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Votre avis sur Oscar et la Dame Rose ?
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L'histoire d'Oscar et la Dame Rose est très simple. Un garçon meurt des suites d'un cancer dans un hôpital pour enfants malades. Il ne lui reste qu'une douzaine de jours à vivre. Au début de l'histoire il ne parle à personne y compris à ses parents et au personnel de l'hôpital. Il rencontre une femme (Michèle Laroque) qui lui livre des pizzas commandées par le personnel de l'hôpital. Cette rencontre va changer la vie du garçon et de la femme. Le sens de l'humanité des deux personnes va grandir grâce à cette connexion. Elle réussit à faire vivre au garçon une vie en douze jours. Elle réussit également à ouvrir son propre cœur à de nombreux aspects de l'existence humaine. L'histoire est très sensible et les acteurs très convaincants en particulier Oscar, Laroque et Von Sydow. Le résultat est un film qui mérite d'être vu en particulier par les gens qui ont l'habitude de pleurer quand ils regardent des histoires touchantes...
TRES mauvais!! le livre parle d'une Dame Rose, membre d'une association qui existe réellement, vielle et les méthodes qu'elle utilise sont les méthodes utilisées à l’hôpital. Ici on à droit a une vendeuse de pizza, la quarantaine, qui n'aime pas l'hopital, on est completement à coté de la plaque! les phrases clé du livres sont balancé n'importe comment dans un tout autre contexte.
Sans compter l'aspect "raconté par un enfant" qui rend le livre si particulier, complètement mit de coté dans le film.
Donc le livre, 20/20 à lire et à relire, le film ZERO, ne vous y attardez même pas.
Sans compter l'aspect "raconté par un enfant" qui rend le livre si particulier, complètement mit de coté dans le film.
Donc le livre, 20/20 à lire et à relire, le film ZERO, ne vous y attardez même pas.
Oscar et la Dame Rose est un film très profond réalisé par Eric - Emmanuel Schmitt (Odette Toutlemonde). Ce drame, relatant les derniers jours d'un enfant malade, donnera facilement la larme à l'oeil au plus sensible d'entre nous. Le choix des acteurs est plutôt bon : Amir pour l'enfant et Michèle Laroque que j'ai trouvé très convaincante dans le rôle de la Dame Rose ; et le scénario est très bien écrit
spoiler:
(j'ai adoré le fait que chaque journée représente 10 jours de sa vie).
Oscar et la Dame Rose est donc un film pas mal du tout, à voir au moins une fois !
Oscar et la Dame Rose est donc un film pas mal du tout, à voir au moins une fois !
Film tres bien mais à la fois triste et touchant mais je vous conseille d'aller le voir.
trés beau film avec des trés bons acteurs, film a voir l'histoire est trés belle et émouvante.
Ti Nou
Si la relation entre la dame rose et le garçon malade fonctionne, Eric-Emmanuel Schmitt rate le côté poétique et fantaisiste qu’il souhaite donner à son film. Il en fait trop pour illustrer les rêveries de l’enfant alors qu’il se montre plus subtil dans la réalité des personnages (par exemple en créant un hôpital qui ressemble à tout sauf à un hôpital).
Caine78
Autant Eric-Emmanuel Schmitt doit être un auteur probablement doué, autant le cinéma, ce n'est visiblement pas pour lui. Alors c'est vrai : celui-ci a des idées et tentent des choses audacieuses techniquement pour donner de la personnalité à son œuvre. Le problème, c'est qu'elles sont toutes mauvaises, le pompon revenant sans aucun doute aux scènes de catch, confondantes de laideur et de bêtise. De plus, sur un sujet sensible mais pas franchement original, nous ne sommes pas loin du chantage affectif, probablement inconscient, mais tellement lourd que cela en devient presque indécent. Guimauve, facilités, bondieuseries à tout va, banalités consternantes sorties à allure constante... On est presque navrés de voir un sujet aussi grave traité de manière aussi miteuse, échouant aussi bien à faire rire qu'à émouvoir. Il faut dire que Michèle Laroque n'est pas vraiment à la hauteur, tandis qu'Amir manque sensiblement de présence... Seuls rescapés du naufrage : Amira Casar et surtout Max von Sydow, dignes et convaincants dans leur registre respectif. Bref, si Eric-Emmanuel Schmitt a au moins essayé de faire quelque chose de bien, « Oscar et la Dame rose » reste un bon gros ratage à tous les niveaux, doublé de fautes de goût impardonnables : à éviter.
Le film est trop gentillet, écrit et réalisé à la manière d'un conte à la guimauve. Les anecdotes sur le ring sont balourdes et la relation entre Oscar et la dame en rose sont nian nian. Je n'ai pas aimé.
Sylvain P
Le cinéma a une faculté a tuer la poésie... Il faut un talent certain pour rendre une œuvre de fiction poétique. Schmidt n'en a pas le talent. Sa superbe pièce de théâtre, pleine d'émotions, a été truffée d'effet spéciaux destinée à la ménagère de moins de 50 ans, et en plombe l'effet dramatique. Alors, c'est mignon, c'est plutôt bien dialogué, mais c'est trop tarte... Michel Legrand signe une belle partition, Michèle Laroque est drôle, Amir est craquant, Franco Dragone signe des chorégraphies kitsch.
Shawn777
Au collège, j'avais eu un gros coup de cœur pour le bouquin homonyme dont le film en est l’adaptation. Il me démangeait alors depuis longtemps de découvrir l'adaptation, sortie en 2009, surtout qu'elle est portée à l'écran par l'écrivain, à savoir Éric-Emmanuel Schmitt. C'est par ailleurs la première fois que je plonge dans l’univers visuel du réalisateur, n'ayant pas vu ses précédents films. C'est donc ici l'histoire d'un enfant cancéreux qui fait appel à une vendeuse de pizzas pour se confier sur sa maladie, famille et problèmes. Bon déjà, premier changement, et pas des moindres, avec le livre : ici, Rose n'est plus une bénévole dans une association chargée d'aider et d'accompagner les enfants malades, mais une vendeuse de pizzas qui passait par là par hasard et dont Oscar s'est entiché. Rose aura par ailleurs ici énormément de mal à accepter le deal qui lui offre l'hôpital et passe tout d'abord, aux yeux des spectateurs, pour une grosse opportuniste au cœur de pierre, ce qui n'était pas le cas dans le livre. Seul point commun entre les deux personnages reste son franc parlé et le fait de ne pas prendre Oscar pour un abruti. Dans le film, on en sait également beaucoup plus sur sa vie privée, ce qui permet au réalisateur de faire des parallèles avec la vie d'Oscar, certes très peu subtils, mais néanmoins efficaces. Tous ces changements que j'énumère depuis tout à l'heure (et ce ne sont pas les seuls) ne sont cependant absolument pas dérangeants ! Ils contribuent au contraire à ajouter de la matière au film (le roman étant très court) et le réalisateur prend le parti de nous montrer ce qu'il se passe en dehors des lettres d'Oscar (dans le roman), ce qui est également une très bonne chose. Car les personnages, et notamment Rose, en deviennent beaucoup plus attachants dans leur parcours initiatique. Alors, évidemment, le film est larmoyant, de toute façon, on connait la fin dès le début, ce qui pas non plus dérangeant car on sait justement à quoi s'attendre, on sait que nous sommes dans un drame ! Malgré tout, la maladie n'est pas rendue insupportablement triste, elle est au contraire "joyeuse", notamment du point de vue d'Oscar qui expérimente l'entièreté d'une vie à courte échelle. On regrettera simplement certaines scènes poussives, notamment à Noël lorsque les personnages chantent au-dessus du lit d'Oscar, analogie évidente et balourde de la Nativité. Certaines scènes de catch, même si elles sont essentielles à l'intrigue et aux leçons qu'en tire Oscar, sont, au bout d'un moment, un peu lassante et répétitives, ce qui est dommage. En revanche, la mise en scène est excellente, le réalisateur arrive à rendre vivant un sujet lié à la mort. Concernant les acteurs, nous retiendrons principalement Amir Ben Abdelmoumen et Michèle Laroque qui jouent très bien ! "Oscar et la Dame Rose" est donc un film qui ne casse pas des briques mais reste bien sympathique.
defleppard
Un ratage ,mise en scène ennuyeuse donc forcément passe à coté de son sujet.
Un film sorti d un livre franchement une histoire avec cette enfant qui m'a énormément touché profondément
🎬 RENGER 📼
Après l'avoir adapté au théâtre (2006), Eric-Emmanuel Schmitt persiste et signe l'énième adaptation de son roman éponyme, pour le grand écran cette fois-ci.
Avis aux amateurs de pathos, de petit enfant sage mais mourant, de femme exécrable mais qui finit par s'attendrir au contact du môme. Oscar et la Dame Rose (2009) est un drame fantaisiste cousu de fil blanc et au scénario poncif et lassant. Mais, si on se force a rester jusqu'à la fin de la projection, c'est uniquement pour l'excellente prestation que nous offre le jeune Amir face à une Michèle Laroque toujours aussi agréable à voir, et ce, même avec son langage de charretier.
Avis aux amateurs de pathos, de petit enfant sage mais mourant, de femme exécrable mais qui finit par s'attendrir au contact du môme. Oscar et la Dame Rose (2009) est un drame fantaisiste cousu de fil blanc et au scénario poncif et lassant. Mais, si on se force a rester jusqu'à la fin de la projection, c'est uniquement pour l'excellente prestation que nous offre le jeune Amir face à une Michèle Laroque toujours aussi agréable à voir, et ce, même avec son langage de charretier.
Quelle histoire mémorable, incroyable et magique que le réalisateur nous invite à regarder. Par chance celui-ci est l'écrivain de son propre livre. Je ne regrette absolument pas les choix du casting, oscar, la dame blanche et le docteur reste les meilleurs acteurs francais en cette fin d'année 2009. Ca fait du bien de regarder un film si émouvant et fort. Bravo et merci...
Quand un grand auteur s’attaque à la caméra, on est en droit d’attendre du ratage, et l’on se prépare à l’indulgence qu’il faut avoir pour accepter les écarts d’un art à l’autre. Et puis il y a les grands artistes comme Éric-Emmanuel Schmitt dont les seules fautes sont les déformations professionnelles, comme des dialogues trop beaux pour être honnêtes ou une naïveté graphique un peu trop grande.
[Spoilers] Mais un bon scénario et de beaux personnages ne lui ont pas suffi : le manque de tact de Michèle Laroque dans son rôle, il va falloir qu’il l’explique, ne laissant pour mystère que la raison pour laquelle elle a attiré l’œil, autrement que par ses habits roses, d’Oscar, dont elle va partager les derniers jours à la manière d’autres films de chevet.
Schmitt forge les liens en écrivain, moulant les formes de son environnement à sa guise d’une façon qui serait plus convaincante entre des pages qu’en images, mais rien ne laisse présager sa maîtrise d’elles ni la confiance qu’il place en des effets spéciaux parfois majoritaires et servant à donner la couleur de chaque scène, remplaçant ce qu’il a l’habitude de confier à l’imagination du lecteur.
Oscar a 10 ans et toute l’image est au service de la sienne, en échange de quoi les rebondissements rapides de son intelligence enfantine la remplissent de poésie. Laroque est trop extraordinaire pour que le gamin passe pour autre chose qu’un précoce et talentueux faire-valoir, toutefois jamais leur relation ne frisera le ridicule de cette gêne sociale si dure à transcrire – surtout entre deux générations – ni n’avancera trop vite par pudeur ou par raccourci. L’auteur n’a pas besoin d’en faire trop pour s’excuser d’aborder un sujet dur, et il en cueille toute l’émotion avec justesse et empathie.
→ https://septiemeartetdemi.com/
[Spoilers] Mais un bon scénario et de beaux personnages ne lui ont pas suffi : le manque de tact de Michèle Laroque dans son rôle, il va falloir qu’il l’explique, ne laissant pour mystère que la raison pour laquelle elle a attiré l’œil, autrement que par ses habits roses, d’Oscar, dont elle va partager les derniers jours à la manière d’autres films de chevet.
Schmitt forge les liens en écrivain, moulant les formes de son environnement à sa guise d’une façon qui serait plus convaincante entre des pages qu’en images, mais rien ne laisse présager sa maîtrise d’elles ni la confiance qu’il place en des effets spéciaux parfois majoritaires et servant à donner la couleur de chaque scène, remplaçant ce qu’il a l’habitude de confier à l’imagination du lecteur.
Oscar a 10 ans et toute l’image est au service de la sienne, en échange de quoi les rebondissements rapides de son intelligence enfantine la remplissent de poésie. Laroque est trop extraordinaire pour que le gamin passe pour autre chose qu’un précoce et talentueux faire-valoir, toutefois jamais leur relation ne frisera le ridicule de cette gêne sociale si dure à transcrire – surtout entre deux générations – ni n’avancera trop vite par pudeur ou par raccourci. L’auteur n’a pas besoin d’en faire trop pour s’excuser d’aborder un sujet dur, et il en cueille toute l’émotion avec justesse et empathie.
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