Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Chronic'art.com
par Elyzabeth François
Si le film de Patrice Toye nous émeut jusqu'aux larmes, c'est parce qu'il constitue, en somme, un hommage poignant à un âge, les treize ans de Rosie, comme Truffaut rendait hommage dans Les 400 coups aux dix ans d'Antoine Doisnel.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
Entre féerie onirique et réalisme cru, Rosie est une œuvre tout en contrastes. La réalité brutale d'une misérable vie tamponne avec virulence l'imagination enfantine.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
En filmant sur le même plan ce que vit Rosie et ce qu'elle rêve (...), Patrice Toye mise à raison sur l'intelligence du spectateur, sur sa capacité d'attention et de compréhension.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
L'un des atouts de Rosie, atout brillamment joué par la jeune réalisatrice flamande Patrice Toye, tient dans la manière de rendre légitime ce qu'elle pense, rêve, fantasme ou cauchemarde, autant que la réalité, ou prétendue telle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Marie-Elizabeth Rouchy
(...) ce premier long métrage de fiction réussit le tour de force de nous rendre l'ame des banlieues flamandes tout en brossant le portrait unique d'une petite fille très triste.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Gérard Lefort
(...) Rosie est tout autant un film hors la loi qu'un film hors le cinéma. De fait, son réalisme documentaire en direct de mouise-land (...), ne tiendrait pas longtemps s'il n'était constamment sous-titré par ce parti pris fantasque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Libiot
(...) dès que la réalisatrice (...) s'attarde sur Rosie et Jimi, le film gagne en âpreté, notamment pendant la longue balade des deux gamins et de leur bébé volé. Il y a là quelques scènes d'un réalisme cru passablement remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par David Vasse
Rosie est un film sur l'obstination à racheter la fausseté de l'espace réel (...) par la sincérité candide de l'espace mental (...).
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Patrice Toye affiche trop fort son sujet et trop vite ses intentions : (...) sa mise en scène alourdit et délaie le matériau scénaristique (...) au lieu de le transcender et de l'aiguiser, s'en remet (...) à un "loachisme" approximatif et peu passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Pierre Jeancolas
Les personnages de Rosie existent plus dans la tête de la cinéaste-scénariste que dans la vie réelle. Il y a quelque chose d'algébrique dans leurs relations/affrontements sur fond de rues vides, de friches industrielles inscrites dans l'espace (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Marine Landrot
Visiblement proche de son héroïne, la réalisatrice, Patrice Toye, semble s'être laissé gagner par l'instabilité adolescente qu'elle cherche à dépeindre: son premier film oscille avec plus ou moins de bonheur entre le conformisme et l'audace...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Si le film de Patrice Toye nous émeut jusqu'aux larmes, c'est parce qu'il constitue, en somme, un hommage poignant à un âge, les treize ans de Rosie, comme Truffaut rendait hommage dans Les 400 coups aux dix ans d'Antoine Doisnel.
Cinopsis.com
Entre féerie onirique et réalisme cru, Rosie est une œuvre tout en contrastes. La réalité brutale d'une misérable vie tamponne avec virulence l'imagination enfantine.
L'Obs
En filmant sur le même plan ce que vit Rosie et ce qu'elle rêve (...), Patrice Toye mise à raison sur l'intelligence du spectateur, sur sa capacité d'attention et de compréhension.
Le Monde
L'un des atouts de Rosie, atout brillamment joué par la jeune réalisatrice flamande Patrice Toye, tient dans la manière de rendre légitime ce qu'elle pense, rêve, fantasme ou cauchemarde, autant que la réalité, ou prétendue telle.
Les Echos
(...) ce premier long métrage de fiction réussit le tour de force de nous rendre l'ame des banlieues flamandes tout en brossant le portrait unique d'une petite fille très triste.
Libération
(...) Rosie est tout autant un film hors la loi qu'un film hors le cinéma. De fait, son réalisme documentaire en direct de mouise-land (...), ne tiendrait pas longtemps s'il n'était constamment sous-titré par ce parti pris fantasque.
Première
(...) dès que la réalisatrice (...) s'attarde sur Rosie et Jimi, le film gagne en âpreté, notamment pendant la longue balade des deux gamins et de leur bébé volé. Il y a là quelques scènes d'un réalisme cru passablement remarquable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Rosie est un film sur l'obstination à racheter la fausseté de l'espace réel (...) par la sincérité candide de l'espace mental (...).
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
Patrice Toye affiche trop fort son sujet et trop vite ses intentions : (...) sa mise en scène alourdit et délaie le matériau scénaristique (...) au lieu de le transcender et de l'aiguiser, s'en remet (...) à un "loachisme" approximatif et peu passionnant.
Positif
Les personnages de Rosie existent plus dans la tête de la cinéaste-scénariste que dans la vie réelle. Il y a quelque chose d'algébrique dans leurs relations/affrontements sur fond de rues vides, de friches industrielles inscrites dans l'espace (...)
Télérama
Visiblement proche de son héroïne, la réalisatrice, Patrice Toye, semble s'être laissé gagner par l'instabilité adolescente qu'elle cherche à dépeindre: son premier film oscille avec plus ou moins de bonheur entre le conformisme et l'audace...