Derniers Avis : Le Pacte - Page 3

Un film sans grande surprise au scénario un peu faible et ambiguë. Malgré cela, Nicolas Cage s'en sort bien et est particulièrement convaincant.

Très bon film avec beaucoup d'action et de suspens comme je les aime. Nicolas Cage joue un rôle très intéressant.

Le film m'a déçu, il est trop surjoué et sonne faut.

Le synopsis de ce film est intéressant, mais la bande annonce l’est encore plus. Aussi on s’attend plus ou moins à du grand spectacle et à un suspense de malade. Un pacte… voilà un sujet intéressant et plus ou moins d’actualité, mais terriblement tabou. Basé sur un scénario plutôt vraisemblable, Roger Donaldson revient vers son genre de prédilection, le thriller d’action. L’intrigue est bonne, le jeu des acteurs est juste, mais je trouve que le film manque de rythme et d’action. J’aurai vu quelque chose de plus "enlevé", à la manière de "Guet-apens", c’est-à-dire comme une sorte de road movie. Mais en raison du sujet à la morale un peu douteuse puisqu’il s’agit une fois de plus de l’évocation d’une justice parallèle, nous n’avons aucun mal à suivre ce thriller pas forcément brillant jusqu’à son dénouement, ce qui est le principal.

Film moyen dans l'ensemble. Le scénario m'avait l'air plutôt pas mal mais la réalisation me laisse sur ma faim !

Le Pacte est un film à la fois nerveux, efficace et prenant porté par un très bon Nicolas Cage, qui, on peut le voir, peut jouer dans tout et n'importe quoi. J'ai bien aimé l'histoire mais je trouve qu'elle régresse de plus en plus au fur et à mesure qu'on avance dans le film, elle prend un peu trop d'ampleur. Le film prend un peu des allures de thriller paranoïaque mais toutefois il se révèle aussi être rythmé, et la mise en scène reste efficace. Les musiques sont très réussis, il y a une bonne ambiance ainsi que de nombreux rebondissement qui prennent une certaine tournure dans le film.

Cette banale histoire de conspiration et de vengeance est aussi ridicule qu’ennuyeuse.

Si Nicolas Cage est un acteur connu de tous dans le milieu hollywoodien, c’est notamment grâce à ses grands succès des années 90, qui l’on conduit tout droit vers le cinéma d’action (Volte/Face et Les Ailes de l’Enfer en tête). Et puis, les années se sont accumulées, et le comédien a commencé à enchaîner les films de secondes zones, voire les navets dont il vaut mieux éviter croiser la route, perdant au passage toute sa notoriété. Désormais, Cage porte cette réputation d’acteur qui accepte tout et n’importe quoi juste histoire de rentrer à la maison avec un cachet en poche. Un fait malheureusement véridique, mais pas tout le temps avéré. Il suffit de voir Le Pacte, film qui montre que Cage sait encore faire les bons choix question projets.

Le Pacte est, avant tout chose, un thriller de divertissement, son but étant d’attirer notre attention avec le scénario tortueux qu’il propose. Il fallait donc que le film propose une trame qui tienne la route. Et c’est chose faite ! Hormis un final qui sombre dans le grand guignolesque fait à la va-vite, le long-métrage nous tiens en haleine de bout en bout. Comment ? En prenant le temps de bien raconter son histoire parsemée de rebondissements bien fichus et de personnages auxquels on s’attache (même si, scénaristiquement parlant, ce n’est pas non plus le nirvana) notamment grâce à la prestation des comédiens (cela faisait longtemps que Cage ne s’était plus montré aussi « potable » dans un film). Tout en gardant un rythme soutenu qui ne perd jamais le spectateur en cours de route. Intrigant et palpitant : que demander de plus ?

D’autant plus que Le Pacte ne se contente pas d’un scénario sans messages cachés. Comme de mettre sur le devant de la scène la notion de « se faire justice ». Un sujet plutôt tabou et toujours traité de la même manière dans les films : le héros perd quelqu’un, il se venge, point ! Là, c’est totalement différent. D’une, ce n’est pas le héros qui se fait justice. On le fait à sa place, ce quelq’un profitant d’un de ses moments de faiblesse (savoir sa femme à l’hôpital, sous le choc de l’agression). Et puis, cela va amener notre protagoniste à renier son geste et ce qu’on lui demande en retour alors qu’il s’agit d’un geste pour la société (de ce qui est dit, en tout cas). Une façon de critiquer le concept de « se faire justice » donc, même si cela ne peut se voir qu’au second plan (l’enquête principale prenant le pas sur tout le reste). Mais Le Pacte propose également un message critique envers l’après Katrina. Le film se passant à la Nouvelle-Orléans bien des années après le passage de l’ouragan, insiste bien sur le fait que la ville n’a pas été prise en charge par la suite, se laissant pourrir et obligeant les habitants à se débrouiller. Cette thématique est ici raccordée à celle de la justice personnelle : la ville est pourrie par la criminalité car cette dernière n’est pas prise en charge comme il se doit, et les habitants la combattent par leurs propres moyens, en se faisant justice eux-mêmes. Voyez, Le Pacte ne paye peut-être pas de mine, il en a quand même sous le capot !

Malheureusement, malgré son côté divertissant et une certaine qualité d’écriture, Le Pacte ne peut se détacher de son statut de série B, et ce à cause de certains défauts sur lesquels il est difficile de faire l’impasse. En exemple rapide, le dénouement (ne revenons pas là-dessus). Mais aussi la mise en scène de Roger Donaldson. Si la photographie de David Tattersall permet d’offrir une ambiance prenante, le film est d’une platitude exaspérante, où il est rare de ressentir une quelconque émotion. Il faut dire aussi que la musique et le montage n’aident pas vraiment. La première en fait des caisses. Le second se révèle être haché quand les scènes lorgnent plus vers l’action, donnant l’impression qu’une multitude de séquences faisant à peine 2 secondes ont été mises bout à bout. Comme si l’action partait dans tous les sens. Et pourtant, nous sommes encore bien loin de l’hystérie d’un Michael Bay !

Des défauts d’envergure qui empêchent Le Pacte de dépasser son statut de divertissement de seconde zone fait à la va-vite, alors qu’il aurait très bien pu s’en sortir avec plus de mérite avec un autre réalisateur. Néanmoins, Le Pacte prouve que Nicolas Cage peut encore faire de bons choix concernant sa carrière. Encore faut-il qu’il s’intéresse plus à celle-ci plutôt qu’à son compte en banque. En faisant cela, il pourrait se retrouver dans des films de grande qualité, et Le Pacte deviendrait le long-métrage le plus critiqué de sa filmographie. Mais à l’heure actuelle, Le Pacte se révèle être l’un de ses films les plus sympas et regardables de ces dernières années.

Si le debut du film est plutot interressant, on dévie malheureusement assez vite vers une fiction longuette et assez ennuyeuse.

Une organisation qui rend la justice quand les institutions sont considérées inefficaces? Voilà un canevas qui n'est pas neuf (par ex La Nuit des juges avec Michael Douglas) ce qui aboutit à ce film sans surprise et sans vraiment de saveur. Guy Pearce campe un méchant d'une platitude assez surprenante, et Nicholas Cage est ici très en-dessous de son talent, par moments complètement amorphe. Si dans certaines séquences la mise en scène de Donaldson se montre inspirée, le résultat final est un film qui manque d'une réelle tension, bien loin de certaines influences revendiquées. Bref, un divertissement un peu longuet où tout n'est pas à jeter mais on n'y reviendra pas.

Ce thriller est correct, avec un certain suspens présent jusqu'au dénouement, qui aurait pu être un peu plus subtil.

Oh, c'est très mauvais, Le Pacte, hein ! C'est vraiment un film, mais nullissime, alors là vraiment, hein. Nicolas Cage est encore pire que d'habitude, c'est-à-dire qu'il est extrêmement mauvais, c'est un mauvais film.

Un thriller plutôt efficace, bien au-dessus de la moyenne des nanars de Nicolas cage...
On peut toutefois fortement regretter une conclusion conventuel et assez stéréotypé. Dommage

Alala Nicolas... Tu nous en auras fait des films moyens...
Celui-ci n'échappe pas à la règle. Si le côté compagnie obscure qui dirige le monde, semble montrer les fils de sa toile au début, ce n'est finalement qu'un groupe minime et à l'impact limité qui se montre au grand jour.
En plus d'une fin téléscopée, on regrettera les incohérences et facilités prises par le scénario, sans parler des acteurs en trame de fond que l'on suit mais qui n'apportent rien à l'histoire.

Sans prètention aucune, un thriller standard très amèricain qui raconte le parcours d'un enseignant entraînè dans des combines louches par une bande de malfrats après le viol sauvage de sa femme! Comme l'indique le titre du film en version originale ("Seeking Justice"), on ne s'ètonnera pas que Nicolas Cage va se faire justice lui-même! Un peu à la manière d'un Charles Bronson! Peut-être que tout-ceci sonne un peu trop « morale plutôt douteuse » mais il y a une prestation impeccable de Nicolas Cage qui encaisse durant deux tiers de film avant de mener la danse! Alors ça compense! En plus c'est produit par Tobey Maguire! Là c'est surprenant! Même si la jolie January Jones ne convainc jamais en femme violèe qui se remet bien vite d'une telle agression, ce thriller de Roger Donaldson ne mènage pas ses coups lorsqu'il s'agit d'être percutant comme cette course poursuite avec le passage sur la rocade! A part ça, Guy Pearce est un mèchant parfait et le final s’achève sur une ombre de mystère! A voir sans prise de tête...