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    First Man - le premier homme sur la Lune
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    657 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Un film incroyable qu il faut rapprocher de son premier film whiplash. Les images, le son , l intimité auxquels nous sommes ici confrontés sont d une très grande précision. Car il S agit comme pour whiplash d un film sur le travail et le dépassement de soi . La réussite nécessite un dévouement acharné pour arriver au but ultime. Ce film nous questionne sur notre propre capacité à nous dépasser ; A laisser à contre cœur notre vie personnelle pour nous transcender . Allez voir ce film, La première scène et la scène du premier pas sont d une force incroyable. Chazelle réussi un film sur la conquête de l espace qu aucun réalisateur même pas’spielberg n a reussi à faire avec autant de génie !! Le couple Armstrong en opposition sont joués avec une grande intelligence! Bravo
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    WAW ! Un vrai chef d'oeuvre ! Vous DEVEZ le voir en IMAX !
    Toutes les sequences lunaires sont tournées avec des cameras IMAX et c'est incroyable !
    Le mixage son est FOU, la musique encore plus ! Les plans sont magnifiques et le scenario sublime !
    Quand spoiler: Appollo 11 décolle
    les siège tremble par la puissance de la scène !
    L'alunissage est epoustoufflant et le changement de format 2:35 - IMAX est à coupe le souffle, vraiment !
    Bref, allez le voir en IMAX !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    Genialissime

    J’ai adoré ce film

    On ne voit pas les 2h passer

    Superbe histoire

    Les frissons tout le long
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    Merci Damien Chazelle d'avoir encore réalisé un chef d'œuvre, merci Ryan Gosling d'avoir encore été parfait pour ce rôle, merci Justin Hurwitz d'avoir encore composé une merveilleuse musique... Ces trois magnifiques artistes que j'avais énormément apprécié dans "La la Land" sont de nouveaux présents dans cet excellent "First Man" qui m'a emporté et fait voyagé plus que jamais. Encore un film à Oscars! ;)
    Selingues G
    Selingues G

    73 abonnés 956 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2019
    Quand on prend un peu de hauteur, First man est juste une vraie réussite et se classe dans les meilleurs films de l'année.

    Le duo Damien Chazelle et Ryan Goseling réinventent le film de l'espace. On est pas dans l'explosion des effets spéciaux ni dans la science-fiction car nous sommes ici sur un biopic spatial.
    Bourré de moments de bravoures et d'émotions démontrent une nouvelle fois toute la beauté du cinéma de Chazelle ainsi que sa manière de renouveler à chaque fois le genre.

    Un vrai chef d'oeuvre et l'un des meilleurs films de l'année 2018.
    Yoann R.
    Yoann R.

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    super film j'ai passé un très bon moment. le film montre bien les difficultés rencontrées par ces hommes et leurs familles.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Je recommande vivement d'aller voir ce film sur grand écran. Ce film est très immersif et on se retrouve rapidement pris par l'histoire de ces hommes.
    freepel
    freepel

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2019
    Un biopic très bien réalisé, la musique est magnifique.
    Ryan G. arrive à transmettre les émotions pendant tout le film. Dommage que la partie en IMAX soit qye quelques minutes.
    J'ai adoréle film et j'ai recommande .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    Vous savez quoi ? En allant voir "First man", nouvelle conception cinématographique du mec qui a pondu ce trip jaunâtre viscéral et intense qu'était "Whiplash", et la stratosphérique comédie musicale bleue et rose qu'était "La La Land", je m'attendais sincèrement à relativiser sur l'auteur de génie qu'est devenu et semble toujours avoir été "Damien Chazelle". Il est vrai que, en tant que fervent passionné du Septième Art, je fus ne serait-ce que l'instant d'un instant légèrement tourmenté quand à l'intérêt d'un potentiel biopic, dont l'issue n'est inconnue de personne, et surtout par la vue de certains extraits, perplexe face au classicisme apparent.
    C'est la veille du "Jour J", que mes oreilles enchantées de jouvenceau rencontrèrent fortuitement les mélodies absolues de "Justin Hurwitz", au crépuscule d'un monde lointain. Nom d'un chien !cette musique, frissonnante à en crever, qui vient d'ailleurs ou bien revient de loin, (le saurais-je ?), transcende.

    Et enfin, le jour suivant, en sortant de la salle obscure du "Gaumont Pathé" du Havre, mon père avec qui je suis allé voir le film m'a dit : "Quelque part, il est parti la chercher sur la Lune".
    Remarque tout à fait pertinente, qui offre du sens aux 142 minutes qui viennent de s'écouler devant nos yeux, et font du nouveau film de "Chazelle", une fresque titanesque dont la mélancolie de chaque instant transpire les moindres parcelles du visage froid d'un homme porté par la mort.
    Grandiose. Froid. Solaire. Lunatique. Intense. Millimétré. Rigoureux. Evasif. Sublime. Triste.
    Triste. Mazette ! Que ce voyage introspectif, qui s'impose davantage comme le portrait d'un homme que d'une mission, est triste. Triste à en briser le cœur. Triste à en courber l'échine. Triste à en garder une trace larmoyante sur nos joues rougies par le premier vent d'Hiver. Dès le premier quart d'heure, le ton est donné : distribution à tout va de paires de gifles. Immersion folle. Deuil déchirant. C'est parti, on va en voir du pays. Toute la première partie, jusqu'à la première excursion dans l'espace, dispose d'une fadeur sourde et factice, portée par une réalisation vive, nerveuse et naturaliste, qui dans ses moments intimistes ne cessent de rappeler un certain "Terrence Malick". Les personnages secondaires, plus effleurés que véritablement caractérisés, à l'image du regard que porte "Neil" sur eux, s'exposent comme des fantômes d'âme et de chair. Tout semble factice, impropre, désenchanté, un peu comme la vision nihiliste et distancée que "Neil" conçoit de l'humanité. Sa froideur et son monolithisme suggèrent toute la sensibilité d'un homme brisé qui tente, sans relâche, de contenir la moindre larme qui pourrait s'extirper de ses yeux taciturnes. Et c'est parce qu'il est au point mort, qu'il est expérimenté et qu'il cherche à fuir ce que recherche Janet ("Je voulais une vie normale") qu'il se lance à la Conquête du tout qui n'est rien que du tout ou rien.
    Tout ou Rien ? Et bien, si je puis dire, c'est avec rien que "Neil" part dans la vaste étendue étoilée pour la première fois. Les boulons, les commandes, les métaux frais, les combinaisons, le verre solide du scaphandre, les corps disposés sur des sièges, les respirations arythmiques, l'air, le feu, l'eau et la Terre qui s'éloigne : chaque son est retranscrit. Magistralement.
    On est immergé, au plus près d'eux, enfermé du début à la fin du programme, dans cette espèce de boîte de conserve rudimentaire que l'on envoie dans le vide. Quelle folie. Mais une folie dépeinte par "Chazelle" comme un chaos sourd et assourdissant dans le plus risqué des endroits (c'est pour dire, même Daesh n'y va pas), et dont la force cinématographique réside dans un travail monstrueux du montage et du cadrage claustrophobique. L'intensité est telle que le spectateur se retrouve, à son insu, emporté dans un torrent démentiel et gargantuesque, où l'on frémit pour ces deux astronautes insignifiants face à un tel géant.
    Après ces rugueux évènements, la seconde partie suscite derechef une mélancolie absolue chez le spectateur, que l'on enferme, cette fois ci, dans l'autisme d'un homme qui s'apprête à faire l'impossible. Qu'il soit en conférence de presse ou avec sa tribut de sang, il est le même : froid. Et je ne saurais si bien retranscrire l'étendue de ce que j'ai ressenti, à l'instant où "Neil", s'adresse laborieusement à "Mark and Eric" sur la chose inimaginable qui fera l'apogée de sa vie le 20 juillet 1969, sous le regard d'une Janet à fleur de peau, écorchée vive, lassée par l'obstiné, l'obsédé, le fou.
    Les vingt-cinq dernières minutes du film sont certainement l'une des vingt-cinq dernières minutes les plus réussies de l'histoire du Cinéma. C'est un véritable enchaînement de claques, à commencer par le décollage, servi par une partition survoltée et transcendante, puis ensuite d'un atterrissage "chef-d'oeuvresque" sur la Lune parsemée d'un gris scintillant, encore une fois souligné d'une bande originale qui aura sûrement l'Oscar. Sublime ! Du grand Art ! Et, qui plus est, la cerise sur le gâteau, une fois le pied à Lune (si je puis dire), la silence s'impose et suggère un million et demi de frissons dans nos cœurs encore chamboulés. Puis… Aller ! Soyons fous ! Rajoutons encore un bon gros doigt d'honneur au patriotisme Américain qui est ici totalement démythifié : pas de montages alternés avec une vision d'une humanité euphorique sur Terre, ou d'un personnel en extase dans les locaux de la NASA. Non, pas de ça dans le film de "Damien Chazelle". Ici, seulement un homme, avec sa faiblesse et son pathétique, les pieds sur l'inconnu, scrutant les moindres horizons pour pourquoi pas trouver celle qu'il était peut être parti chercher sur la Lune.
    "Ryan Gosling" est bouleversant, rustre, déterminé et subtilement viscéral. "Claire Foy" est incandescente, douce, amère et tout à fait fascinée et fascinante. Le reste du casting signe un sans fautes.
    Et bien voilà. Je sais que dans un monde comme le notre, où la critique est un exercice de plus en plus prétentieux et délicat, il est difficile d'émettre le fameux mot divin qui peut couronner une œuvre. D'ailleurs, qui suis-je pour me permettre de l'employer, qui ne suis qu'un vulgaire apprenti d'un art aux millions de secrets. Reste que, tout comme "Chazelle" l'a rêvé un jour : il faut mettre des étoiles dans les yeux du spectateur, afin qu'à travers les âges et les générations, une œuvre touche par sa singularité, par son authenticité et par son amour du Grand Cinéma. En somme, je ne peux me retenir de le dire. Peut être est-ce faux, peut être est-ce vrai ? Mais voilà ce que je retiens du Troisième film du nouveau "Master Of Hollywood" : Un vrai chef d'œuvre froid et intense, dont la mélancolie infinie se loge dans notre cœur et nous hante comme le son doux de cette mélodie qui surgit d'une harpe céleste.
    Sabrina S
    Sabrina S

    39 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mars 2019
    Excellent !!! Réel, et fabuleux, extrêmement bien joué et bien réalisé. Les images finales sont émouvantes. Un plaisir que de re-découvrir ce grand moment de l'histoire autrement.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 octobre 2018
    Un chef d'oeuvre sans aucune longueur ni mélo. Beaucoup de réalisme simple mais poignant. A voir absolument
    Yo B.
    Yo B.

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2018
    Encore une pépite de Damien chazel. La finesse des prises rends crédible, la moindre des scènes et son acteur fétiche avec un jeu minialiste prouve que ce gars est bourré de talent
    Céline P
    Céline P

    12 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 janvier 2019
    Magnifique film. 50ans après cette aventure surréaliste à l'époque, on entre dans la vie de Niel Armonstrong, un homme comme un autre qui a fait avancé l'histoire tout en surmontant les épreuves personnelles. Je trouve cependant que l'euphorie finale n'est pas assez marquée.
    zeta2reticuli
    zeta2reticuli

    18 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mars 2019
    Je distribue rarement des 5/5 à des films. Moins d'une fois par an. Pourquoi ici ? Pour 2 raisons, la première, comme tout le monde l'a vu, cette fresque a été racontée par ailleurs en long en large et en travers en live, en film, en docu, en livre, en interview et on pensait tout connaitre de cette histoire. Et le tour de force de Chazelle a été de proposer un regard complètement original, par le prisme de cet évènement spoiler: tragique
    de la vie de Niel Armstrong qui apporte une vue et une compréhension nouvelle à cette grande aventure. La seconde, c'est que ce film m'a totalement bouleversé, ce qui est rare. C'est ainsi la première fois que je m'identifie au personnage d'Armstrong qui me semblait inaccessible avant. Le film permet d'entrer dans sa tête et de vivre son épopée à travers ses yeux, ses émotions. Alors peut être que pour ce film, je suis sorti de l'objectivité qu'on devrait se fixer en critiquant, mais c'est bien parce que le film m'a poussé à le faire. Et que donc, c'est un chef d’œuvre, pas moins.
    President Dwayne Elizondo Camacho
    President Dwayne Elizondo Camacho

    13 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2018
    Cette critique n’est rien par rapport aux émotions ressenties devant cette vision profondément humaine de la plus courageuse et suicidaire mission dans l’histoire de l’humanité.
    Chazelle confirme qu’il a un don exceptionnel pour la mise en scène et le choix de sa bande-sonore.
    Tous les acteurs sont justes, rien n’est de trop.
    Limpide.
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