de la concurrence a retenti, la guerres des fourmis est donc déclarée entre "Fourmiz" et "1001 pattes". Effectivement, c'est assez étonnant ces sorties très rapprochées l'une de l'autre sur le même délire… Ici au moins, les fourmis ne ressemblent pas au "E.T." de Spielberg... "1001 pattes" élargit davantage son univers, en y intégrant des insectes divers et variés (coccinelle, moustiques, poux, chenilles, sauterelles...tout y passe). Les poux et les (rares) moustiques sont tout de même excellents, à tel point qu'on aurait apprécié un spin-off sur ces petites bébêtes (Pixar si tu nous entends). En résumé, on se ralliera à "Fourmiz" pour son message, et à "1001 pattes" pour son lot de bonnes idées et son humour. Mais si toutefois il fallait choisir, on se penchera sur les fourmis de ce Walt Disney.
Pour leur deuxième long-métrage les studios Pixar se devaient de réussir leur film car après leur exceptionnel "Toy Story" ils devaient confirmer le bien qu'on pensait d'eux et c'est en soi chose faite, car "1001 Pattes" n'est pas raté, mais n'est pas totalement réussi non plus. Malgré un univers riche à souhait, John Lasseter n'arrive pas à nous convaincre et encore pire il n'arrive pas à nous accrocher, car pour la première fois dans un Pixar, on s’ennuie. "1001 Pattes" est sans aucun doute le plus mauvais Pixar. Le scénario est très bon, d'une inventivité folle et d'une grande efficacité, sauf que les espoirs retombent vite, les personnages sont bien écrits, mais ils manquent clairement de profondeur, on s'y attache peu et on les oublie tout aussi vite, ils restent d'une loufoquerie à toute épreuve. Le doublage de Patrick Poivey est génial, l'animation est magnifique, haute en couleurs et bourrée de détails. Quatre ans après "Toy Story" on voyait déjà l'avancée technologique hallucinante par rapport à DreamWorks, les dialogues sont peu drôles, mais restent tout de même très malins, les gags sont lourds et franchement pas drôles, Randy Newman signe une BO peu marquante, mais elle reste de très bonne qualité. "1001 Pattes" est divertissant et est techniquement parfait et c'est tout, John Lasseter et Andrew Stanton réussissent leur film sans franchement convaincre. Bref "1001 Pattes" c'est magnifique, faible, surprenant, pas drôle, peu convaincant et au final légèrement peu réussi. À éviter
Bien sur, c'est un bon Disney/Pixar, mais ce n'est pas non plus un chef-d'oeuvre. Les personnages ne sont pas tellement attachants (la coccinelle est même plutôt énervante), mais le scénario n'est pas trop mauvais et l'animation est même plutôt bonne.
Entre deux géniaux Toy Story, la paire John Lasseter et Andrew Stanton quitta le monde des jouets pour celui des insectes, A Bug’s Life devenant ainsi le second long-métrage en images de synthèse prodigué par Pixar. Bien que pas aussi remarquable que son prédécesseur, ce long-métrage prouvait tout de même que l’imagination du studio pionnier en la matière semblait sans limite, celui-ci étant capable de coupler trame travaillée à un univers hautement fantaisiste ; ce microcosme peuplé en majorité de fourmis constituait par la même occasion un formidable support à la créativité visuelle de chez Pixar, pour un résultat n’ayant peu ou rien à envier à Toy Story, fort de bestioles savoureuses. Ceci étant, l’ensemble s’avère cependant moins transcendant, quoique bel et bien réussi : l’intrigue assurément enfantine apporte moins de profondeur qu’espéré, on est d’ailleurs bien loin de la réflexion mature proposée par son concurrent Fourmiz, bien que les deux films divergent de par leur portée respective, l’un se voulant chatoyant, et l’autre sombre. Le héros Tilt est par ailleurs trop classique, aussi il nous faut du temps pour pouvoir s’attacher pleinement à celui-ci, à mesure que la trame de A Bug’s Life distille ses péripéties sympathiques ; on regrette de même la naïveté ambiante trop prononcée de ces fourmis, le périple entamé par Tilt s’avérant finalement bien trop aisé, alors que supposé suicidaire… facilité de trame ? Heureusement, une troupe d’insectes hauts en couleur vient ranimer l’intérêt du long-métrage, tant sur les plan scénaristique qu’humoristique : les cloportes Tuck et Roll sont proprement hilarants, tandis que Marcel, Heimlich et cie y vont de leur répliques et jeux de mots bien trouvés. Dans une même veine, un autre personnage retient notre attention, à savoir Le Borgne : ce dernier se révèle être en effet un antagoniste bien plus intéressant que l’on pouvait le croire, car aussi méchant qu’intelligent dans son raisonnement de racketteur impitoyable. En résumé, après un dénouement somme toute réussi, A Bug’s Life s’apparente à un nouveau succès du studio Pixar, mais sans véritablement impressionner ; on tient donc là un divertissement visuellement appréciable, et à l’humour plutôt efficace d’une galerie de protagonistes secondaires tous plaisants.
Film d'animation au scénario et à l'humour enfantins. Le dessin de ce monde de bébètes minuscules est agréable, même si sans la précision dans les détails d'autres Pixar. L'histoire est cependant légère et peu captivante, avec un héros fourmi manquant de profondeur dont le nom ne reste pas dans les mémoires (au contraire d'un Woody, d'un Nemo ou d'un Flash McQueen). Quant aux dialogues ils sont peu relevés, si ce n'est quelques jeux de mots empruntés au vocabulaire des insectes. La meilleure trouvaille se cache dans le générique de fin, avec ce bêtisier des acteurs à six ou huit pattes. Pour les plus jeunes.