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Remake inutile, loin de valoir l'original, scénario sans fond, bourré de clichée et d'incoérrance....(sexe,drogue,alcool) Voila se qu'on appel un film d'horreur en 2000.
Audrey L
Quand on termine le "Vendredithon", on est presque heureux que Nispel a fait ce remake raté, empêchant ainsi une nouvelle flopée de navets de voir le jour pour prolonger le plaisir (ironie). Il faut dire que les opus suivants le 5 (pour nous, le moins pire) nous ont infligé quelques beaux moments de solitude, l'apothéose étant un mort-vivant qui pourchasse les jeunes sur un bateau (le 8 : la croisière se meurt), qui se transforme en gros ver pour posséder les gens (le 9 : ils ont fumé), mais aussi qui va dans l'espace (le 10 : le nanar ultime...), alors on serait près d'être conciliant avec ce onzième - et dernier, hallelujah - opus de Marcus Nispel. Il relève à peine la barre après les nanars cités, en nous faisant une introduction avant-titre...de 23 minutes. Sur un film de 1h35. On a trouvé plus lent que nous à raconter une histoire ("Attends, je te fais un topo avant, pour planter le contexte..." et 2h après : "Alors, l'histoire c'est...Oh ben tu dors ?"), c'est fortiche. On est rude, on sait, puisque cette ouverture nous offre quand même une bonne rasade de meurtres qui comblera ceux qui viennent pour ça, et pour ceux qui viennent chercher un scénar, il vous faudra vous contenter de "Ma soeur a disparu, je vais la chercher tout seul au fond des bois obscurs"... Au secours. On rajoute dans l'équation une bande de jeunes très peu futés et pas franchement sympathiques : à part faire du topless pour les filles et jouer les fiers à bras pour les garçons, on n'a pas grand chose à proposer... Pour dire, on ne connaît rien de leur passé, rien qui les caractérise, on s'en moque éperdument, tant qu'ils peuvent se transformer en brochettes hurlantes à la fin, le contrat est rempli pour ce remake. Et si vous tenez jusqu'au bout, vous aurez droit à une fin des plus étranges :
spoiler:
après avoir refait le coup du "souviens-toi, Jason" avec un pendentif (après le vieux pull puis la coupe de cheveux, chaque opus tente son grigri anti-Jason, et c'en est lassant), on attache Jason à un broyeur, mais il y a un cut bizarre, puis on retrouve les jeunes qui jettent le corps de Jason (entier, pas le moins du monde broyé... Pourquoi ont-ils arrêté la machine ???) dans le lac,
et pour avoir soupé de ce twist éternel, on sait ce à quoi on aura droit à la dernière seconde, et bingo. On n'a pas compris comment on atterrit à ce final, si ce n'est qu'on entend presque le scénariste derrière le broyeur dire "Attendez ! Faut pas le broyer ! Si ce remake marche, on va avoir besoin d'un Jason entier !" et le réal dire "Ah oui, zut, bon ben cuuuut... On va faire comme d'habitude alors, tant pis si ça ne colle pas, le twist classique maquillera tout ça." Vraiment, ce remake est toujours moins abominable que les opus 8 à 10, revient à la recette la plus simple du slasher, mais malheureusement trop simple pour convaincre, surtout avec son titre qui déboule à 23 minutes et sa fin qui se fiche éperdument de nous. Et entre : des boobs et des gros bras. Vaste programme. Merci, donc, Nispel, pour la médiocrité de ce remake qui a achevé une saga agonisante. Amen.
et pour avoir soupé de ce twist éternel, on sait ce à quoi on aura droit à la dernière seconde, et bingo. On n'a pas compris comment on atterrit à ce final, si ce n'est qu'on entend presque le scénariste derrière le broyeur dire "Attendez ! Faut pas le broyer ! Si ce remake marche, on va avoir besoin d'un Jason entier !" et le réal dire "Ah oui, zut, bon ben cuuuut... On va faire comme d'habitude alors, tant pis si ça ne colle pas, le twist classique maquillera tout ça." Vraiment, ce remake est toujours moins abominable que les opus 8 à 10, revient à la recette la plus simple du slasher, mais malheureusement trop simple pour convaincre, surtout avec son titre qui déboule à 23 minutes et sa fin qui se fiche éperdument de nous. Et entre : des boobs et des gros bras. Vaste programme. Merci, donc, Nispel, pour la médiocrité de ce remake qui a achevé une saga agonisante. Amen.
Un conseil regarder les anciens vous perdrez moin votre temps et au moin il sont authentique pas comme cette copie de mauvai s goût ,et franchement où est Jason dans tous ça ? C'est plus un tueur en série qu'un mort vivant .
Un manque cruel d'inventivité et d'originalité se fait sentir dans ce remake. Marcus Nispel nous avait habitué à tellement meilleur au niveau des images avec Pathfinder et l'excellent Massacre à la tronconneuse. Les situations sont grotesque. Mis à part la brutalité de Jason tout droit copié du quand à lui très réussi remake d'Halloween de Rob zombie, tout y est pour plair au adolescant prépubère: Sexe, drogue et le minimum syndical de gore. Vraiment décevant !!!
gabdias
Douzième retour de Jason mais va-t-il enfin mourir ? Allez on peut le dire ! Nooon, il est encore là, plus sanglant que jamais, plus taré que jamais mais toujours aussi inutile à la culture mondiale. Un slasher-movie sans originalité mais juste passable.
Vraiment pas terrible. Le film est plus gorre qu'effrayant et ne contient pas d'explication poussée et satisfaisante sur les raisons qui pousse le tueur à massacrer tous ces jeunes. On a bien une vague introduction au début, mais rien de plus. On se retrouve donc simplement à le regarder massacrer des gens un par un sans plus chercher à suivre. A voir si vous aimez le gorre... Sinon passez votre chemin.
Bien pour ceux qui veulent un film bourrin sans émotion ni personnage intéressant. Teenage movie plutôt qu'autre chose.
Rien de transcendant mais ça suffit pour se divertir un soir s'il n'y a rien d'autre à voir.
Un départ explosif où les morts s’enchaînent à une vitesse explosive sans temps mort, voici le seul intérêt de ce nouvel épisode de la saga Jason. Parce qu’on a bien compris que le petit Jason a grandi et a les crocs, mais surtout on le comprend pourquoi il s’en prend à ces pré-adultes sous testostérone, image d’une Amérique branchée et superficielle. Le gros problème du film se résume à son scénario, vu mille fois et à ces protagonistes exaspérants au possible. Ils sont jeunes, ils sont beaux, ils couchent ensemble environ toutes les vingt minutes et on a envie de prendre la hache, de traverser l’écran et de s’occuper nous-mêmes de ces troufions. Et Jason s’en occupe fort bien d’ailleurs. Mais le spectateur ne peut être que lassé devant un tel déjà-vu et si peu d’innovation. Pour un retour aux sources, on était en droit de s’attendre à un coup d’éclat royal. Surtout avec Marcus Nispel, commanditaire du remake de MASSACRE A LA TRONCONNEUSE. Mais où est passé le suspense, le choc d'images? Dommage.
Grand fan de la saga(Jason Voorhees est mon Boogeyman favori avec Chucky),ce Vendredi 13 nouvelle génération fait partie du lot de remakes de films d'horreur des années 70/80 produits par l'opportuniste Michael Bay (après ceux de Massacre à la tronçonneuse en 2004, Amityville en 2005 et avant celui des Griffes de la nuit). Le réalisateur, Marcus Nispel, avait déjà donné le remake de Massacre à la tronçonneuse, et, s'il en avait oublié la folie initiale, avait su à la place gagner en efficacité. Malheureusement, pour ce Vendredi 13, avec un scénario très basique (mais c'est hélas la marque de fabrique de la saga), il n'arrive pas à dynamiser l'histoire avec une mise en scène presque conventionnelle, et pas un moment on se sent investi par un suspense ou une angoisse quelconque. On en est réduit à décompter les victimes, qui, comble de malchance, semblent toujours s'enfuir vers la lame du tueur d'un Jason 100% bourrin par rapport au débile des originaux. Les acteurs sont très peu convaincants, voire inexpressifs pour certains. Bref revoyez les classiques qui sont devenues kitsch avec le temps que ce film qui laissera pas un énorme souvenir!
Que ce soit le scénario ou encore le jeu d'acteur et la réalisation rien ne va dans ce navet.
Un remake aux allures de parodie mais qui n'en est pas une , des décors et effets spéciaux encore plus dérangeants que si ils n'y étaient pas , des acteurs éco + , des personnages obsédés par les plaisirs charnels avec plus de scènes de sexe que de scènes de suspens ou bien de peur...à croire que le réalisateur a préféré miser sur les poitrines de ses actrices plutôt que sur son scénario qui n'a aucun sens et aucun intérêt .
En un mot : Pitoyable
Un remake aux allures de parodie mais qui n'en est pas une , des décors et effets spéciaux encore plus dérangeants que si ils n'y étaient pas , des acteurs éco + , des personnages obsédés par les plaisirs charnels avec plus de scènes de sexe que de scènes de suspens ou bien de peur...à croire que le réalisateur a préféré miser sur les poitrines de ses actrices plutôt que sur son scénario qui n'a aucun sens et aucun intérêt .
En un mot : Pitoyable
J’ai trouvé ce film d’horreur mauvais. De base, je ne connais pas trop le personnage de Jason Voorhees. J’avais juste vu avec lui FREDDY CONTRE JASON (2003). C’est une entrée en matière ratée alors pour moi-même si je dois reconnaitre que le personnage en lui-même est réussi. Malheureusement, on ne le voie pas beaucoup. Je n’ai pas compris la mise en scène qui découpe le film en deux. Il y aura la première vague d’adolescent, et ensuite on va quelque temps après pour en avoir une seconde. Ça crée une coupure et c’est trop. Cette déconnexion nous sort du rythme et faire repartir sur un nouveau cycle, donc un ralentissement fatal. De plus, dans les films d’horreur j’aime bien m’attacher un peu aux protagonistes avant de les voir mourir, mais là ça s’enchaine. Le pire c’est que j’ai trouvé la seconde bande largement plus fade que la première. Les acteurs sont très mauvais mais pas assez pour faire rire. C’est dommage. Surtout que les morts sont tout ce qu’il y a de plus banal. Pas d’originalité dans la manière avec laquelle Jason les achève. C’est normalement mon grand plaisir et là je n’ai pas été satisfait. D’autant plus que cette course-poursuite mortelle n’est pas du tout dynamique. On s’ennuie en attendant que les adolescents se transforment en victime, et pendant qu’ils le deviennent.
Après avoir eu mes plus grosses frayeurs cinématographique avec le film de 1980, je pensais renouveler ces intenses émotions en visionnant le remake, même si bien entendu j'ai quelque peu vieilli. Et bien pas du tout, j'ai plus eu l'impression de voir un film comique vu les situations. Malgré un scénario de genre évitant parfois certains clichés, le film n'arrive toujours pas à renouveller intelligemment ce genre. Tant pis.
Un reboot qui ne casse pas des briques. Personnages stéréotypés et crétins, dialogues risibles de bêtise, scénario convenu et déjà vu. Seules quelques scènes valent le détour mais ce film est un ratage certain... Dommage de ne pas avoir su exploiter le potentiel du personnage de Jason pourtant flippant.
Encore un remake d’un film d’horreur archi connu, ici Vendredi 13. Bon je n’ai jamais vu l’original ni les suivants, donc je ne ferai pas de comparaisons, je laisse ce soin aux amateurs du genre et aux aficionados de la franchise. Cependant dans cet énième film d’horreur rien de nouveau et pas d’idée originale, le classicisme amené jusqu’à n’être qu’une collection de clichés. Tout y est : un coin perdu au fin fond de l’Amérique, les autochtones affreux sales et idiots, les jeunes (eux aussi idiots) uniquement préoccupés de sexe, d’alcool et de drogues, le tueur silencieux et difforme, des massacres passés qui hantent la région, etc.. Bref si vous avez déjà vu un film d’horreur vous n’aller pas être dépaysé ! Même les tueries n’ont rien de créatif, sauf peut-être la nana tuée suspendue dans un sac de couchage au-dessus d’un feu de camp. Le pire je crois est le twist final : il est là parce qu’il en faut un, malheureusement ça fait une fin d’une stupidité grandiose. Donc un film à regarder lors d’une soirée où on ne veut pas se prendre la tête, ça je vous assure qu’avec cette histoire vous n’allez pas vous griller un neurone. D’ailleurs en y repensant, on se demande ce que le vendredi 13 vient faire dans cette histoire puisqu’il n’y ait jamais fait référence en aucunes façons dans le film…. !
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