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    First Man - le premier homme sur la Lune
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    657 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Je suis globalement déçu par ce film et pourtant il y avait de la matière à exploiter, le voyage sur la lune est un des événements qui ont changé à jamais l'humanité, repoussé les limites technologiques de l'homme . Le film est globalement lent, on a l'impression de voir un dépressif faire un boulot banal peu enthousiasmant et surtout le voyage sur la lune est complètement bâclé, attention spoil : il reste 30 secondes sur la lune et remonte . J'aurais espéré beaucoup plus de plans, un peu plus de temps pour contempler ce magnifique spectacle . Bref déçu 3/5 .
    Lecter_H
    Lecter_H

    202 abonnés 865 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 janvier 2019
    Un bon film qui couvre la vie de Neil Armstrong tant sur le plan privé (un homme réservé et austère envers sa femme et ses enfants) que sur le plan professionnel (rigueur et travail acharné). Le film couvre une trop grande période (1961 à 1969) et trop de sujets privés et techniques avec les missions Gemini et Apollo. Résultat : c'est assez décousu, on s'égare parfois et cela manque de constance dans le fil de narration. Je veux dire par là que parfois on insiste sur des détails et parfois on passe trop rapidement sur des événements essentiels. C'est un peu dommage car le style est bon et l'idée de ne pas sombrer dans une narration trop technique mais plus humaine et une bonne idée. Un film à voir.
    Jacbar
    Jacbar

    3 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2019
    J'ai beaucoup aimé Gravity et j'aurai aimé trouver ici un récit plus visuel que les pseudo images d'archives pour l'alunissage.
    Camera tremblé, vision à l'intérêt limité, certes on est à la place de l'astronaute mais on n'a pas eu l'entraînement pour ça.
    Attendre souvent qu'il se passe quelque chose, dans 5 mn il va se passer quelque chose... pas mieux. Je m'intéressais beaucoup à l'astronautique étant jeune, et heureusement, pour comprendre les évènements qui s'enchainent depuis l'X15 car les infos parlée sont livrées au compte goutte. Neil A. est un taiseux en tout cas dans le film, et c'est pénible à tel point qu'on dirait un zombi. Sa femme cause peut aussi mais fait passer l'émotion au moins. Il faut vraiment en vouloir pour attendre la fin, surtout qu'on la connaît ; il y a quand même une rigueur dans le récit et un sérieux qu'on aurait préféré encore un documentaire. Comment noter ce film 4 ou 5 étoiles, sûrement par les adeptes de l'art minimal.
    blacktide
    blacktide

    60 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Âme Strong, le Onzième Sceau...

    N’y-a-t-il rien de plus motivant que d’entendre résonner Les Chariots de Feu dans l’insoutenable attente de First Man ? Car dans cette accidentelle analogie, il est sans cesse question de marathon, de course à vive allure, sableuse ou spatiale, de grandes enjambées et de petit ou grand pas pour l’hominidé. Douglas Trumbull nous l’avait confié : dans l’espace, le voyage s’assimile à une « Silent Running ».

    Physique, First Man le sera. Sans étoffe ni héros, sans embouteillage ni percutions, Damien Chazelle se lance ainsi à la conquête de nouveaux espaces, à la recherche d’une fragilité, humaine – toujours – au contact des étoiles de l’Histoire. Il en restitue une œuvre intimiste, de soupirs, de regards, de souvenirs et de heurts contrastés. Comme pour explorer chaque fêlure, chaque épisode désenchanté, derrière la surface mythifiée de l’Odyssée cosmique. Interstellaire, sans aucun doute.

    L’ouverture en condense tout le propos : l’immersion au contact de l’intime, antithèse presque parfaite au prologue démesuré et enchanteur de son La La Land. Chazelle environne son spectateur, au moyen d’une action brute, sensorielle et psychologique. Les « attractions d’Eisenstein » sont en marche : impact maximal, le décompte est lancé. Les sons et vibrations guident notre immersion, et renforcent ce sentiment d’oppression : la tôle se froisse, les boulons frémissent, la tension s’accroche, l’incertitude gagne les esprits. Le vaisseau dans lequel s’isole le pilote en semble d’ailleurs réduit à une simple carcasse métallique, instable et chétive (de construction humaine en somme), évoluant entre silences et turbulences. Vibrer, au sens le plus brut du terme.

    La caméra subjective, et l’encadrement constant des visages, contribuent à renforcer l’immersion. Nous sommes Neil. Lui est spectateur de sa propre vie. Tout se joue sur la déstabilisation du personnage et des spectateurs. La caméra tremble, panique, perd le contrôle et s’initie à la gravité. La légende voudrait même que Paul Greengrass ait tremblé à la vue de ces séquences pour le moins agitées. Chazelle n’oublie pas pour autant de lui donner une dimension opératique, posée et mélancolique. Comme pour renforcer le contraste, et le dilemme interne du personnage.

    Des fusées aux salles de contrôles, des incendies du deuil aux intérieurs en apesanteur, First Man touche au sublime. Chazelle impose cette tension à instant T ; l’issue est certaine, mais elle se vit au présent, au cœur du passé. Toute l’esthétique « datée » tend ainsi à intensifier ce sentiment d’un réalisme archivé : entre le format 16mm et l’empreinte « Home Movies », First Man s’immortalise dans l’intime, et y instaure une certaine familiarité, suivant la démarche du sublime Jackie de Pablo Larraín. Un aspect presque documentaire, créant l’inévitable et évident rapprochement avec l’intense et passionnant For All Mankind, où la proximité humaine y était déjà favorisée, quitte à frôler l’abstraction pour mieux atteindre la sensation. Le travail sur la lumière contribue à dessiner les contours de l’humain et y appose une visibilité, un effleurement corporel, une invitation à l’Illumination.

    La modestie s’élève dans un rapprochement, et traverse l’œuvre de l’humble Chazelle comme une comète dans le crépuscule des légendes. Il dépasse l’immensité lunaire pour se concentrer sur le pas (in)visible à sa surface. Dans l’intimité du cockpit, et l’instabilité de son environnement, First Man se dévoile à échelle humaine, en un visage casqué, en une perspective tranchée, tout en contrastes, du bruit au silence, de la limite atmosphérique à son infini, son au-delà. Une façon de nous rappeler que toute avancée suppose l’acceptation d’un risque ; celui de ne jamais revenir.

    Usant de sur-cadrages (des hublots aux portes du foyer) et autres prises de vue étroites, Chazelle joue sur les ruptures, de tons et d’espaces, et confronte les plans, autour de cette intimité resserrée, et de l’enfermement émotionnel qui s’en dégage. Le temps se dilate. Dans ces éternels changements d’états, entre atmosphère et espace, entre ombres et lumières, la mort plane, l’absence aussi. Une œuvre se posant en confrontation de l’Homme avec sa mission, et ses tourments. Il est le portrait d’un Homme poursuivi par la Mort. Son sceau dans l’inconnu est scellé. Neil est cette personne qui se confond dans de multiples reflets. Un être miroir : la légende est intacte, l’homme est brisé.

    Pertes après pertes, de blessures en collisions, First Man ne cherche jamais à exacerber patriotisme et sensationnalisme : un choix honorable qui lui a d’ailleurs valu de vives critiques et polémiques aux USA, notamment vis-à-vis de l’absence d’une certaine bannière étoilée. Et oui, ni explosions à la Armageddon, ni de grandiloquence hollywoodienne, dans ce biopic où l’homme se cherche derrière le mythe. Contexte politique, guerre froide, bouleversements sociaux, changements sociétaux, figures de l’ombre, n’apparaissent par conséquent que par touches et nuances. Jamais les astronautes ne sont érigés au rang de demi-dieu ou de « géant », et sont constamment relégués à leur condition de mortels.

    Ryan Gosling y apparaît intense de retenue, bouillonnant et en ébullition : froid, faussement passif, intériorisant les émotions, comme pour sauver les apparences et ne jamais dévoiler sa peine. Il s’immerge dans l’excès de sa mission, l’artifice de l’impossible pour en oublier le réel. Seule une larme s’échappera pour évacuer la douleur de la perte. Regard intense, Claire Foy en est le parfait contrepoint, expressive au possible, comme pour pousser son mari à la confession, à la parole. Un duo en parfaite alchimie, construit autour du deuil, de l’enfant à jamais perdu dans les astres, et cette difficulté de l’évoquer au sein du couple.

    Comme un leitmotiv chez Chazelle d’explorer les relations contrariées, le sacrifice personnel, l’obsession de la réussite, la nécessité du choix et de l’engagement. Il a ce don de capter les ambitions inhérentes à l’American Dream, questionnant leur accomplissement, et le caractère tristement solitaire de ces rêves inaccomplis, brisés par des choix et dilemmes, et empêchant chaque personnage d’accéder à une plénitude totale, à devenir un être « complet ».

    A chaque turbulence succède pourtant un instant suspendu, tels les reflets d’une Terre en échappée. Le calme après la tempête pour faire simple. City Of Stars y prend une toute autre ampleur : sa douce mélancolie s’est transmise aux étoiles et aux astres. L’immensité se fait poétique. Le ciel noir contraste. Le temps d’une rhapsodie lunaire, le spleen nous envahit, et le cœur le chante : une danse de salon, et La La Land s’invite, sa poésie s’envole, corps à corps, cœur contre cœur. Une mélodie à répétition, sublime, tel un motif pour panser les blessures. Puisque la musique est là pour effectuer les rapprochements, dans une navette ou en famille, entre un mari et sa femme, entre un père et ses enfants, entre des amis habités par un même rêve, et la même mission. Justin Hurwitz s’impose une nouvelle fois en maestro, et se permet références (à 2001 et son ballet planant), envolées et décollages mélodieux.

    Claire, propre, la lune s’offre à nous. Du silence, l’Image s’élargit. Elle se fige, s’intimise, jusqu’à ce que le regard dépasse ses limites, sa propre réalité et son propre entendement. Cette séquence lunaire, tournée en IMAX, agit ainsi comme un point de rupture entre l’intime et l’universel. La sensation de contraste s’intensifie, et épouse le ressenti d’un voyage vers l’inconnu, ponctué de cette tristesse lunaire, de poussière et de pénombre. L’étrangeté d’un impossible merveilleux en définitive, où se déposeraient toutes les déchirures et frustrations de l’homme à l’intérieur de la combinaison : l’astre se fait alors le mausolée d’une fille perdue. Un bracelet symbolique s’y dépose, comme pour y laisser une trace, une présence, un souvenir. Pour que chaque vie fauchée perdure dans l’éternité de l’Histoire, et s’abandonne au trou béant d’un autre monde, de silence, de repos et de paix. Pour qu’à chaque fois que la nuit tombe, la Lune rappelle son astronaute attristé.

    First Man est une œuvre du reflet, en miroir, de l’intimité à la contemplation Malickienne d’un Tout, de l’infiniment plus grand à l’infiniment plus petit. Une question de perspective, sûrement. L’environnement y est à chaque fois exposé au travers d’un casque, cette frontière entre l’homme et le visible. Tout semble voué à la séparation. Ce que l’épilogue viendra confirmer, non sans une certaine cohérence filmographique. Des regards se croisent. Une vitre les sépare, le regard les unit. Et les mains s’enlacent, intouchables, dans une étreinte artificielle, détachée. La séparation est certaine. Comme un souvenir annihilé par la vitre de l’Histoire. Seulement, en suspension, la mélancolie résiste : celle d’un dernier contact, de mains ou de regards, pour peut-être ranimer l’étincelle, en un solo de batterie enflammé, en quelques notes de piano en medley, ou en un silence de retrouvailles étoilées.

    Puisque First Man est une œuvre sur le désenchantement du rêve, l’instabilité, et la poésie qui en résulte : la Lune n’est pas un fantasme, elle est une mission, un objectif. George Bailey l’avait eu au lasso, Chazelle la décroche en un sublime concerto. Car après tout, un seul refrain demeure : « If you believed they put a man on the moon, man on the moon/ If you believe there's nothing up my sleeve, then nothing is cool. » La La Land nous avait mis des étoiles pleins les yeux, First Man en détaille la composition, et en explore chaque recoin, et faces cachées. Kubrick en a été l’étincelle (et peut-être même plus si l’on se prête au jeu du complotisme), Chazelle en est définitivement la flamme moderne. Premier contact en terrain inconnu, et sûrement pas le dernier. Prodigieux, on vous dit.

    Critique à lire également sur Le Blog Du Cinéma : https://www.leblogducinema.com/critiques/critiques-films/first-man-critique-872220/
    liamsi
    liamsi

    19 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2019
    Après Un Whiplash surprenant et un La La Land magistral, Damien Chazelle était très attendu pour son troisième film, malheureusement il a complètement raté le coche, je veux bien que l'histoire soit sérieuse mais on s'ennuie du début à la fin, c'est froid, on ne ressent aucun attachement aux personnages, bref le cinéma ça doit rester du divertissement, si on voulait des infos brutes sur ce sujet on aurait regardé plutôt un documentaire.
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    52 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2019
    C'est long, long, très long. Plus de 1h30 pour vraiment entrer dans le sujet. Par contre j'ai beaucoup aimé le moment avant, sur et apres la lune (je pense ne pas spoiler vu que tout le monde connaient l'histoire) . A voir pour les dernières 40 minutes, sur 2h20 de film.
    defleppard
    defleppard

    388 abonnés 3 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2019
    Biopic intéressant , bien développé......le film dure 2 heures 20.....les scènes de la lune sont sublimes......4 étoiles...!!!!
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    325 abonnés 2 999 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    après le virevoltant La La Land, D. Chazelle s'attèle à retracer l'épopée de la conquête spatiale américaine jusqu'à ce jour historique de juillet 69. les 8 années qui précèdent Apollo avec la compétition contre les russes, les essais, les échecs, les critiques de tels projets couteux et surtout la vie de Armstrong. en effet, la vie de famille et la vision de l'astronaute est mise très en avant. le film est tout de même long et manque de variation mais les images de l'aventure lunaire ne peuvent qu'émerveiller.
    Grégory Dubreuil
    Grégory Dubreuil

    20 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Quel ennui, que de longueurs ... Tout ça pour ça ?! ... Pourquoi se concentrer sur autant d'années pour ne voir que si peu de préparation et se perdre dans une histoire ennuyeuse... Alors oui j'en ai appris sur Neil Armstrong mais cela ne me change rien ... et si peu de temps sur la Lune ... je vais finir par croire qu'ils n'y sont jamais allé !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Film complètement lent,beaucoup trop axé sur la famille.
    L'acteur principal est en pleine déprime,il a l'air d'être déjà sur la lune.Le film est surcoté.
    C'est une vraie daube.
    Guillaume N.
    Guillaume N.

    32 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2019
    Ayant adoré "Whiplash" et "La la land", j'avais hâte de découvrir le nouveau film de Damien Chazelle. Quelle déception ! On est très loin de Apollo 13, ou Interstellar. Ici tout est lent, ennuyeux, et les acteurs sont tristes a mourir. On retrouve un Ryan Gosling inexpressif et limite dépressif et la mise en scène plate n'apporte aucune tension ni aucun suspense. Soporifique !
    darkvash
    darkvash

    110 abonnés 1 540 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Biopic sur le Neil Armstrong et plus généralement sur le voyage spatial et son cheminement jusqu'au vol où l'homme a marché sur la lune.
    Le film est intéressant pour découvrir, pour ma part, la personnalité du cosmonaute et son sens du devoir au détriement de sa vie de famille.
    Le rôle de cet homme renfermé va bien à Ryan Gosling, habitué du genre, le reste du casting est bon.
    La réalisation est propre, la BO oubliable.
    L'ensemble est bon mais il m'a manqué quelque chose dont je ne saurais expliquer qui aurait fait basculer le film en trés bon.
    La longueur peut être, pour arriver au dénouement ou autre, reste néammoins un bon film qui mérite un visionnage.
    Cam R.
    Cam R.

    26 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 janvier 2019
    Un bon film, biopic sur Neil Armstrong intéressant. On comprend bien qu’à ce moment de l’histoire c’est une course contre la montre entre l’URSS et les USA dans la conquête spatiale. Le film est immersif. Dommage qu’il y ait quelques longueurs
    Pascal I
    Pascal I

    775 abonnés 4 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 janvier 2019
    Un biopic intéressant avec une histoire captivante mais une mise en scène avec trop de longueurs, un manque de rythme et un final pour ma part "bâclé" : quelques minutes seulement.
    Un film qui oscille à se fixer entre la bio, le documentaire et l'histoire et peine au final à convaincre pleinement. Apollo 13 (hors fiction) est d'une tout autre qualité scénaristique.
    En bons points : plans audacieux, interprétations acceptables, effets sonores impressionnants, visuels sympas.
    Coté musique, Hans Zimmer aurait été le bienvenu ... 3.5/5 !!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 janvier 2019
    "First man : le 1er homme sur la lune", ou comment supprimer les paillettes américaines comme ils nous ont habitué à voir leur cinéma, et se concentrer sur les faits... Sans fioritures... Immersion totale et hallucinante dans cette folie d'envoyer des hommes dans une boîte de conserve à la rencontre de la lune... Très bien filmé, nous sommes dans le cockpit, on ressens les émotions en On et en Off... Cette peur et ces appréhensions de l'inconnu, la mort des camarades lors des nombreux essais...Ce que ces hommes ont du vivre au milieu de ces boulons, vis et autres matériaux sommaires, ce qu'ils ont fait vivre à leur famille, et qui les ont pourtant amené jusqu'à l'impensable, nous laisse un goût de fierté de ce que l'homme est capable de réaliser avec cette inconscience diront certains, la bravoure et le don de soi pour faire avancer la civilisation pour les autres...
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