AlloCiné
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Votre avis sur First Man - le premier homme sur la Lune ?
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déçu. Les critiques spectateurs (je ne lis plus les critiques presse depuis longtemps...) notes laissaient augurer d'un meilleur film. Tout d'abord trop long: Chazelle a voulu trop montrer des choses qui finalement n'ont as grand intérêt, et paradoxalement, d'autres passent à ma trappe. L'aspect psycholoqique des personnages n'est que vaguement travaillé, il ne reste pas grand chose si on exclut
spoiler:
la mort de sa petite fille de 2 ans
. Dommage on aurait voulu en savoir plus sur sa femme, très bien jouée, ou sur la famille des astronautes qui meurent dans cette conquête spatiale. Enfin, le jeu de Ryan Gosling est lassant, voire énervant, j'ai l'impression de le voir toujours dans le même rôle de quasi-autiste, l'esprit ailleurs, jamais un sourire, jouant toujours de la même façon. Vous lui mettez un cure-dent dans la bouche et vous le voyez dans "Drive"...
. Dommage on aurait voulu en savoir plus sur sa femme, très bien jouée, ou sur la famille des astronautes qui meurent dans cette conquête spatiale. Enfin, le jeu de Ryan Gosling est lassant, voire énervant, j'ai l'impression de le voir toujours dans le même rôle de quasi-autiste, l'esprit ailleurs, jamais un sourire, jouant toujours de la même façon. Vous lui mettez un cure-dent dans la bouche et vous le voyez dans "Drive"...
superbe film, beau par sa photographie. presque trop court. on aurait bien aimé une serie de film. comme Film 1 Gemini et la sélection d'armstrong - 2/ le début difficile d'apollo et les pertes tragiques - 3/ apollo 11 et 4/ l’après apollo
Quand on prend un peu de hauteur, First man est juste une vraie réussite et se classe dans les meilleurs films de l'année.
Le duo Damien Chazelle et Ryan Goseling réinventent le film de l'espace. On est pas dans l'explosion des effets spéciaux ni dans la science-fiction car nous sommes ici sur un biopic spatial.
Bourré de moments de bravoures et d'émotions démontrent une nouvelle fois toute la beauté du cinéma de Chazelle ainsi que sa manière de renouveler à chaque fois le genre.
Un vrai chef d'oeuvre et l'un des meilleurs films de l'année 2018.
Le duo Damien Chazelle et Ryan Goseling réinventent le film de l'espace. On est pas dans l'explosion des effets spéciaux ni dans la science-fiction car nous sommes ici sur un biopic spatial.
Bourré de moments de bravoures et d'émotions démontrent une nouvelle fois toute la beauté du cinéma de Chazelle ainsi que sa manière de renouveler à chaque fois le genre.
Un vrai chef d'oeuvre et l'un des meilleurs films de l'année 2018.
Le réalisateur quitte les univers musicaux (Whiplash, La La Land) et se tourne vers l'histoire de la conquête spatiale, plus précisément celle de Neil Armstrong, premier homme sur la Lune. Côté scènes d'action, il opte pour un réalisme immersif, secouant et vibrant, sans surenchère dramatique ni stylistique. Le résultat est sobre et intense. Côté scènes domestiques (la vie de famille de l'astronaute, ses amis), c'est moins palpitant. Et pourtant, ce sont ces scènes qui donnent une tonalité surprenante au film, quelque chose de froid et de mélancolique, alors qu'on pouvait s'attendre à un lyrisme euphorisant. Intéressant.
Long, très long .. trop long !!! soporifique , devrait être remboursé par la secu pour les insomniaques !!! si vous êtes amateur comme moi de la conquête spatiale passez votre chemin ce film est plat sans rythme , Gosling est aussi expressif qu'un mur , l'ambiance du film est limite morbide . Les quelques scènes de conquête spatiale sont belles mais traitées comme le reste du film : froides et sans aucun lyrisme !! regardez plutôt L'étoffe des héros
Damien Chazelle quitte l'univers du jazz et de la dance pour celui de l'espace. Et comme toujours avec lui, c'est une réussite.
Pilote jugé "un peu distrait" par ses supérieurs, Neil Amstrong sera en 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Damien Chazelle montre les huit années avant se grand voyage.
Le cinéaste insiste dans cesse sur la précocité des engins et vaisseaux pilotés avec les cadrans à aiguilles qui s'affolent, les carlingues qui tremblotent et fument. On reste en apnée et totalement captivé à chacune de ses scènes.
Le film brille aussi quand il s'agit de montrer la distance qui s'installe entre Neil et sa femme et ses enfants au fil de ses différentes expériences spatiales. Sommé par son épouse d'annoncer son départ à ses enfants, Amstrong leur parle comme si il était en conférence, leurs demandant si ils ont d'autres questions à lui posé sur un ton froid et glacial.
Seul défaut, le scénario appuie un peu trop sur l'explication de sa vie mélancolique du à la perte de sa fille avec de trop nombreux flash-backs sur le bonheur familial perdu.
La scène d'alunissage est magnifique et est sublimé grâce à la musique de Justin Hurwitz.
Pilote jugé "un peu distrait" par ses supérieurs, Neil Amstrong sera en 1969, le premier homme à marcher sur la lune. Damien Chazelle montre les huit années avant se grand voyage.
Le cinéaste insiste dans cesse sur la précocité des engins et vaisseaux pilotés avec les cadrans à aiguilles qui s'affolent, les carlingues qui tremblotent et fument. On reste en apnée et totalement captivé à chacune de ses scènes.
Le film brille aussi quand il s'agit de montrer la distance qui s'installe entre Neil et sa femme et ses enfants au fil de ses différentes expériences spatiales. Sommé par son épouse d'annoncer son départ à ses enfants, Amstrong leur parle comme si il était en conférence, leurs demandant si ils ont d'autres questions à lui posé sur un ton froid et glacial.
Seul défaut, le scénario appuie un peu trop sur l'explication de sa vie mélancolique du à la perte de sa fille avec de trop nombreux flash-backs sur le bonheur familial perdu.
La scène d'alunissage est magnifique et est sublimé grâce à la musique de Justin Hurwitz.
Divertissant à condition d'aimer le visage de marbre de Ryan Gosling, qui nous sort (record absolu) 4 expressions différentes....La 1ere heure et demi de ce biopic, sur l'avant et les préparatifs, sont captivants...l'alunissage en lui même l'est par contre beaucoup moins. Un bon film sur la conquête spatiale de l'homme!
SI LOIN, SI PRES, JAMAIS SIMPLE
C'était l'été en Bretagne, j'allais avoir 10 ans, nous jouions encore dehors lorsque mon oncle ouvrit la fenêtre et radio en main, nous interpella : un homme marchait sur la lune et toutes nos têtes se tournèrent vers lui. Plus tard comme beaucoup, j'ai pu voir la retransmission de ce petit pas et aujourd'hui il nous est donné de mieux connaître la vie de celui qui le fit.
Une existence faite d'épreuves personnelles, de joies et de peines, de doutes et d'efforts, de deuils surtout tant, au-delà de l'exploit, cette aventure humaine, à l'époque critiquée, reste avant tout l'histoire d'un collectif porté par une multitude de motivations sans lesquelles rien ne serait possible.
Et ce film qui alterne avec réalisme les scènes techniques propres à l’aérospatiale et celles que tout spectateur peu partagé parce que semblables à son quotidien, ce récit à hauteur d'homme, trouve son point d'orgue lorsque Niel Amstrong, seul au pied d'un cratère lunaire, jette dans sa profondeur, le petit bracelet de sa petite fille morte quelques années plus tôt pour revenir vers nous avec, on lui souhaite, un pas encore plus léger que l'absence de pesanteur le permet.
C'était l'été en Bretagne, j'allais avoir 10 ans, nous jouions encore dehors lorsque mon oncle ouvrit la fenêtre et radio en main, nous interpella : un homme marchait sur la lune et toutes nos têtes se tournèrent vers lui. Plus tard comme beaucoup, j'ai pu voir la retransmission de ce petit pas et aujourd'hui il nous est donné de mieux connaître la vie de celui qui le fit.
Une existence faite d'épreuves personnelles, de joies et de peines, de doutes et d'efforts, de deuils surtout tant, au-delà de l'exploit, cette aventure humaine, à l'époque critiquée, reste avant tout l'histoire d'un collectif porté par une multitude de motivations sans lesquelles rien ne serait possible.
Et ce film qui alterne avec réalisme les scènes techniques propres à l’aérospatiale et celles que tout spectateur peu partagé parce que semblables à son quotidien, ce récit à hauteur d'homme, trouve son point d'orgue lorsque Niel Amstrong, seul au pied d'un cratère lunaire, jette dans sa profondeur, le petit bracelet de sa petite fille morte quelques années plus tôt pour revenir vers nous avec, on lui souhaite, un pas encore plus léger que l'absence de pesanteur le permet.
Alors là ...tout ca pour ne parler que de Armstrong et de ca vie privé ,le plus important c'est l'homme sur la lune non?
pourquoi avoir nommé le film ainsi,puisqu'on ne parle pratiquement que de ca vie privé et en plus tellement de longueur sans intérêt ...ensuite pour l'histoire ,qui a décidé que c'était Armstrong qui serait le premier à sortir, personne n'en parle puis les date manque souvent , un exemple quand il atterrisse sur la lune , pas de date ni d'heure , quand ils reviennent , c'était quand et ou ont t'ils atterri ??? , rien n'est expliqué pour les non initié...et le plus décevant , les réaction sur la terre qui étaient en émoi total devant leur téléviseur au moment ou le pied touche le sole, là aucune réaction devant ma télé,
pas d"émotion c'était flasque, je suis vraiment déçus par la réalisation un navet tout simplement, on voit les économie faite, beaucoup de studio ,en un mot dégouter !!
pourquoi avoir nommé le film ainsi,puisqu'on ne parle pratiquement que de ca vie privé et en plus tellement de longueur sans intérêt ...ensuite pour l'histoire ,qui a décidé que c'était Armstrong qui serait le premier à sortir, personne n'en parle puis les date manque souvent , un exemple quand il atterrisse sur la lune , pas de date ni d'heure , quand ils reviennent , c'était quand et ou ont t'ils atterri ??? , rien n'est expliqué pour les non initié...et le plus décevant , les réaction sur la terre qui étaient en émoi total devant leur téléviseur au moment ou le pied touche le sole, là aucune réaction devant ma télé,
pas d"émotion c'était flasque, je suis vraiment déçus par la réalisation un navet tout simplement, on voit les économie faite, beaucoup de studio ,en un mot dégouter !!
Dans cette biographie de Neil Armstrong , Chazelle insiste beaucoup sur une conquête spatiale incertaine dû à son coût astronomique et les ressentis psychologiques de ces astronautes. D'autres se sont attardés sur la complexité technologie liée aux voyages dans l'espace , mais dans ce film nous sommes avec les astronautes dans la fusée , avec la précarité des engins et partageons l'angoisse qu'ils pouvaient ressentir dans leur confinement. Nous découvrons, comme jamais la surface de la lune au même titre que les gros plans de Ryan Goslin avec son jeu minimaliste et lunaire .
Pour la première fois, un film américain qui ne nous fait pas miroiter une Amérique magnifique et sans problème. Ce biopic est très bien fait. On est très vite plongé dans l'histoire d'une conquête de la Lune alors que les moyens sont dérisoires face à l'objectif fixé. On accompagne le protagoniste, Neil Armstrong, dans toutes ses démarches et surtout dans les essais, les accidents, les risques, les pertes humaines, les priorités, les opposants au projet, etc. Le film montre des aspects qu'on oublie finalement, puisqu'on nous fait une propagande de la conquête de la Lune depuis un demi-siècle. J'ai été bluffé par ce film et spectacle époustouflant, par une musique majestueuse, par les plans, la mise en scène, tout tout tout !
excellent. je me suis régaler tant par le réalisme que le jeux des acteurs et les questions que cette quête à posée et pose encore. du grand cinéma pour une grande histoire.
pourtant je profite de cette critique pour poser une question à laquelle j’aimerais bien trouver une réponse : losrque l'on voit Neil sur la lune et les prises de vue panoramique du sol lunaire avec l'espace en toile de fond, pourquoi ne voit-on aucune étoiles ? elles sont si nombreuses vues de la terre que je m'étonne d'une telle absence sur la lune...
pourtant je profite de cette critique pour poser une question à laquelle j’aimerais bien trouver une réponse : losrque l'on voit Neil sur la lune et les prises de vue panoramique du sol lunaire avec l'espace en toile de fond, pourquoi ne voit-on aucune étoiles ? elles sont si nombreuses vues de la terre que je m'étonne d'une telle absence sur la lune...
Je reste sur ma faim avec ce film.
Il n'est pas aussi palpitant qu'Apollon 13
Pas aussi bouleversant qu'Interstellar
Pas aussi stressant que Gravity et
Pas aussi incroyable que Les figures de l'ombre
Alors pourquoi ce film qui raconte une des événements les plus marquant du dernier siècle est "oubliable" ? Ryan Gosling et Claire Foy ne nous font passer aucune émotion. Leur couple est taciturne, aucun humour, aucun amour. Et pourtant on nous montre de longs moments de leur intimité. Les passages au sein de la Nasa ne sont pas complets, ce sont juste des passages de crash, d'incendie... Bref j'ai vécu ce film comme une soirée trampoline on saute d'événements marquants en scène sans intérêt des, bons de 4 ou 5 ans parfois. Un reportage d'Arte fera largement le job.
Il n'est pas aussi palpitant qu'Apollon 13
Pas aussi bouleversant qu'Interstellar
Pas aussi stressant que Gravity et
Pas aussi incroyable que Les figures de l'ombre
Alors pourquoi ce film qui raconte une des événements les plus marquant du dernier siècle est "oubliable" ? Ryan Gosling et Claire Foy ne nous font passer aucune émotion. Leur couple est taciturne, aucun humour, aucun amour. Et pourtant on nous montre de longs moments de leur intimité. Les passages au sein de la Nasa ne sont pas complets, ce sont juste des passages de crash, d'incendie... Bref j'ai vécu ce film comme une soirée trampoline on saute d'événements marquants en scène sans intérêt des, bons de 4 ou 5 ans parfois. Un reportage d'Arte fera largement le job.
Magnifique film. 50ans après cette aventure surréaliste à l'époque, on entre dans la vie de Niel Armonstrong, un homme comme un autre qui a fait avancé l'histoire tout en surmontant les épreuves personnelles. Je trouve cependant que l'euphorie finale n'est pas assez marquée.
Cinéphiles 44
Changement total de registre pour Damien Chazelle qui tente une biographie du plus célèbre astronautes après sa comédie musicale « La La Land ». Son film décrit le parcours de Neil Armstrong, l’un des pilotes d’essai les plus confirmés et sélectionné par la NASA pour intégrer la mission Appollo 11 et être le 20 juillet 1969, le premier homme à poser le pied sur la Lune. Pendant plus de deux heures, le cinéaste nous décrit son parcours depuis 1960. Ryan Gosling dans le rôle titre emploi un jeu sans expression volontaire comme à l’époque de « Drive ». Si dans sa voiture, le visage du comédien fascinait, les gros plans dans sa fusée empêchent cette fois tout sentiment d’identification et ce, malgré les nombreux flash-back nous racontant son passé personnel. « First Man, le premier homme sur la Lune » est un film à la mise en scène froide qui met toujours en avant les failles du projet, les matériaux défaillants, les dépenses publiques excessives… Nous restons alors perplexes face à tant de scepticisme. Seules les fameuses théories du complot sur la véracité de la mission ne sont jamais remises en question. Pour Chazelle, Armstrong a vraiment marché sur la Lune. Enfin, s’il n’est absolument pas annoncé comme un film de science-fiction, la thématique nous incite à vouloir apercevoir davantage de scènes dans l’espace. En bref, « First Man » est un film trop long et pas assez grand public.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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