Globalement c'est un très bon film sur la conquête spatiale et la vie de Neil Armstrong. L'accent est mis sur le vécu et la technique de réalisation cherche une expérience immersive. Nous suivons donc les astronautes et expérimentons les mêmes attentes, les mêmes bruits, les mouvements violents des engins. C'est aussi la faiblesse du film qui reste caméra au poing et en gros plan quasi perpétuel même quand cela n'a aucun intérêt. Il aurait été souhaitable d'avoir davantage de champ dans les scènes de la vie quotidienne. Ryan Gosling est toujours aussi excellent et garde sa tendance naturelle au flegme qui était aussi un trait de caractère nécessaire pour jouer Neil Armstrong.
Une très emouvàte histoire dans l’histoire, un d’impression de revivre les 60’s mais une petit déception que ce soit pas aussi bluffant que je le l’étais imaginé. Ce n’est pas un blockbuster et c’est à la fois pour ça qu’on est un peu déçu mais en memem temps ému. Les personnages avant les effets spéciaux meme si c pas mal fait mais.
Je m'ennuie tellement que j'écris la critique avant la fin du film , ne sachant même pas si je vais la regarder, il faudrait une prouesse du réalisateur dans les 45 minutes qui suivent pour que je change d'avis, mais comme je suis curieux je vais écouter le film du coin de l'œil et le regarder d'une oreille distraite en faisant autre chose ….. Ben finalement le reste du film a juste enfoncé le clou.
Bof bof. Apollo 13 bien meilleur. Ici beaucoup de longueurs autour de sa femme et ses gamins sans vraiment d'intérêt. Les images sont très saccadees, un peu floues. Et sur la lune on dirait un décor de cinéma, franchement décevant. Le seul intérêt est de mieux comprendre Neil Armstrong, sa volonté, son courage. Buzz Aldrin pas mal critiqué. Décevant
Pas super super. Le film manque de rythme. Certaines scènes sont longues et inutiles. Dommage car il aurait été sympa de connaitre sa vie après son retour.
2 étoiles car je suis un fan de filmes sur la conquête de l’espace... mais je n’ai pas aimé ce film ; je dirais que ce film est à l’image de Neil Armstrong dépeint par le réalisateur : lugubre et au final ennuyant. Neil Armstrong était il réellement comme ça? Quelle déception !
Pour raconter une histoire que tout le monde connaît, Damien Chazelle s’est attaché aux êtres humains plus qu’à l’histoire. Même si elle est parfaitement présente et que les scènes dans l’espace sont hyper réalistes, c’est l’epopee personnelle que nous suivons. Ryan Gosling est parfait en Neil Armstrong plus torturé que ne le veut la légende. A voir absolument.
Attention, ce film n'est pas un film sur la "conquête" de la lune, si c'est ce à quoi vous vous attendez vous serez forcément déçu. C'est un film sur le deuil et comment surmonter la perte d'un être cher. C'est l'antipode d'Apollo 13. On voit bien que la conquête de la lune passe au second plan. Tout l'intérêt du film réside là, c'est ce qui en fait son originalité.
Ce film crépusculaire nous change un peu des hagiographies de la conquête spatiale, pour nous montrer le bricolage besogneux et morne qu'il a été. Armstrong/Gosling est parfaitement détestable. Mais ce caractère cadavérique et autistique ne fait pas film une seconde. First Man est un long tunnel d'ennui que ni la caméra à l'épaule, ni les scènes de vol très secouées suffisent à agiter !
Film très solide dans l'ensemble. Le casting est vraiment excellent, rien à redire en particulier sur le sujet. L'histoire est forcément un moment important par rapport à l'humanité. Seul regret dans ce film véritablement, la durée. Le film semble assez long et mou par moment.
Un superbe film sur la conquête spatiale vu par les Américains ! Sur fond de biographie de Neil Armstrong, le film se concentre sur plusieurs aspects qui rendent le films franchement intéressant. La prestation de Ryan Gosling est une fois de plus magnifique ! Un très bon film à voir.
Les 10 premières minutes du film, admirables, sous-tendent tout le propos du film. Dans un déchaînement effrayant de bruits de tôles froissées, Neil Armstrong frôle la mort pour mieux la rencontrer, plus douloureuse, plus abjecte, quelques instants plus tard quand il perd sa fille d'un cancer. Il ne sera à partir de là qu'un mort-vivant qui n'a plus rien à perdre et qui part à la recherche d'un ailleurs puisque sa vie sur terre n'a plus d'intérêt. Damien Chazelle a d'ailleurs l'idée sublime de demander à Ryan Gosling de minimiser son jeu au maximum laissant à Claire Foy, magnifique, le rôle d'insuffler la vie dans son film. Dès lors, on assiste à un chemin de croix aussi douloureux que celui de "Whiplash", semés d'engins spatiaux plus déglingués les uns que les autres, engins de mort hurlants (superbe travail de Nathan Crowley sur les décors et de Lee Gilmore sur le son) faisant du film une vraie expérience sensorielle. Mais Chazelle finit par être rattrapé par le défaut de ses deux précédents films : adoucir leur dureté par des touches d'émotion qui frôlent le lénifiant et l'abus d'une musique emphatique, là où le silence qui précédait avait tellement plus de force. Il va un jour falloir qu'il assume mieux son pessimisme car il aura tout à y gagner.
Un film qui parle de conquête spatiale, du premier homme qui a marché sur la lune, et qui arrive à être d'une lenteur incroyable. Je m'attendais à voir un film mené à tambours battants, et je me retrouve devant un film où on s'ennuie. Je sais que Armstrong n'était pas un joyeux personnage, mais là, Chazelle a exagéré. Bon film qui transpire la tristesse alors que ça devrait être l'inverse.
A propos d'un homme dont les motivations à explorer l'espace semblent très éloignées des ambitions de conquête qui opposent alors l'URSS et les USA, "First Man" est un grand film d'aventure, autant qu'un grand film intimiste. Chacun connaît probablement les grandes lignes de cette histoire, et pourtant Damien Chazelle captive , comme si l'on ne savait pas l'issue de l'expédition. Son long-métrage est remarquable dans sa capacité à nous enfermer littéralement dans les vaisseaux spatiaux en compagnie des astronautes. Mais il est aussi extrêmement touchant dans sa représentation de l'intimité de la famille Armstrong, spoiler: affrontant le deuil d'une petite fille puis la crainte de la perte du père et mari.
Il faut également souligner la justesse des acteurs, le travail particulier sur le son, ainsi que la beauté singulière de la musique de Justin Hurwitz. Le tout est une fresque émouvante, qui met en valeur toute l'humanité de son héroïque personnage principal.