Une petite merveille de Sam Mendès qui après nous avoir plus ou moins plombé le morale avec ces noces rebelles de revolutionary road nous redonne le sourire et nous montre que les histoire d'amour, les belles, les vraie existe. Au cinéma du moins, certains se prétende agacés par ce couple 'parfait' qui résout tous les problèmes qui se présente a lui mais il faut peu être mieux voire cela comme un message d'espoir et d'optimisme. Les couples que les deux personnages principaux vont rencontrer tout au long de leur périple ne manque pas de mordant et donne à ce film une dose d'humour que l'on avait encore jamais connue chez ce réalisateur. On en sort heureux, rafraichie, avec l'envie de croquer dans la vie a pleine dents.
« Away we go »: un titre simple, et qui pourtant est un appel au voyage, au changement. C’est ce titre qui a d’abord retenu mon attention, quand j’ai vu l’affiche pour la première fois. Puis, étrangement, c’est la police de ce titre qui m’a interpellée: très proche de celle utilisée pour « Juno », elle annonçait déjà la nature du film: un de ces « feel good movies » que le cinéma indépendant américain sait si bien produire.
C’est donc sans crainte que je me suis installée dans mon fauteuil rouge du MK2 Bibliothèque, et que j’ai suivi Burt et Verona dans leurs pérégrinations. Le couple, approchant la trentaine, attend son premier enfant. Ils vivent dans une campagne un peu paumée, mais à proximité des parents de Burt, ce qui les rassure en prévision de l’heureux événement. Mais ces derniers décident de s’installer en Belgique, ce qui pousse Burt et Verona à rendre visite à différents couples d’amis résidant dans différentes villes d’Amérique du Nord. Mais il se pourrait bien que les couples en question soient plus surprenants les uns que les autres…
On suit avec bonheur les étapes du voyage de Burt et Verona, découvrant avec eux la vie des couples, tour à tour dysfonctionnels et touchants, le tout au son de la musique apaisante d’Alexi Murdoch. Mais le couple hippie, le père récemment quitté par sa femme, le couple qui adopte mais ne peut pas avoir d’enfants sont autant de prétextes pour nous dévoiler le lien unique qui existe entre Burt et Verona. Comme quoi il n’est pas toujours nécessaire qu’il y ait du drame pour qu’une histoire d’amour soit touchante. John Krasinski, plus connu pour son rôle de Jim dans « The Office », est adorable dans son rôle de Burt, futur père resté grand enfant. Maya Rudolph, quant à elle, est émouvante dans sa confrontation avec son passé et la recherche de son futur foyer.
En bref, « Away we go » est la bonne surprise indé dont on avait bien besoin ces derniers mois au ciné : on en ressort le sourire aux lèvres et le coeur léger.
Un petit road trip léger et bien sympa avec sa petit étiquette de film indépendant; on est bien assis à regarder ce film, relaxé et souvent amusé par les dialogues et les rencontres farfelues de ce jeune couple baba cool en quête d'un foyer et d'un environnement stable pour leur futur rejeton. Une bonne surprise qui nous fait sortir avec le sourire malgré un final convenu et un peu raté.
On va pas dire que c'est mauvais, ça se regarde plutôt plaisamment, même plusieurs fois, mais pour finir ça sent aussi beaucoup le plat cuisiné. Et puis passer son temps à traverser l'Amérique du Nord (avion...) c'est pas bien écolo. Reste une belle émotion finale pour ce couple bohème (avec un John Krasisnky sexy), à la fois fort et un peu largué. La première moitié (jusqu'à la truculente scène avec Maggie Gyllenhaal) reste toutefois de meilleur acabit que la seconde, plus fade (scène ennuyante avec la sœur, sombre histoire à Miami avec le gosse) où le rythme se perd. Mitigé: touchant mais aussi irritantt.
Un beau film plein d'amour,de poésie,d'humour,des très bons acteurs (ça fait plaisir) avec une image assez négative de l'Amérique qui passent pour un pays de fous,d'illuminés,des perdants,des gens cupides bref un pays dans la décadence mais les valeurs familiales et morales de nos attachants héros nous laissent à penser qu'il reste encore une petite lueur d'espoir en l"humanité...
un film léger sur un couple vraie qui part à la conquete d'une nouvelle terre, d'une nouvelle maison. Rien à voir avec le précédent film Les noces Rebelles, mais toujours l'exploration de la vie de couple...
Oui, ce film est plein de légèreté. Oui, ce film est plein de simplicité. Mais doit-on le réduire à ça ?
Nous avons là une magnifique histoire autour d'un couple. Alors certes, les fans de Transformers se feront chier, mais le film visait-il seulement ce public ? Doit-on seulement se limiter à de grosses productions ou à des scénarios hors du commun ?
Il est parfois bon d'avoir, sur pellicule, une histoire simple, attachante, et surtout : VRAIE. Voilà la force du film.
Sam Mendes continue son exploration du couple et ses méandres affectifs pour nous pondre cette fois ci un film tendre , touchant et souvent drôle à l'opposé des noces rebelles mais il s'agit ici d'un film mineur qui n'arrive pas à la cheville de ses oeuvres précédentes.
un ptit film sympatoche qui se ragarde aussi bien qu'il s'oublie
Apres le beau et percutant "revolutionary road", "away we go" est un film de qualite tres mediocre. Le theme etait prometteur mais la pauvrete des dialogues, la caricature des personnages rencontres, le manque de charisme du couple, font la difference entre un bon film et un qui aurait pu... Les emotions provoquees par ce couple amoureux et soude, leur touchant apprentissage de la parente, associes a de beaux paysages et de la musique melancolique, permettent de ne pas s'ennuyer completement si on est adepte de feel-good movies. Quand meme pas suffisant pour nous arracher une petite larme.
comédie sympathique avec un ton original mais sans plus - la fin est réussie et donne une véritable unité au film, que l'on attendait tout son long (une demi étoile de plus pour cela)
Une vraie merveille de douceur, de tendresse et d'humour ... ce road-movie est éblouissant ! Les acteurs sont à leur sommets et la réalisation parfaite ...