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jordanacidburn
17 critiques
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2,0
Publiée le 19 juin 2019
Un film a gros budget qui ne fait pas le job !!! Je me suis rarement autant ennuyé devant un film, pourtant passionné de spatial en general je trouve ce film fade , lent , et comme toujour pro americain !!! Petit rappel les américains etaient a la ramasse complet ils ont du prendre et proteger tout les scientifique nazi de l'aero nautique/spatial pour ne citez qu'eux, et la comme par hasard on en parle pas lol comme d'hab ont parle ce de ce qui arrange bien la visions de choses particuliere des usa. Pour finir a ceux qui voudrai voir un tres bon petit film sur la conquete spatial je vous conseil vraiment le film gagarine first in space.
Un biopic très bien réalisé, la musique est magnifique. Ryan G. arrive à transmettre les émotions pendant tout le film. Dommage que la partie en IMAX soit qye quelques minutes. J'ai adoréle film et j'ai recommande .
J’ai beaucoup aimé le côté psychologique du premier homme qui a mis les pieds sur la lune. Imaginez vous la pression qu’ils avaient, et surtout à quel point c’était sur pour sa femme et ces enfants : c’est, pour moi, le plus intéressant dans ce film, avec la découverte de sa véritable histoire, c’est un film émouvant et prenant!
2 étoiles pour les effets spéciaux et par respect pour Neil Armstrong, pour le reste l'ennui est sidéral... On regrettait de ne pas pouvoir accelerer les scènes interminables et soporifiques.
Le réalisateur de La la land racontant la plus grande aventure de l’histoire de l’humanité : on pouvait s’attendre à un film extrêmement spectaculaire ! Il est donc surprenant de voir que la première moitié de First man : Le Premier Homme sur la Lune est plutôt intimiste et assez lente, le tout interprété par un Ryan Gosling très peu expressif (même si cela serait véritablement une des caractéristiques de Neil Armstrong) et filmé de manière très classique (contenant énormément de gros plans). On peut donc assez facilement trouver le temps un peu long durant cette première heure. Heureusement, la seconde moitié, s’axant plus sur la préparation de cette épopée et celle-ci, est beaucoup plus convaincante (même si on peut être surpris de l’aspect anti-spectaculaire découlant du choix de montrer le voyage comme l’ont vécu les personnages, c’est-à-dire en restant essentiellement à l’intérieur de la cabine spatiale) en nous offrant notamment de magnifiques plans lunaires. Au final, First man : Le Premier Homme sur la Lune est un film un peu long mais possédant une présentation assez convaincante du voyage vers la Lune (il fait partie des rares films où on respecte le silence spatial) qui le rend tout de même intéressant à voir.
La première partie du film est très impressionnante avec un parti pris de se placer au niveau du pilote sans aucun plan d'ensemble en restant toujours dans les capsules. C'est très réussi et on partage les appréhensions des astronautes quand intervient le moindre problème. Cette partie est de plus émaillée de beaucoup de drames et de deuils qui renforcent l'oppression qui entoure le projet Appolo. La qualité exceptionnelle de Niel Amstrong de constamment être capable de garder son sang-froid et de chercher une solution pour se dégager de situations critiques a été déterminante dans le choix de la NASA pour le désigner FIRST MAN on the Moon. La seconde partie, qui raconte la mission Appolo 11, abandonne tous ces partis pris et devient plus conventionnelle et beaucoup moins intéressante, excepté le passage au bord du cratère de la mer de la tranquilité. Le film souffre de l'interprétation transparente et inexpressive de Josh Boshlin, au contraire de celle de sa femme, très remarquable, ainsi que celles des autres acteurs du film. Donc de bonnes idées, une reconstitution fidèle et techniquement très bien réalisé du projet Appolo, mais plombée par la performance à mon avis très médiocre de Josh Boslin et d'une seconde partie plus faible. Pour l'anecdocte, on peut entendre la version originale de la chanson "Walking on the Moon" reprise plus tard par le groupe POLICE.
Je ne connaissais pas la biographie de Niels Armstrong. Je n’ai vu aucun teaser... et je dois avouer que j’ai été pris par le film, tellement pris que je n’ai pas vu le temps passé. Il est bien tourné , les acteurs sont crédibles , un scénario robuste, tous les ingrédients pour un excellent film. Mon coup de cœur 2018
Le déroulement me rappelle un peu Last Action Héros mais en plus court. On est juste avec Armstrong, on voit pas ce qui se passe autour. Pari encore réussi mister Chazelles !
Un portrait froid et étourdissant, comme le vol dans l'espace dont il est question, d'un homme mais aussi d'une époque. La mise en scène très intimiste renforce le côté sensible de ce biopic, bien loin des grandes envolées lyriques auxquelles on aurait pu s'attendre. La beauté de l'espace et des machines contraste avec la vétusté visible des technologies, ce qui ne fait que renforcer l'impression de grandeur de l'exploit réalisé. Et puis le personnage de Neil, fascinant et intransigeant taiseux, tout dévoué au sacrifice pour son travail quitte à négliger voire délaisser sa famille, est excellament interprété par un Ryan Gosling qui semble bâti pour ce rôle. Cette épopée à la fois universelle et intime a cela de fort qu'elle parvient à nous faire effleurer le paradoxe entre la grandeur de ce que l'homme est capable d'accomplir et ses limites, qui semblent provenir davantage de sa nature que de la technologie qu'il utilise. Très beau et très intéressant moment de cinéma.
Damien Chazelle, petit génie du cinéma US, s’attaque à un monument de l’histoire et du patriotisme américain récent : l’alunissage de 1969. En dressant un portrait de Neil Armstrong sur 10 ans (1960 à 1969), il aurait été tentant de tomber soit dans le patriotisme grandiloquent soit le spectaculaire triomphaliste. Mais l’approche de Damien Chazelle est plus subtile que le Eastwood de « American sniper » et plus intimiste que Philip Kauffman qui traita le même sujet (« L’étoffe des héros ») sous un angle élégiaque. Chazelle donne le ton dans sa première partie en mettant au centre l’homme et non le spationaute en devenir. Donc tout commence par le drame familial que vie Armstrong : le décès de sa fille. Suite à ce traumatisme, on le verra sans cesse construire sa vie bien en dehors de sa cellule familiale. Dans les deux films précédents de Chazelle, les personnages principaux sacrifiait une partie d’eux-mêmes au profit d’ambitions supérieures ; là, la famille d’Armstrong n’est pas un fardeau à ses aspirations personnelles mais à l’isolement qu’il recherche. Et la mort ambiante du foyer qu’il fuit, il la retrouve sans cesse et de manière concrète dans ses missions où elle peut surgir à tout moment. Symbole de cette distance prise avec les siens ; dans la dernière scène, il regarde sa femme à travers une vitre comme il regarde la lune à travers la visière de son casque ou le hublot du module d’alunissage. Voilà pour la sphère familiale ; mais dès que l’on sort de l’intime ; les pionniers de la conquête de l’espace font office de grands explorateurs des temps modernes à l’image de leurs homologues marins : Colomb, Vasco de Gama, Magellan,… Les véhicules spatiaux faits de bric et de broc font penser à de grandes maquettes en balsa. Fallait être un peu dingue pour grimper là-dedans tout comme aller au fin fond des océans dans des barcasses. On ressent la tension à chaque instant lors des vols ; chaque bouton, clapets, voyant est une source d’inquiétude ; on ne sent pas une grande fiabilité technologique à bord de ces engins. Loin du spectaculaire, car tout est filmé à travers le casque ou le hublot d’Armstrong pour livrer une version la plus intérieure possible de la conquête spatiale. C’est flippant tout de même et atteindre l’objectif d’alunir parait tenir du miracle. Le film affronte ce coup humain, il met aussi en exergue les préoccupations américaines du moment (lutte pour les droits civiques, guerre du Vietnam) si éloignées des si couteux programmes spatiaux. Toute la défiance du peuple pour les sommes colossales engagées parait bien noble lorsque l’on comprend dès le début du film que la seule motivation de l’alunissage est d’affirmer sa supériorité sur l’ennemi soviétique. Après on peut regretter le traitement quelque peu clinique de Chazelle, mais au talent on pardonne aisément. Tout comme on pardonne quelques envolées Mallickienne type « Tree of life » lorsqu’il s’agit des flash-back mettant en scène la fille d’Armstrong. L’ambiance aussi intérieure et feutrée du film à l’image d’un Ryan Gosling en anti-héros discret et taiseux relègue au second plan la fameuse phrase tant attendu par tous les spectateurs en entrant dans la salle : « c’est un petit pas pour l’homme, mais un bond de géant pour l’humanité ». Et voilà, encore un bon film sur 2018 tout-un-cinema.blogspot.com
Je m'ennuie tellement que j'écris la critique avant la fin du film , ne sachant même pas si je vais la regarder, il faudrait une prouesse du réalisateur dans les 45 minutes qui suivent pour que je change d'avis, mais comme je suis curieux je vais écouter le film du coin de l'œil et le regarder d'une oreille distraite en faisant autre chose ….. Ben finalement le reste du film a juste enfoncé le clou.
Un film magnifique qui vous emporte très haut sur la lune. La mise en scène est envoûtante renforcée par le jeu des acteurs qui portent l’histoire avec sensibilité et justesse. Un très bon moment de cinéma.
3,5/5 Bien. Le film arrive à nous faire réaliser l’exploit accompli à l’époque. La bande originale est top. Quelques longueurs à certains moments lors de la préparation du vol (grande partie du film). Bon film.