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    First Man - le premier homme sur la Lune
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    Bruno P
    Bruno P

    54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2018
    Grand film ... un peu inégal quelques longueurs mais grand film. C’est un peu la rencontre de « gravity » et « l’étoffe des héros » mais avec le côté tragique de « interstellar ». Un duo d’acteur exceptionnel un Ryan Gosling et Claire Foy tous les deux bouleversants.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 octobre 2018
    film d'une belle qualité avec cependant des scènes trop longues... sans relief et des dialogues lunaires...
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2018
    Après deux films axés sur la musique, quoi de plus surprenant que de voir Damien Chazelle aux commandes d’un biopic spatial aussi ambitieux que casse gueule ? Pour sûr, on ne l’attendait vraiment pas là et le faux pas dans sa chorégraphie est envisageable !
    La prise de risque est élevée, c’est peut-être pourquoi le réalisateur assure ses arrières avec son acteur fétiche et son équipe technique habituelle et même son compositeur de prédilection (qui nous livre une fois de plus une superbe bande originale).
    Dès les premières images, nous sommes rassurés car immédiatement captivés par une mise en scène très personnelle, audacieuse et qui ne conviendra pas à tout le monde. Filmé au gros grain comme à l’époque, de façon presque documentaire, majoritairement à la caméra à l’épaule, le film se vit (ou se subit, c’est selon) comme une expérience sensorielle. Attention : ça va secouer ! Et particulièrement durant les scènes de décollages et de vols ou les mouvements de caméras saccadés servent à rendre ce que les pilotes subissaient et comme eux, nous prenons des G ! La Nasa a ouvert ses portes à l’équipe du film et les a conseillés pour toute les parties techniques, le moindre interrupteur est reproduit fidèlement, la crédibilité est totalement bien rendue.
    La tension est toujours mise en avant dans ces fusées aux instruments analogiques et aux parois peu épaisses… C’est qu’il en fallait du courage et/ou de l’inconscience pour oser piloter de tels engins qui paraissent déjà si archaïques et tellement dangereux.
    La peur, la sueur ainsi que la quête du surpassement sont aussi bien rendus que dans ma référence du genre ; l’excellent « l'étoffe des héros ».
    Autre avertissement, si l’on est très tendu durant les scènes de pilotages et dans l’espace, l’ambiance n’est guère meilleure sur terre.
    Loin d’un portrait idéalisé, le scénario tiré du livre et validé par son auteur, James R. Hansen, nous livre l’intimité du personnage. Les enfants et les derniers proches de Neil ont eu aussi garanti l’exactitude du biopic. C’est certainement pour cela que les sacrifices familiaux consentis ou supportés, la douleur du deuil et ce qu’il peut générer, mais aussi le repli sur soi sont si bien rendus.
    Fidèle à lui-même, Ryan Gosling joue tout en retenue et le casting est excellent, la reconstitution d’époque ne souffre d’aucun reproche et en bonus musical (après tout c’est bien du Damien) un bon vieux Gil Scott-Heron et son « Whitey on the moon » fort à propos.
    Passé les secousses, Linus Sandgren nous livre de sublimes images très personnelles de l’exploration spatiale avec quelques rares moments de contemplations bienvenus et poétiques.
    Il y a du Clint Eastwood dans ce film avec notamment des images filmées en lumière naturelle (en tout cas qui donnent cette impression), un sens épique tout en se focalisant sur le personnage principal et ce qui le motive à accomplir des actes héroïques.
    Le film est basé sur une contradiction : se focaliser sur l’intime d’une personne pourtant mondialement connue et qui a passionné les foules au point d’être, à l’époque, l’évènement le plus suivi à la télévision et la radio. Un brin à l’étroits dans les cockpits, l’image fait la part belle au plan très serrés sur Ryan, comme pour mieux nous faire ressentir un enfermement, et pourtant, le film est assez distant de son personnage au point qu’il n’est jamais larmoyant (c’est une bonne chose) mais ne nous laisse, pour autant, pas une grande place pour nous attacher à la douleur légitime de cette famille. Si proche et pourtant si distant… c’est un peu décontenançant.
    Autre point dans le registre des reproches, certaines scènes sont à la limite de la longueur.
    Pour autant, Damien n’a pas perdu de son Jazz et de son sens de la partition et nous livre un film original, prenant et au final réjouissant !
    Barry.L
    Barry.L

    31 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2018
    Film d’ouverture à la Mostra de Venise 2018, ‘’First Man : le premier homme sur la lune’’ avait tout du film événement. Marquant le retour du désormais très tendance Damien Chazelle (réalisateur de l’excellent ‘’Whiplash’’ en 2014 et du gros succès ‘’La La Land’’ en 2016), avec pour star l’encore plus tendance Ryan Gosling, ‘’First Man’’ nous gratifie par ailleurs d’un sujet intriguant : la vie de Neil Armstrong dans les années 60. Une décennie clé dans la vie du plus célèbre astronaute de l’histoire puisque Karen Armstrong, sa fille meurt en 1962 et qu’en 1969, Neil est le premier homme à marcher sur la lune. Tout semblait bien partie pour que ce film prenne une dimension hors du commun, à l’image de son sujet. Mais il est temps de redescendre sur terre : ‘’First Man’’ n’est rien de plus qu’un honnête biopic académique, ce qui rend l’emballement critique et public pour le film très étrange.

    Le cinéma classique, quand il est manié par des cinéaste talentieux peut offrir des choses magnifiques : quand par exemple Clint Eastwood ou Steven Spielberg s’attelle à un sujet, on a souvent une impression de nouveauté. Car l’étiquette de ‘’classique’’ n’empêche pas l’innovation (au contraire, le réalisateur se sert des codes déjà existant pour mieux les dépasser). Mais le cinéma classique a aussi un travers très commun : c’est l’académisme. Cette impression d’être devant un film réalisé par un bon élève, soucieux de bien faire les choses (et de les faire proprement) guette ce genre de cinéma. Car cette volonté de bien faire va souvent de pair avec une absence de prise de risque et un recours immédiat et facile à ce qu’on appelle les clichés. Et bien, ‘’First Man’’ est précisément l’incarnation du biopic académique comme les Américains (pas seulement eux d’ailleurs) en font depuis l’invention du cinéma. Le scénario est en grande partie responsable de cet académisme. Ce qui d’abord fige et glace le film, c’est l’absolue fidélité à la réalité. A part deux ou trois entorses aux faits réels, Damien Chazelle reconstitue avec minutie (c’est pourquoi c’est un bon élève historien) les événements de la vie d’Armstrong et de la conquête spatiale. On a les dates, les personnages, les situation etc. Du coup, cela fait de ‘’First Man’’ un film guère surprenant. Un film d’autant plus peu surprenant que pour aborder ce morceau d’histoire, Chazelle a coché toutes les cases propre au film biographique. Il y a en gros dans le film deux types de scènes : les missions d’Armstrong dans l’espace et sa vie conjugale et sa relation avec son entourage. Mais Dieu que tout cela est vu et revu ! Du côté des séquences spatiales, Chazelle a recours à des effets de mise en scène trop systématiques et répétitifs. Le réalisateur a en tout et pour tout trois valeurs de plan : plan resserré sur le visage de Ryan Gosling, plan resserré sur le tableau de bord et plan resserré sur une partie extérieure du vaisseau. Le tout est bien entendu ultra-tremblotant. On comprend ce que Chazelle a voulu faire avec ces scènes : le film étant collé à Armstrong, ces scènes spatiales se devaient d’être à l’échelle du personnage, d’où l’absence de plan large spectaculaire. Mais cela a une conséquence : restreindre considérablement l’expérience vécue par le spectateur. Damien Chazelle agrandit légèrement le champs de la caméra à la fin du film, quand on arrive sur la lune, mais sinon, on ne peut pas dire qu’on soit devant une vision de l’espace très planante. Et c’est en plus lassant, la caméra étant atteinte du syndrome de Parkinson. Concernant les scènes terrestres, là encore, tout semble déjà avoir été rabâché. L’enjeu principal du film, c’est-à-dire les problèmes familiaux d’un homme entièrement dévoué à sa mission a déjà été ressassé des centaines de fois. C’est d’ailleurs l’un des ressorts les plus utilisé dans ce genre cinématographique qu’est le biopic. Si par exemple on revient à Clint Eastwood, son plus célèbre biopic, ‘’American Sniper’’ (2015) utilisait la même dramaturgie. Le personnage était tiraillé entre sa ‘’glorieuse’’ mission et son incapacité à communiquer avec sa famille. C’est un exemple parmi tant d’autres. A côté de cela, ‘’First Man’’ est constitué aussi de deux autres éléments. Il y a comme premier élément une critique archi-rebattue d’une Amérique, prête-à-tout pour dépasser l’Union Soviétique dans ce qu’on a appelé la course à l’espace. Prêt à tout, quitte à y laisser passer des hommes. En même temps, Chazelle reste extrêmement prudent car il ne va pas à fond dans la critique et à part la scène de ‘’l’homme blanc va sur la lune’’, la satire reste très superficielle. Elle l’est encore plus quand finalement tout le monde trouve formidable qu’un homme ait pu poser le pied sur la lune. Enfin, il y a dans le film un portrait d’Armstrong. Une nouvelle fois, pas de réelle prise de risque. Déjà au niveau du casting. L’homme semblait taciturne, dans une sorte de deuil perpétuel après la mort de sa fille ? Et bien on va prendre Ryan Gosling, spécialiste dès qu’il s’agit d’arborer un visage impassible, quoique marqué par une tristesse spectrale. La tristesse de l’homme semble expliquer le caractère trompe-la-mort de Neil Armstrong. Cela revient plusieurs fois dans le film : le protagoniste ne semble pas craindre la mort, qui pourtant le guette à tout moment. Et si on a déjà vu cela (des hommes qui dans leur métier risque à tout moment de frôler la mort et qui doivent faire face aux inquiétudes de leur famille ? C’est ‘’Rush’’ de Ron Howard, sorti en 2013), l’idée d’un homme qui en définitif ne craint plus la mort parce qu’il l’a déjà rencontré tant de fois est vraiment belle. Et magnifique quand on comprend que cette lune est pour Armstrong le moyen de faire son deuil en offrant l’un des plus beaux tombeaux qui soit à sa fille : un immense cratère sur la surface de la lune. spoiler: En effet, une scène superbe (car c’est la seule que Chazelle a inventé de toute pièce) montre Armstrong jeter le collier de sa fille défunte au fond d’un critère. Comme si Armstrong abandonnait définitivement ses fantômes, ces derniers ayant rejoint enfin le ciel (ou en l’occurrence, la lune).
    Ainsi, le retour sur terre est pour Armstrong un retour à la vie. Et le fait qu’Armstrong ne soit jamais retourné dans l’espace après cela peut être vu comme un signe : un signe de retour à la vie pour cet homme qui (du moins dans le film) n’avait jamais cessé de fréquenter la mort. C’est cet aspect mortifère qui sauve en partie le film. Mais cet aspect est aussi beaucoup trop disséminé dans ce long film (2h 21).

    Pourquoi aller sur la lune ? Plusieurs réponses peuvent être données. Celle trouvée par les scénaristes, peu crédible a toutefois le mérite d’être formidablement émouvante. Armstrong face au fantôme de sa fille se devait de lui trouver une sépulture digne de ce nom. C’est chose faite : le film nous laisse penser que symboliquement, la petite Karen repose en paix sur la lune. Et que Armstrong a pu terminer sa vie libérée du deuil causé par la mort de sa fille. Seulement… et bien seulement, ceci n’est qu’un seul aspect du film. Et tout le reste est superficiel, cliché et bancal. Comment peut-on faire un film pareil quand on sait qu’une œuvre aussi gigantesque (et pour le coup, constamment surprenante) que ‘’L’étoffe des héros’’ (Philip Kaufman, 1983) existe ? Honnêtement, à part le dernier segment du film, qui pour le coup est très fort en émotion, il n’y a pas de quoi crier au chef-d’oeuvre. Ni même au bon film.
    Arno M.
    Arno M.

    10 abonnés 295 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Le biopic sur Neil Amstrong, le premier homme sur la lune n’est pas mauvais en soit, mais mal construit.

    Je ne ferai donc pas parti de la majorité des critiques qui ont encensé ce film.
    Beaucoup trop de longueurs dans la première partie (la préparation de la mission) finissent par éclipsé la mission Apollo 11 en elle-même, qui ne dure qu’une petite demi-heure sur les 2H20 du film.
    Dommage...
    llafaye
    llafaye

    6 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    Quel va être le prochain film de Damien Chazelle? Après la comédie musicale, voici le biopic dans l'espace. On découvre une histoire que l'on croyait connaître, subtilement abordée sous l'angle de l'humain (Neil Armstrong vient de perdre sa fille d'une tumeur au cerveau) tout en montrant par petites touches, les enjeux incroyables d'un voyage sur la lune. Aventure qui constitue le deuil inconsolable d'un astronaute exceptionnel, interprété par un Ryan Gosling inspiré.
    Philippe F.
    Philippe F.

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    spoiler: un petit pas pour le homme,mais un pas de géant pour le humanité
    ...... Bravo Ryan gosling jouant Amstrong et surtout au mission d avant ; Apollo 11 fut la consécration ;
    la musique bien presente donne une dimension mystique , profond intemporel ;
    les décords sembles trés réel et on ressent tres bien l experience et le travail de ces astronautes .
    un grang film bien réalisé sur cette époque . bravo Damian Chazelle
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 octobre 2018
    J'attendais beaucoup ce nouveau film de Damien Chazelle après l'excellent Whiplash et le non moins intéressant La La Land (moi qui n'ait pourtant aucune affinité avec le genre de la comédie musicale). Que dire sinon que j'ai été parfaitement comblé ? En fait, mes attentes ont été davantage que comblées : elles ont été déjouées par la proposition du film et largement dépassées. Le thème de l'espace invitant au vertige de l'immensité du vide et aux plans faisant la part belle à cette sensation d'être minuscule face au gigantisme de l'univers, j'imaginais me retrouver face à ce genre d'imagerie. Eh bien non (malgré la présence d'images somptueuses, mais pas forcément du genre attendu). Plutôt que de mettre en avant "l'effrayant silence de ces espaces infinis", Chazelle opte pour une vision extrêmement humaine et proche des personnages de la conquête spatiale. Il favorise ainsi un sentiment de claustrophobie exacerbé, ce qui peut paraître paradoxal au vu du sujet... ceci étant, non seulement cela fonctionne parfaitement mais c'est en plus terriblement pertinent.

    Car cette odyssée telle que racontée ici est avant tout celle d'un homme : Neil Armstrong (et plus généralement des astronautes et ingénieurs de la NASA, mais le film s'attarde tout particulièrement sur le "premier homme" comme le titre l'indique). Le professionnel et l'intime sont extrêmement liés pour ce personnage entré dans l'Histoire. Et c'est sur l'intime que j'ai été particulièrement bouleversé : si l'issue globale du film est évidemment connue d'avance, la vie privée d'Armstrong est nettement moins notoire pour le grand public. Sans rien dévoiler, je me contenterai de dire que la complexité de l'homme, de par son caractère et les épreuves qu'il a traversées, le rend absolument fascinant et qu'elle est ici abordée de façon plutôt sobre, toute en retenue, en évitant l’écueil de la facilité larmoyante racoleuse (quand bien même l'émotion est bel et bien présente).

    A côté de ça, toute la partie technique, les progrès, les échecs, les diverses missions sont donc bien sûr traités comme il se doit, et ce avec brio. La mise scène, diablement efficace, nous place directement aux côtés des astronautes, à l'aide de plans resserrés et d'une caméra épaule quasi documentaire rendant l'immersion totale ! Dans les cockpits, le travail sonore effectué est monstrueux : les craquements de la taule, les alarmes, la sensation que la capsule peut céder à tout moment... les scènes de "mission" sont absolument saisissantes !

    Toujours sur l'aspect sonore, la musique composée par Justin Hurwitz est magnifique. A l'image du film, le plus souvent en retenue, le thème principal, élégant et tout en finesse, dégage une mélancolie latente pendant presque tout le film et reste en tête après le visionnage. Mais d'autres passages, plus amples, subliment les images qui s'offrent à nous. Une pépite !

    Un mot sur le casting : parfait. Gosling ne plaît peut-être pas à tout le monde mais à mon sens il livre une prestation remarquable, qui colle parfaitement au personnage d'Armstrong. Ce n'est pour moi pas inexpressif, c'est intériorisé : je trouve que l'émotion passe très bien (les regards, la gestuelle) au delà de sa froideur apparente. Claire Foy, dans le rôle de Janet Armstrong, n'est pas en reste et est bien loin de n'être que la "femme du héros qui n'est bonne qu'à avoir peur pour son mari". Les seconds rôles, certes moins mis en avant, sont néanmoins campés par toute une galerie de très bons acteurs : Jason Clarke, Kyle Chandler, Ciarán Hinds, etc.

    Au final, un film passionnant de bout en bout ! Sa lenteur pourra éventuellement en rebuter certains qui s'attendraient à plus "d'action" et de "spectaculaire" mais pour moi le rythme est parfait et je ne me suis pas ennuyé une seule seconde (rythme et rapidité sont deux choses très différentes). Je n'ai pas réellement de reproche à faire : Aldrin et Collins sont peut-être un peu trop en retrait, et la partie proprement lunaire est peut-être un peu courte... mais c'est finalement justifié par les partis pris de réalisation et donc parfaitement cohérent. Et cette fin ! Elle m'a littéralement laissé sans voix. Un gros coup de cœur en somme, bien parti pour figurer parmi mes films préférés de l'année... si ce n'est atteindre la première position, rien de moins !
    Bill Happier
    Bill Happier

    2 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 octobre 2018
    Aller voir les documentaires d'appolo 11 => Infiniment plus riche et palpitant que se lamentable film
    Ils ont même travesti la phrase historique dans la traduction, a croire qu'il n'ont meme pas lu les archives historiques
    Lamentable et ennuyeux, il n’apporte pas grand chose
    Ce film a voulu faire voir le père de famille rendant le film pathétique et ennuyeux
    LEs enfant qui jouent, qui font des dessins, rencontre les voisins pfffffffffffffffffffffffffffff Ridicule a souhait
    Il y avait les rayons cosmique pleins d'aventures non retransmis dans ce film ennuyeux meme pas bien filmé
    Toujours des super gros plans sur les visages, s'est lourd, flou, sacadé
    Ca m'a donné mal au coeur, digne d'un amateurisme
    Laurenzo4528
    Laurenzo4528

    13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2018
    Damien Chazelle nous avait envoûté avec son film " La la Land", aujourd'hui il nous émerveille avec son " First man" . Aucune fausses notes pour cette nouvelle réalisation. Cette histoire de conquête spatiale est déjà passionnante mais ce long métrage transcende l'exploit. Ryan Gosling est parfait en héros tiraillé entre sa vie de famille et sa vie professionnelle, l'une comme l'autre émaillée de drames terribles. J'ai été voir le film en Imax 2D, peu convaincu en entrant mais avec l'impression étrange d'avoir un peu été le témoin direct de cette épopée incroyable en sortant. Merci à vous monsieur Chazelle et vivement votre prochain long métrage.
    Laurentfromnice
    Laurentfromnice

    10 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 octobre 2018
    Quelle déception ! Même si Armstrong était homme fermé et plutôt taciturne, il est présenté à la limite d'un être froid et détaché comme un schizophrène. Le film est d'une longueur sans nom, il y a beaucoup trop de passages inutiles. Je ne comprends pas une telle médiocrité de l'image avec les moyens techniques qu'on a aujourd'hui. Sur les scènes d'espace ou avec des fusées, on ne voit rien, c'est flou, ca tremble et on ne comprend rien, mis à part un altimètre fou qui s'agite dans tous les sens. J'ai soufflé de soulagement au générique de fin. Une chose est certaine : je ne retournerai pas le voir. Franchement, un tel scénario, ca casse le mythe !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    Après "Whiplash" et "La La Land", Damien Chazelle nous en met à nouveau plein la vue avec ce film très réussi. Excellents acteurs, au service d'une histoire émouvante. Super !
    Clint B
    Clint B

    54 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 octobre 2018
    Mouais...aimant les biopics, de plus avec Ryan Gosling, le film m'intéressait. Mais une réalisation assez classique, un Gosling sans génie, des tonnes de scènes vues et revues ailleurs...bref ça se laisse regarder, mais vous attendez pas a prendre une tarte cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    L'histoire est relativement connue, la fin est connue et certaine...et pourtant ce film m'a tenu en haleine pendant plus de 2h00. Et quelle charge émotionnelle qui rappelle que derrière cet exploit technologique il y a des hommes et leur famille.
    titicaca120
    titicaca120

    390 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2018
    un bon biopic sur le premier homme à avoir posé son pied sur la lune
    le légendaire et à tout jamais le premier Neil Armstrong.
    sa vie familiale avec ses drames et son irrésistible ascension vers les sommets.
    on découvre également tous les sacrifices pour pouvoir atteindre la lune il y a bientôt 50 ans.
    les scènes lunaires sont magnifiques , pour moi manque un brin d'émotion quand même
    pour ces moments fabuleux.
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