Mon compte
    Bonnie and Clyde
    Note moyenne
    4,0
    6618 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Bonnie and Clyde ?

    201 critiques spectateurs

    5
    47 critiques
    4
    99 critiques
    3
    34 critiques
    2
    16 critiques
    1
    4 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    60 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 décembre 2011
    Un classique. Un classique à regarder au moins une fois par an. Une richesse terrible, dissimulée sous une histoire hyper simple. Deux enfants refusent de grandir, jouent au gendarme et aux voleurs, et braquent des banques. Pendant que j'y pense, ce refus de grandir peut peut-être expliquer la sexualité contrariée de Clyde. Comme si ça ne suffisait pas, ils embarquent tout un clan à bord de leurs voitures (volées), vivent à cent à l'heure, et finissent comme on sait. Ce serait nul si il n’y avait pas la grande dépression en toile de fond, les maisons saisies, la misère alentour, une réflexion sur le rôle des banques,(encore les banques !), sur le rôle des médias(et oui !), sur la quête d’identité, (Clyde n’a apparemment aucune ambition, mais Bonnie veut devenir quelqu’un, et c’est le seul moyen qu’elle a trouvée). Le gang devient une famille de substitution recomposée. Le gag du casse raté parce que la banque ayant fait faillite une semaine plus tôt, il n’y a plus d’argent est hilarant. Warren Beaty et Faye Dunaway forment un couple magnifique à l’écran, mais j’ai une faiblesse pour Bonnie, j’aime bien les gens qui ont de l’ambition. Le décor est vivant, il habille et habite les personnages, il est toujours ouvert, toujours extérieur, la voiture, la route, la dune de sable, la fenêtre brisée. Les membres du gang n’ont jamais de réelle intimité, la fuite est perpétuelle sans autre but que le prochain braquage. Même le cinéma où Bonnie profite d’un moment de paix en regardant une comédie musicale, est prétexte à une dispute entre Clyde et Moss. Un style d’enfer, et une scène finale brutale, au montage surprennant, innovant qui en a inspiré plus d’un. Un petit chef-d’œuvre, un classique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 septembre 2009
    très difficile de porté une critique sur ce film c'est du grand cinema aucun doute la dessus en plus faire revivre un couple aussi mythique sue bonnie & clyde c'est grandiose surtout si c'est bien fai et c'est le cas.
    si j'ai mit 3 étoiles c'est plus parceke le style cinematographique des années 60 personnelement j'ai du mal que pour le manque de richesse du film.
    petit points negatif quand meme la femme de gene hackman dans le film on a envie de la baffé du debut a la fin toujours en train de piaillé de hurler ca en devient très vite fatiguant.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2013
    Une référence dans le polar old school avec son intrigue emballante, ses fusillades et ses courses-poursuites finement chorégraphiées. Malheureusement, le jeu des acteurs est inégal : Faye Dunaway se montre plutôt douée, fidèle à sa classe et sa réputation. Warren Beatty est, je trouve, d'un niais insupportable, juste bon à sourire bêtement et à piquer des colères devant la caméra. Bilan donc mitigé.
    The Claw
    The Claw

    65 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2012
    Dès le début, Faye Dunaway crève l'écran. Elle est magnifique du début à la fin. L'histoire est très bien aussi et se laisse suivre sans déplaisir. Les acteurs jouent très bien leurs rôles. C'est d'ailleurs marrant de voir Gene Hackman jeune : il ressemble à Dany Boon! Mais 2 défauts principaux gâchent un peu tout ça : tout d'abord, Bonnie & Clyde étaient des braqueurs de banque or, on ne voit aucun braquage de banque (ou vraiment à la va-vite) et ensuite, la bande sonore : quasi inexistante, on aurait aimé une musique qui appuie un peu la tension qui règne dans certaines scènes. De plus, une musique au banjo qui revient régulièrement toute guillerette gâche vraiment tout, déjà parce qu'elle est assez énervante, et encore plus lorsqu'elle se manifeste lors d'une scène "tragique", ce qui donne un véritable décalage entre la musique et la scène en question.
    Au final, un bon film quand même.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 mai 2015
    Un film de légende. Casting en or, Faye Dunaway et Warren Beatty dans le rôle de leur vie, autant dire qu'à eux deux il crèvent l'écran. Et l'excellent Gene Hackman en prime. Le couple est haut en couleurs, très bien rendu et touchant. D'ailleurs le film joue toujours sur l'ambigüité entre les évènements pris "à la légère" (l'utilisation de la musique country rend certaines scènes amusantes) et le côté extrêmement tragique de leur vie (comme l'issue fatale où le désespoir de Bonnie à certains moments). Le scénario est bien construit et raconte leur Histoire; de leur rencontre à leur fin. A ne pas manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 mai 2011
    L'histoire du couple-truand le plus connu des États-Unis. Histoire très romancé pour un film grandiose. Warren Beaty et Faye Dunaway crèvent l'écran. La fin est glaciale et nous scotche à notre siège. Quelques regrets tout de même sur le montage trop haché et qui nous fait perdre la notion du temps qui passe d'une scène à l'autre. Malgré tout on s'y retrouve, mais c'est un gros point noir qui gâche un ( tout ) petit peu le plaisir qu'on a à regarder ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 juillet 2009
    Un bon film road movie, bons dialogues, scènes cultes (dont la scène finale) Faye Dunaway est sublime.Le film est entré dans l'histoire du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2013
    Un classique du cinéma, une histoire mythique. Des acteurs de très grand standing, un couple de légende. Des scènes d'actions menées tambour battant mais de manière maline.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 mai 2012
    " Bonnie & Clyde " n’est pas seulement annonciateur de styles et de temps futurs, il est aussi bien enraciné dans son présent. Conçu en pleine effervescence "hippie", il rend hommage à cette culture aujourd’hui bien morte : critique de la société de consommation (l’épicier prêt à tuer pour éviter qu’on lui vole un "panier de la ménagère"), du système financier capitaliste (la première banque qu’attaque Clyde est en faillite et n’a plus d’argent), et de la désorganisation sociale qu’il engendre (les pauvres croisés sans cesse par le gang semblent être retournés à une sorte d’âge primitif qui évoque les pires nouvelles de Jack London), apologie du plaisir sexuel et de la jouissance hic et nunc, rejet d’une civilisation puritaine (c’est la fille d’un pasteur qui, une fois blessée aux yeux et donc aveugle, donne le renseignement permettant de monter le piège mortel au Ranger qui est une sorte de surmoi vengeur archaïque puis franchement diabolique) mentalement incohérente (le père de Moss). Hommage que l’on pourra juger tout de même atténué par le fait que les héros qui incarnent l’esprit du temps soient des criminels. Mais en 1967, la jeunesse américaine savait qu’elle pouvait éventuellement mourir au Viêt-Nam peu de temps après avoir fait l’amour pour la première fois : cette angoisse-là est présente dans la thématique originale de l’impuissance et de la révélation de l’amour physique in extremis. Impuissance d’ailleurs pas seulement sexuelle mais encore à se projeter même socialement dans un avenir aussi chargé de possibilité de mort. L’érotisation de l’arme à feu (cf. : séquence d’ouverture) est une sorte de défense gratifiante, dans un tel contexte…
    Le film de Penn constitue enfin une critique du passé de Hollywood lui-même : le cinéma où se réfugient les trois premiers membres du gang, épuisés, apeurés et affamés, projette une comédie musicale de Busby Berkeley des années 30 où l’on montre des enfilades de figurantes danser artistiquement au pied d’une effigie monumentale du dollar - Moss s’intéresse à un magazine car il suppose qu’on doit y parler de la dernière coiffure de Mirna Loy : la marginalité totale et tragique du gang n’est pas atténuée par cette sous-culture qu’elle croise : elle s’en nourrit, semble nous dire Penn. Bien d’autres enfonceront le clou, avec d’ailleurs la même ambiguïté fascinée. Car en niant le romantisme de l’époque et du milieu pour le transférer au couple (quasi adamique même s’il est en rupture de religion) de Bonnie et Clyde, Penn quitte un romantisme qu’il juge artificiel (le Hollywood des années 30 dans son auto-représentation) pour y substituer le sien, celui de son temps. Mais cette démarche qui peut paraître non fondée intellectuellement est portée par l’interprétation jusqu’à son point d’aboutissement le plus charnel.
    C’est la force essentielle du film. Jamais Faye Dunaway ne retrouvera par la suite un rôle semblable (elle est sincère et sophistiquée, au sommet de sa beauté et de sa technique), ni Beatty, supérieur ici à ce qu’il était déjà dans " La fièvre dans le sang ". La direction d’acteurs est extraordinaire d’un bout à l’autre pour le moindre rôle. La moindre scène est ainsi inoubliable et gravée définitivement dans la mémoire de celui qui n’a vu le film ne serait-ce qu’une fois.
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    32 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Le mythe du duo de gangsters américain est né avec ce film, véritable révolution dans le monde du cinéma, rompant avec les traditions hollywoodiennes dans le traitement des plus célèbres figures du crime pour imposer une réalité brute dans toute sa splendeur, son charme, son humour et sa tragédie. Bonnie Parker et Clyde Barrow sont deux êtres humains, on ne peut plus proche des personnes ayant des tendances réfractaires aux conformismes, aussi légères soit-elle, autrement tout humain un tant soit peu attrayant. Les débuts du film s'inclinent sous une approche décomplexée, une fraîcheur et un enthousiasme de jeunesse se lançant à l'aventure. Ces deux personnages nous ressemblent on ne peut mieux, ou du moins rappellent des souvenirs, de vagues désirs, des gens de notre connaissance si l'on a jamais rien fait dans sa vie...ce qui induit un réalisme impliquant toute notre crédibilité subconsciente, à la fois subjective car nous ne demandons qu'à nous régaler de ce conte contemporain et nous y trouvons largement de quoi nous y plonger. Ceci est très important pour renforcer notre sensibilité vis à vis du drame, car si l'on s'amuse beaucoup en compagnie de Bonnie & Clyde, on sait pertinemment que cela ne peut pas durer. Ainsi la scène où Bonnie retrouve sa mère marque une transition vers la seconde partie de l’œuvre, l’ascension vers le non-retour, l'escalade à la violence, le crescendo de la tragédie. Arthur Penn nous livre à des fusillades de plus en plus sanglante, jusqu'à cette formidables séquence dans la forêt où le serpent est acculé, le tout bénéficiant d'un montage effréné, ultra dynamique, d'un impact rarement aussi percutant. C'est magistral en tout point, la charge émotionnelle ne fait que croître à une vitesse folle, l'action est si rythmée que le film est presque insoutenable. La fin brutale de Bonnnie & Clyde, que Gene Hackman alias Buck Barrow désigne comme très courageuse de la part du réalisateur, nous cingle à la gorge sans concession en nous laissant nous agripper à ce qui n'existe plus sans aucun élément susceptible d'apaiser notre douleur, de nous rassurer, de nous permettre d'oublier. Le générique nous écrase sans qu'on puisse souffler un mot. Les dernières vingt minutes de Bonnie & Clyde peuvent sans conteste s'inscrire parmi les moments les plus forts de l'histoire du cinéma, mais en réalité tout le film est un modèle de construction linéaire, d'articulation narrative tenant compte de l'évolution des protagonistes de prime abord. Les acteurs sont grandioses, on ne peut que rester bouche bée face à la performance gigantesque de Fane Dunaway, et tirer son chapeau à l'interprétation de Warren Beatty en Clyde, quant à Gene Hackman c'est un petit morceau de bravoure à lui tout seul durant tout son temps de présence à l'écran, Michel J. Pollard excellent et Estelle Parsons joue tellement bien qu'au final il n'y a plus de personnages secondaires, ils crèvent l'écran afin d'exister dans les proportions de leur immense talent. Les élancées musicales à chaque fuite sont devenues des caractéristiques incontournables du genre, d'ailleurs elle m'ont faite étrangement penser aux notes de guitare de Délivrance de John Boorman. Fondateur de tout un pan de cinéma, rejeté pour connaître un minimum de reconnaissance aux oscars, défiant la censure de l'époque, Bonnie & Clyde a l'acabit d'un chef d’œuvre majeur, une rafale sensationnelle qui dézinguera aussi bien le cœur et les tripes du grand public que celui du cinéphile.
    AV ciné
    AV ciné

    108 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    Un bon film !
    L'histoire est réussie et le couple Bonnie and Clyde est très bon, on est vite emporté dans leurs péripéties.
    Un film donc réussi et devenu culte !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 février 2014
    Avec Bonnie and Clyde, Arthur Penn réalise un de ses chefs d'oeuvre. Faye Dunaway est superbe, tout comme Warren Beatty. Ils représentent bien le couple tumultueux si célèbre, tant par leur beauté que par leur charisme. Ce film biographique est intéressant pour son aspect "reconstitution" et du fait qu'il est filmé un peu comme un western, avec des fusillades très réalistes (le meurtre de Bonnie et Clyde offre un final superbe) et de grands espaces. Bonnie et Clyde passent pour des hors la loi sympathiques, ce qui était peut-être le cas, mais ils ont quand même butté environs vingt personnes. Bref, j'ai trouvé malgré tout ces bons points la réalisation un peu répétitive et sans réelle inventivité. Certes, le film dispose de quelques plans superbes (les courses de voitures et lorsque Clyde rejoint Bonnie dans le champ de maïs), mais l'ensemble est un peu mou. Bonnie and Clyde est donc un bon film, mais il aurait été encore meilleur s'il avait été servit par une réalisation plus dynamique.
    Appeal
    Appeal

    162 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 avril 2012
    C'est vraiment un super film qui n'a pas vieillit, Bonnie & Clyde ce couple mythique est passionnant, la mise en scène est dynamique, un très bon rythme, le duo d'acteur très bon. Le film qui lancera le genre des couples explosif, qui sera surtout repris dans le 80/90 (Thelma et Louise, Sailor et Lula, Tueurs nés etc..). Très bon film.
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    63 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 novembre 2014
    La folle histoire d'un gangster et de sa petite amie avec des acteurs impeccables et un rythme maîtrisé! Le film suit très bien l'histoire originelle et on ne s'ennuie jamais!
    stans007
    stans007

    25 abonnés 1 324 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 mars 2021
    Quel rythme ! Grâce à un scénario inventif et intelligent tiré d’une histoire vraie passablement romancée, une mise en scène remarquable et une musique endiablée, on ne s’ennuie pas une minute.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top