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Estonius
3 359 abonnés
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1,5
Publiée le 30 avril 2023
Un nouveau genre : le slasher qui indiffère. Jolie scène d'entrée et après on s'emmerde. Alors que l'idée de base était prometteuse, le film rate tous ses meurtres les uns après les autres, rien ne nous accroche, sinon quelques jolies frimousses féminines (Alicia Wit, Rebecca Gayheart) ou le décolleté de Tara Reid. En revanche, Jared Leto en kéké du campus, quelle purge ! On se fiche un peu de savoir qui est le méchant mais quand cela nous est révélé on tombe du placard parce que c'est vraiment du n'importe quoi mal géré.
Un tueur hystérique et des situations grotesques dans un style young slasher totalement en adéquation avec son époque. Déjà à sa sortie, le film ne faisait pas référence pourtant bien que l'alibi pour justifier ses tueries soit complètement crétain, le pitch autour des légendes urbaines avait, lui, de quoi séduire. Les suites ne seront pas mieux mais il y a matière à un bon remake pour une fois.
Devenu au fil du temps un incontournable du slasher, "urban legend" est à rapprocher de "scream", donc du slasher certes mais auquel le scénariste ajoute un coupable à découvrir semant les indices au fil de l'histoire... pas mal réalisé du tout même si les ados sont largement stéréotypés wasp américains CSP + et que les meurtres ne sont pas d'une bestialité hors du commun. Le tueur est suffisamment sympa pour amener un petit frisson d'angoisse et le tout se regarde même encore aujourd'hui avec un réel plaisir. 3./5
Avec une atmosphère à la "Scream", pour en devenir sa concurrence directe (pour ne pas dire pâle copie) avec ce concept de tueur psychotique au sein d'un campus universitaire, "Urban legend" ne sera pas d'une grande inventivité. C'est donc le film d'horreur typique de la fin des années 90 que l'on s'apprête à découvrir, avec la recette du fameux jumpscare de cette période, celle où les petits rigolos débarquent brusquement dans le dos de leur petits camarades, accompagnée d'une note de musique irritante. "Urban legend" est si mal écrit, et surtout si facile, qu'il en deviendra purement lamentable. Le film cherche à créer de la tension de façon extrêmement ridicule, les protagonistes se baladant tous avec la même parka, que ce soit la fille qui se rend à la piscine avec (normal), le professeur ou encore le concierge etc.... Un film bien cliché et caractéristique de cette époque, mais qui avant tout, prendra son spectateur pour le dernier des demeurés en ne proposant pas la moindre once de crédibilité. Ce soit-disant film d'horreur qu'est "Urban legend" ne sera en fait qu'une bonne partie de rigolade, faisant naître peu à peu l'esprit moqueur dans la tête de son spectateur, à tel point que l'identité du tueur ne sera plus du tout recherchée, contrairement à la prochaine scène débile ou clichée qui l'attend. Le nombre de défauts dont il fait preuve ne se comptant même plus, "Urban legend" en deviendra rapidement grotesque. En principe, les légendes urbaines sont sensées être originales ou bénéficier d'un certain style, ce ne sera malheureusement pas le cas ici. "Sceam" suffisait amplement dans ce registre, il n'y avait pas besoin de vulgaires copies de ce genre où seule la référence musicale à la série Dawson de la part de Joshua Jackson se laissera apprécier.
Bof, un thriller horrifique qui ne laissera pas un souvenir impérissable. Certes, l’idée de faire des meurtres à partir de légendes urbaines (bon, même si je n’en connaissais pas les trois-quarts) était sympa sur le papier. Mais au final, on se retrouve avec un film largement prévisible qui peine à installer ce climax propre aux slashers. Il est dommage, par exemple, que les scènes les plus intéressantes soient les plus improbables. Se faire passer l’histoire sur un campus universitaire est certes très classique, mais ce qui est dommage c’est qu’il n’est pas exploité à fond, et même sous-exploité. Que c’est cliché de se retrouver avec le mec de l’entretien qui a l’air d’être un gros psychopathe, l’agent de sécurité qui se fait tellement chier qu’elle passe son temps à regarder le même film en boucle, le doyen qui est complètement aveugle de ce qui se passe sur son campus et qui comprend ses étudiants aussi bien qu’un éléphant rose le ferait…Bref, on e se retrouve avec tous les bon clichés du film pour ados. Bon, y’en a certains qui sont plutôt bien utilisés, mais la plupart nop. Et qu’est-ce que ce film est prévisible ! Alors si on ne découvre l’identité du tueur qu’à la toute fin, c’est uniquement parce que c’est le seul personnage qu’il reste ! Le film s’appesantit sur 2-3 personnages mais il faut pas plus de 3 secondes pour savoir que ce n’est pas eux. Du coup, on attend que les autres meurent pour qu’on ne se retrouve plus qu’avec l’héroïne, son copain et le meurtrier. Meurtrier qui au final ne surprend même pas et qui nous sort une raison banale. Bref, une histoire qui se regarde mais qui s’oublie presque aussi vite. Casting dans l’ensemble très moyen, allant du navrant au passable. Techniquement : la mise en scène est parfois complètement ratée, donnant l’impression d’être tournée avec les pieds, mais ça reste correct. La musique de Christopher Young n’est pas mal pour le thème principal, installant une bonne ambiance. Les décors sont le gros point forts du film, mais mal exploités par la mise en scène. Bref, un thriller horrifique très moyen, qui peut toujours servir dans une soirée à se faire peur entre pote ou dans un bon délire.
Film surfant sur la vague de slashers de la période "fin années 90", Urban Legend est un film assez médiocre qui fait office de plagiat comparé à ses multiples aînés. L'histoire est classique sur fond de thème de légendes urbaines comme en atteste le titre du film, les acteurs sont moyens voire mauvais, le tueur relève du cliché absolu et nous laisse pantois sur un final classique jusqu'à l'extrême. Au final, si vous étiez ado comme moi à l'époque de sa sortie, vous avez surement du apprécier ce film, avec du recul, ça reste un slasher basique, ni mauvais ni bon, mais sans réelle saveur à part peut-être le fait de se replonger dans cette grande époque pré-2000.
Après Scream et Souviens-toi l'été dernier, un nouveau contingent d'ados hollywoodiens est livré en pâture à un tueur fou. A force d'étudier des « légendes urbaines » (celle du tueur à la hache caché sous la banquette arrière, celle des chauffards sanguinaires qui roulent tous feux éteints, etc.), les élèves de la Pendleton University finissent évidemment par les vivre : et vas-y que je te décapite ou que je te roule dessus avec le 4x4... L'identité du mystérieux assassin n'est qu'une question accessoire. Reste le plaisir renouvelé de lire la terreur sur le visage des jeunes et jolies actrices : la palme du jour à Alicia Witt, une rousse évaporée qui a de faux airs de Gillian Anderson (X-Files).
Film d'horreur s'inspirant de certaines légendes urbaines, "Urban Legend" annonce la couleur dès le début avec une scène d'introduction plutôt efficace et même très drôle. Le reste est un enchaînement de meurtres et de fausses pistes suffisamment subtiles pour qu'on accroche à l'histoire et qu'on se demande qui est le coupable et quel est son mobile. Les scènes de meurtres sont les plus réussies et c'est d'ailleurs le principal vu qu'on se moque un peu de la psychologie des personnages. Le film sait ne pas se prendre au sérieux et va à l'essentiel. Pas de frissons donc mais du divertissement simple et efficace.
Critique de "Urban Legend". Les années 80-90 ont été très riches en slashers tels que Scream, Chucky, Vendredi 13, Souviens toi l'été dernier, Freddy etc. Scream ayant marqué la période en réinventant le genre. D'autres sont assez réussis, certains moins c'est le cas de Urban Legend. Urban Legend copie un peu ses prédécesseurs mais ne fait pas mieux. L'idée de la légende urbaine est sans doute le point positif du film, les meurtres sont réussis et variés (une préférence pour la pendaison). Un des points négatifs est que le film essaie de mettre le spectateur sur de nombreuses fausses pistes genre pour nous dire "c'est lui le tueur, tout l'accuse, il est bizarre, il n'y a pas de doute!" (par exemple la veste que le tueur porte, plusieurs personnages ont exactement la même...). Pourtant ça démarre bien et le suspense est prenant. Mais j'ai quand même aimé les clins d'œil à Scream et Chucky. 2,5/5
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3,0
Publiée le 26 juillet 2010
Les lègendes que l'on colporte peuvent-elles devenir rèalité ? Quand un assassin s'inspire des lègendes urbaines pour commettre ses meurtres, c'est la panique à la fac de Pendleton! Jamie Blanks signe une variation horrifique façon "Scream" avec même une apparition de Robert Englund! C'est un clin d'oeil comme savent en faire les rèalisateurs dans leurs films! On retrouve côtè casting des noms connus comme la belle rousse Alicia Witt, Jared Leto, Joshua Jackson et Tara Reid! Sans être un classique de l'horreur, "Urban Legend" est une petite sèrie B d'horreur plutôt flippante qui arrive à nous maintenir en haleine jusqu'à la dècouverte de l'identitè du tueur en sèrie...
Bon slasher avec un bon casting. Des meurtres originaux du fait que sa provienne des légendes urbaines. Un final a la scream. Un bon slasher mais il ne révolutionne pas le genre!
Merci Jared Leto, grâce à toi "Urban Legend" reste regardable... Je vous présente le film le plus bourré de clichés dans son genre, avec en prime, des acteurs qui perdent toute crédibilité dès les cinq premières minutes. Il est vrai qu'il est très difficile de taper dans l'originalité lorsque l'on se lance dans un film du genre "slasher", et qu'il est très difficile de tenir un bon scénario à moins de s'appeler Wes Craven. "Urban Legend" ne fait absolument pas peur. Tout est prévisible du début jusqu'à la fin ; bien sûr nous savons qu'il y aura un homme caché sur la banquette arrière avec une hache à la main, bien sûr nous savons qu'une scène avec deux jeunes, seuls, en voiture dans une forêt en pleine nuit résultera d'un assassina... Ces deux étoiles sont attribuées au bon jeu de Jared Leto qui sort du lot, et à l'apparition de Englung.
La fin des années 90 a donné lieux à une avalanche de slasher de qualité vraiment disparate. Celui-ci fait parti du fond de panier. Le scenario est incohérent et complètement crétin, les acteurs sont peu inspirés (bien que certains aient percés depuis) et les clichés sont légions. Les rares bons moments du film viennent des clins d’œil qui le parsème (notamment la présence au générique de Brad « Chucky » Dourif et de Robert « Freddy » Englund).