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Votre avis sur Vendredi 13 ?
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Audrey L
Quand on termine le "Vendredithon", on est presque heureux que Nispel a fait ce remake raté, empêchant ainsi une nouvelle flopée de navets de voir le jour pour prolonger le plaisir (ironie). Il faut dire que les opus suivants le 5 (pour nous, le moins pire) nous ont infligé quelques beaux moments de solitude, l'apothéose étant un mort-vivant qui pourchasse les jeunes sur un bateau (le 8 : la croisière se meurt), qui se transforme en gros ver pour posséder les gens (le 9 : ils ont fumé), mais aussi qui va dans l'espace (le 10 : le nanar ultime...), alors on serait près d'être conciliant avec ce onzième - et dernier, hallelujah - opus de Marcus Nispel. Il relève à peine la barre après les nanars cités, en nous faisant une introduction avant-titre...de 23 minutes. Sur un film de 1h35. On a trouvé plus lent que nous à raconter une histoire ("Attends, je te fais un topo avant, pour planter le contexte..." et 2h après : "Alors, l'histoire c'est...Oh ben tu dors ?"), c'est fortiche. On est rude, on sait, puisque cette ouverture nous offre quand même une bonne rasade de meurtres qui comblera ceux qui viennent pour ça, et pour ceux qui viennent chercher un scénar, il vous faudra vous contenter de "Ma soeur a disparu, je vais la chercher tout seul au fond des bois obscurs"... Au secours. On rajoute dans l'équation une bande de jeunes très peu futés et pas franchement sympathiques : à part faire du topless pour les filles et jouer les fiers à bras pour les garçons, on n'a pas grand chose à proposer... Pour dire, on ne connaît rien de leur passé, rien qui les caractérise, on s'en moque éperdument, tant qu'ils peuvent se transformer en brochettes hurlantes à la fin, le contrat est rempli pour ce remake. Et si vous tenez jusqu'au bout, vous aurez droit à une fin des plus étranges :
spoiler:
après avoir refait le coup du "souviens-toi, Jason" avec un pendentif (après le vieux pull puis la coupe de cheveux, chaque opus tente son grigri anti-Jason, et c'en est lassant), on attache Jason à un broyeur, mais il y a un cut bizarre, puis on retrouve les jeunes qui jettent le corps de Jason (entier, pas le moins du monde broyé... Pourquoi ont-ils arrêté la machine ???) dans le lac,
et pour avoir soupé de ce twist éternel, on sait ce à quoi on aura droit à la dernière seconde, et bingo. On n'a pas compris comment on atterrit à ce final, si ce n'est qu'on entend presque le scénariste derrière le broyeur dire "Attendez ! Faut pas le broyer ! Si ce remake marche, on va avoir besoin d'un Jason entier !" et le réal dire "Ah oui, zut, bon ben cuuuut... On va faire comme d'habitude alors, tant pis si ça ne colle pas, le twist classique maquillera tout ça." Vraiment, ce remake est toujours moins abominable que les opus 8 à 10, revient à la recette la plus simple du slasher, mais malheureusement trop simple pour convaincre, surtout avec son titre qui déboule à 23 minutes et sa fin qui se fiche éperdument de nous. Et entre : des boobs et des gros bras. Vaste programme. Merci, donc, Nispel, pour la médiocrité de ce remake qui a achevé une saga agonisante. Amen.
et pour avoir soupé de ce twist éternel, on sait ce à quoi on aura droit à la dernière seconde, et bingo. On n'a pas compris comment on atterrit à ce final, si ce n'est qu'on entend presque le scénariste derrière le broyeur dire "Attendez ! Faut pas le broyer ! Si ce remake marche, on va avoir besoin d'un Jason entier !" et le réal dire "Ah oui, zut, bon ben cuuuut... On va faire comme d'habitude alors, tant pis si ça ne colle pas, le twist classique maquillera tout ça." Vraiment, ce remake est toujours moins abominable que les opus 8 à 10, revient à la recette la plus simple du slasher, mais malheureusement trop simple pour convaincre, surtout avec son titre qui déboule à 23 minutes et sa fin qui se fiche éperdument de nous. Et entre : des boobs et des gros bras. Vaste programme. Merci, donc, Nispel, pour la médiocrité de ce remake qui a achevé une saga agonisante. Amen.
Requiemovies
Nispel, a fait ses armes en tant que clippeur de talent pour divers groupes (rock principalement) avec toutes les qualités et défauts que cela engendre. Lors du passage au long métrage il nous avait donné à voir un premier essai plutôt réussit aussi bien dans la manière que dans le résultat. Principal empreinte de ce nouveau jeune réal. une lumière esthétisante au possible. Tel Tony Scott dans les années 80 sur fond "films pop corn bien foutu", Nispel donne à voir une lumière encrée et marquée par des cadres soignés qui rendent et rendront à ses films une certaine patine. De là à savoir si cet "encrage" est bon ou mal pour le devenir de ce réalisateur...en tout cas son choix esthétique est ce qui pouvait arrivé de mieux aux slahers, si on octroie le droit de pouvoir "remaker" avec qualité ce genre. Jason passe ainsi à la caisse financière Hollywoodienne...sur le papier, aucun intérêt, face au temps...beaucoup plus pour le coup. Le film ressort de Crystal Lake lavé de tous défauts de l'époque (film culte mais réal. baclée, aimé car nostalgie et kitsch font toujours bonnes recettes mais ce n'était plus ça), remis au goût du jour avec intelligence et surtout respect des codes d'antan mais actualisé de façon subtile; le cinéma est, hélas, devenu commercial, il faut donc manier la machette à découper avec l'intérêt de ramener un public et séduire les "anciens". Le pari est plus que réussit. Après un prologue dantesque de surprise dans sa forme (l' Idée du film sans nul doute), on nous met dans l'ambiance ou le "Ok, He's back" est de forme. C'est jouissif au possible, trash mais jamais gore (enlevant toute gratuité vulgaire ou effet facile). Tout est présent dès le casting, le minet grande gueule, le badboy...C'est donc sur un scénario très bien huilé et cadencé plus que rythmé que Nispel nous offre un retour du slasher en toute simplicité mais efficacité de fond et de forme de ce genre souvent boudé. He's back and it's good.
Un reboot de Vendredi 13? Quoi en attendre?
De suite disons le: l'intro pour les fans est excellente! On revient à l'époque du premier avec la décapitation violente de la mère de Jason suivi du Chapitre 2 où un fou masqué d'un drap blanc trucide un groupe de campeur.
Puis malheureusement, le film reprend la vitesse de croisière qu'il avait pris dans la saga: le tueur tue petit à petit tout un groupe de jeunes qui fête un anniversaire dans une maison près de Crystal Lake!
Le scénario ne s'embête pas non plus: on prend des ingrédients de tous les films pour en faire une sorte de best of avec ce frère qui campe et cherche sa soeur, la fête avec des fumeurs de joints, la baise avant de mourir, la grande maison et ses morts partout.... on retrouve même la folle qui habite près du lieu qui se fait tuer également.
La fin se retrouve dans un lieu bien connu des fans, un entrepôt qui ressemble comme deux gouttes à l'étable à portes rouge dans lequel jason est mort pendu....
A vouloir trop faire le mix des films de la saga, le film perd en intensité et l'ennui arrive parfois.
Reste quelques scènes très nerveuse où Jason est filmé cette fois comme un vrai tueur et non comme un pantin...
De suite disons le: l'intro pour les fans est excellente! On revient à l'époque du premier avec la décapitation violente de la mère de Jason suivi du Chapitre 2 où un fou masqué d'un drap blanc trucide un groupe de campeur.
Puis malheureusement, le film reprend la vitesse de croisière qu'il avait pris dans la saga: le tueur tue petit à petit tout un groupe de jeunes qui fête un anniversaire dans une maison près de Crystal Lake!
Le scénario ne s'embête pas non plus: on prend des ingrédients de tous les films pour en faire une sorte de best of avec ce frère qui campe et cherche sa soeur, la fête avec des fumeurs de joints, la baise avant de mourir, la grande maison et ses morts partout.... on retrouve même la folle qui habite près du lieu qui se fait tuer également.
La fin se retrouve dans un lieu bien connu des fans, un entrepôt qui ressemble comme deux gouttes à l'étable à portes rouge dans lequel jason est mort pendu....
A vouloir trop faire le mix des films de la saga, le film perd en intensité et l'ennui arrive parfois.
Reste quelques scènes très nerveuse où Jason est filmé cette fois comme un vrai tueur et non comme un pantin...
RealPrime
J’hésite entre ***, **** et entre *** et ****, mais avant de choisir, faut le dire clairement… Mais quel pied ! Artistiquement parlant, ce film est une bombe sur le stress et la tension. La musique de fond, les effets sonores, tous y est. Des acteurs qui savent enfin hurler dans les scènes de meurtres, pas comme dans les précédents ou ils étaient diriger par un ou des incapables. Les décors ont eux aussi été très bons et notre Jason culte est visuellement parfait, comme dans le volet contre Freddy. Michael Bay est le principal producteur du film, ça se voit, plus de moyens donc plus de liberté donc plus de punch. J’ai noté quand même une petite baisse de régime à cause du script trop présent en milieu de film. Mais c’est de suite reparti en flèche.
spoiler:
Un début que j’ai oublié de noté, flash back sur le premier volet de la saga, puis une première grande scène d’ouverture tonitruante.
Au niveau casting, très bon, chacun à respecter son personnage et Amanda à été géniale. J’ose désormais imaginé ce que sera le remake des “Griffes de la nuit� ou encore des “Massacre à la tronçonneuse�, qui sont également produit par l’ami Bay. Une réussite.
Au niveau casting, très bon, chacun à respecter son personnage et Amanda à été géniale. J’ose désormais imaginé ce que sera le remake des “Griffes de la nuit� ou encore des “Massacre à la tronçonneuse�, qui sont également produit par l’ami Bay. Une réussite.
Ce reboot du premier film de la saga "vendredi 13" se contente de jouer la carte du "survival" sans apporter la moindre inventivité. Ce n'est pas le plus mauvais opus de la saga, mais cette réalisation de Marcus Nispel ( pourtant loin d'être dénué de talent) ne satisfera pas les amateurs de frisson, tout au plus elle donnera un petit sentiment agréable de nostalgie à ceux qui on découvert l'original en 1980.
Film d'horreur pas mal malgré un début qui est plutot long a démarré.
l'histoire bien que banal pour ce genre de film est plutot bonne malgré que certaines scenes d'horreur ne soits pas filmé directement .
Ce film est pas mal dans l'ensemble.
l'histoire bien que banal pour ce genre de film est plutot bonne malgré que certaines scenes d'horreur ne soits pas filmé directement .
Ce film est pas mal dans l'ensemble.
Faire revivre une nouvelle fois un grand classique du cinéma d'épouvante n'est jamais chose facile mais je dois avouer que j'ai retrouvé l'ambiance des tout premiers opus.
Tout est fait pour que le novice connaisse le pourquoi du comment, pas besoin de connaitre le passé de cette saga pour apprécier la froideur de ce slasher..je crois même que l'on apprécie mieux le film si on ne connait pas la saga car le scénario est tout de même prévisible, parfois facile. Mais le tueur à la machette redouble d'originalité et de férocité pour venir à bouts des jeunes hommes et filles en fleurs ![14/20]
Tout est fait pour que le novice connaisse le pourquoi du comment, pas besoin de connaitre le passé de cette saga pour apprécier la froideur de ce slasher..je crois même que l'on apprécie mieux le film si on ne connait pas la saga car le scénario est tout de même prévisible, parfois facile. Mais le tueur à la machette redouble d'originalité et de férocité pour venir à bouts des jeunes hommes et filles en fleurs ![14/20]
Un conseil regarder les anciens vous perdrez moin votre temps et au moin il sont authentique pas comme cette copie de mauvai s goût ,et franchement où est Jason dans tous ça ? C'est plus un tueur en série qu'un mort vivant .
Je l'attendais avec impatience ce film et j'en suis sortit avec une moitié de déception. Marcus Nispel retrouve son producteur Michael Bay aprés un surprenant remake de "Massacre à la tronçonneuse". Cette fois-ci, ils s'attaquent à un autre monstre sacré de l'horreur, le fameux Jason de "Vendredi 13". Le tueur sans scrupule en veut à une bande de jeunes qui s'éclatent au sexe, au cannabis et à du camping sauvage. Point positif, l'atmosphère du genre qui fait frissonner tout comme le tueur au masque célèbre. Mais ce film souffre d'un scénario surement écrit sans prise de tete, le black qui revendique sa couleur de peau, les victimes qui balancent de bonnes blagues avant de mourrir atrocement, la fin un peu confuse etc... Une série Z qui ne se prend pas trop au sérieux surtout en s'attaquant à la légende de Jason, quand meme.
Malgré le fait que Michael Bay (maudit soit ses films) soit le producteur de ce nouvel opus de Vendredi 13, je trouve que la sauce prend. Bon c'est sûr c'est pas un film d'une grande intelligence mais à côté de ça c'est plutôt beau esthétiquement parlant. Apres c'est un Vendredi 13 qui respecte les codes des slashers, à savoir un groupes d'ados completements debiles qui pensent qu'au cul et à l'alcool (en passant on voit plein de nichons wouhou !) et un gros bourrin qui malgré ses 140 kilos se deplace plus vite que Marie jo Perrec pendant ses années de gloire. Au final on peut dire que ça passe parce que Jason moi c'est mon chouchou et que là j'ai pas été trop dégouté du resultat mais je n'ai pas été comblé non plus... Special dédicace à Jason qui se teleporte du sol jusqu'aux toit en une nano seconde et au gosse de riche qui pousse des hurlements digne de la cage aux folles.
Un manque cruel d'inventivité et d'originalité se fait sentir dans ce remake. Marcus Nispel nous avait habitué à tellement meilleur au niveau des images avec Pathfinder et l'excellent Massacre à la tronconneuse. Les situations sont grotesque. Mis à part la brutalité de Jason tout droit copié du quand à lui très réussi remake d'Halloween de Rob zombie, tout y est pour plair au adolescant prépubère: Sexe, drogue et le minimum syndical de gore. Vraiment décevant !!!
gabdias
Douzième retour de Jason mais va-t-il enfin mourir ? Allez on peut le dire ! Nooon, il est encore là, plus sanglant que jamais, plus taré que jamais mais toujours aussi inutile à la culture mondiale. Un slasher-movie sans originalité mais juste passable.
Deux étoiles pour le générique de début qui nous immerge immédiatement dans une ambiance mensongère et pour l'introduction qui, détachée du reste du film sonne comme un petit hommage à l'original. Cette séquence a quelque chose de grisant car Jason expédie le travail et tranche dans le vif. Si vite qu'on finit par se dire au dernier coup de machette, mince ils sont déjà tous morts. Apparaît le titre et cette petite publicité nous à mise en appétit. Malheureusement, le festin promis s'avère maigre. La suite et donc le gros du film n'a que très peu d'intérêt tant il se fond dans la banalité du slasher Américain moyen. Peu de frayeur, peu de saveur. On aimera la façon dont l'histoire reprend et succède à la fois ce Vendredi 13 à l'original mais ces clins d'oeil sont une maigre compensation. Une production "A la rigueur/Et encore".
Vraiment pas terrible. Le film est plus gorre qu'effrayant et ne contient pas d'explication poussée et satisfaisante sur les raisons qui pousse le tueur à massacrer tous ces jeunes. On a bien une vague introduction au début, mais rien de plus. On se retrouve donc simplement à le regarder massacrer des gens un par un sans plus chercher à suivre. A voir si vous aimez le gorre... Sinon passez votre chemin.
Difficile de refaire une énième suite du slasher de Cunnignham, qui avait cartonné, au début des années 80 en créant un mythe, Jason Voorhees ! Sutout que ce type d'histoire au scénario tenant sur un ticket de métro, laissait peu de marge de manoeuvre à Marcus Nispel. Mais l'univers visuel du réalisateur allemand fait encore merveille, pour cet ultime opus jasonien, qui compense le balisage extrême de l'histoire. Evidemment, on est loin du remake de Massacre à la tronçonneuse, mais l'histoire basique de Vendredi 13 se prêtait moins à une revisite originale que l'opus hooperien. En définitive, ce Vendredi là est certainement le meilleur de la série, mais on peut difficilement attendre plus d'une histoire aussi limitée !
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