Adapté d’un livre et d’une pièce de théâtre d’Eric-Emmanuel Schmitt, « Oscar et la dame rose » est une œuvre plaisante mais trop limitée. Le scénario sans surprise, prend le spectateur par la main et l’engouffre dans de bons sentiments, mais trop naïfs pour convaincre. La réalisation se répète inlassablement, avec les mêmes idées qui font rires qu’une fois : le coup d’imaginer Laroque sur un ring de catch à maintes reprises alourdit le coté comique. Le jeu d’acteur quant à lui est correct, le petit Amir est convaincant, même s’il en fait trop pour certaines de ces répliques. Michèle Laroque reste elle-même, et joue comme elle l’a toujours fait, rien de nouveau dans son jeu d’actrice. « Oscar et la dame rose », est donc un film divertissant dans l’ensemble, mais serait plus apprécié comme un téléfilm que du cinéma pure et dure.
Bon film, surtout la dernière demi-heure, pour le reste c'est léger mais avec de bons acteurs sauf le petit! Dommage, car le film dans l'ensemble est plutôt sympa...
Excellent film entre rire et larmes bien que l'on sache la fin ! Un film dans la lignée du "concert". On peu juste regretter les scenes de catch qui sont de trop dans cette jolie histoire pour Noël. Bien plus évocatrice de qu'est "aimer" que les films d'animation qui sortent.
Le cinéma a une faculté a tuer la poésie... Il faut un talent certain pour rendre une œuvre de fiction poétique. Schmidt n'en a pas le talent. Sa superbe pièce de théâtre, pleine d'émotions, a été truffée d'effet spéciaux destinée à la ménagère de moins de 50 ans, et en plombe l'effet dramatique. Alors, c'est mignon, c'est plutôt bien dialogué, mais c'est trop tarte... Michel Legrand signe une belle partition, Michèle Laroque est drôle, Amir est craquant, Franco Dragone signe des chorégraphies kitsch.
Le film touche à un thème certes pas évident à aborder : les enfants très malades à l'hopital. Si le réalisateur arrive à raconter son histoire sans trop en faire et en restant somme toute relativement léger sur un sujet pouvant vite faire dans le sentimentalisme, je ne suis pas rentré dedans et je n'ai pas réussi à me laisser emporter.
Magistral. Michèle Larroque et le petit Oscar jouent à la perfection. Evidemment, plus on avance dans le film et plus l'émotion grandit, mais sans jamais tomber dans le mélodrame. Faire vivre à un enfant de 10 ans toutes les périodes de sa vie, alors qu'il ne lui reste que quelques jours à vivre, il fallait un scénario très bien écrit et juste, et des dialogues subtils .BRAVO.
Le couple d'acteurs Michèle Laroque et Amir est touchant. le film aborde la mort et la maladie chez les jeunes enfants, un sujet délicat mais particulièrement bien traité. de l'humour, de la tendresse. bon le film est inégal, les scènes "imaginaires" sont un peu longues. reste le sujet "dieu" un peu délicat ...
Quand la malepeur léthifère nous persécute, il y a dans ces derniers instants un liard de fraîcheur hédonique que l’on retrouve dans cette petite assomption. On connaît la fin de l’histoire, ce qui ne lui donne que plus d’attrait. A travers cette guilée hiémale saturée d’une loquèle jouissive et de facéties parégoriques, l’on suit quelques réflexions sur la vie, dont chacun muguette l’ultime parti, telle la peur de l’inconnu ou la famille. On a plaisir à suivre la trame grâce notamment à la baroque Laroque et à l’incroyable Amir, bien parti pour décrocher le César du meilleur espoir masculin. Un film très touchant, jaçois l’énervant magma de premier et second degré, la musique qui manque de douceur et la fin certes enchanteresse mais beaucoup trop plate.
Je ne sais quoi penser de ce film. Je n'ai pas lu le livre, je n'ai donc aucun point de comparaison... mais l'hitoire en elle même, en même temps qu'elle est belle et touchante, et aussi ennuyeuse. On passe des moments au fond du siege et d'autres ou l'on se dit, wahou... c'est quand même touchant et bien écrit. La mise en scène est recherchée et soinée et tous les acteurs jouent tres bien. L'enfant est d'une simplicité et décontraction facile, et michèle laroque joue tres bien cette femme qui cache absolument ses sentiments qu'elle considere comme faiblesse. Malgrés tout, je dois dire que je m'attendai à mieux. j'ai quand même versé ma petite larme à la fin.