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Un visiteur
3,0
Publiée le 19 septembre 2010
Poignant exceptionnel; le type même de film qui ne devrait pas exister. D'ailleurs les séquences aériennes et à couper le souffle du début sont sufisamment explicites...
1er long métrage de la sculpturale Ria Rasmussen, je dois dire qu'il est rare de voir un film fait par une femme qui se montre aussi dur envers son propre sexe. Beaucoup de scènes assez violentes pour une histoire confuse dont il m'a été impossible de faire le lien sur les différentes époques. Il y a quelques plans intéressants mais l'ensemble me parait plutôt raté...
Que dire ? Rie Rasmussen, anciennement mannequin reconvertie aujourd'hui dans l'industrie du cinéma s'empare d'un rôle complexe et prend énormément de risques pour un "Human Zoo" pas si bon que ça, voire pire. Certes, l'interprète principale ainsi que ses compatriotes jouent de manière plutôt naturelle, malheureusement l'histoire qu'il y a derrière, ne captive pas. L'intrigue décousue vraiment prétexte à de la violence et le rythme faiblard ajouté à la réalisation sans cesse plombée par des flash-backs trop nombreux peuvent s'apparenter à une pierre au pied de l'oeuvre, qui le tire vers le fond, toujours vers le fond. Restent quelques scènes fortes en intensité qui retiennent l'attention pour que le spectateur puisse tenir jusqu'au bout, même si parfois ce dernier se demande s'il ne devrait pas éteindre le lecteur. Petite réussite, mais en tant que premier film, c'est plus que correct.
"Human zoo" est un film atypique, qui mélange un peu les genres, avec une mise en scène qui alterne les temps fort (sans être hystériques), et les temps morts, qui plombent un peu le film. Dans l'ensemble, c'est inégal, mais curieux et intéressant.
Avec un petit air de Milla Jovovich, R. Rasmussen nous interpelle pour le travail (scénario, interprétation, réalisation) avec ce drame assez délirant. Le titre n'est pas évoquant du film et c'est très débridé, un peu brouillon, trop décalé. De très bonnes scènes (le -16 ans n'est pas forcement justifié : des femmes nues ne choquent pas, la violence reste mesurée. -12 ans ok !). On survole (trop) beaucoup de scènes qui auraient méritées s'y attarder, un manque de finition. Dans l'ensemble, cela se tient si on tient compte que l'on est no limit mais on flirte trop souvent sur un film typé action. 3/5 seulement !!!
Human Zoo est un ovni. Premier film réalisé et interprété par un ancien mannequin, et malgré quelques défauts, on à envie que Rie Rasmussen continue dans la voie du cinéma. Ce n’est qu’un premier film, et même les plus grands, allez citons James Cameron et son Piranha 2, ont des démarrages discutables. Et pourtant pour une première ce n’es pas si mauvais. Bien au contraire.
Les critiques presses qui pensent voir une pâle copie de Nikita se trompent forcément, ce n’est pas Nikita. Où alors ils n’on pas vu le même film.
La mise en scène, les couleurs sombres/claires, et l’enchevêtrement de plusieurs histoires passé/présent ne me plait pas, quelque soit le film. Inutile de s’attarder là-dessus.
On plonge dans un univers rarement représenté au cinéma, les tensions récentes d’Europe de l’est. Ce film est une curiosité et se distingue de tout ceux conseillés par nos journaleux, c'est-à-dire de ces films sans nouveauté, avec une certaine fadeur et qui se ressemblent tous. Pour une fois il y à un peu de changement et, je dois l’avouer, Europa Corp à fait un bon choix, en soutenant un film d'auteur ?
« Human Zoo » est un film de l’ex-mannequin Rie Rasmussen qui porte le chapeau de scénariste, réalisatrice et actrice. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle aurait du laisser l’accomplissement de certaines tâches à d’autres. Son film raconte l’histoire d’Adria à deux périodes de sa vie : lors de la guerre au Kosovo et actuellement dans la ville de Marseille. Les deux périodes sont montrées en alternance grâce à des flashbacks. La partie concernant le Kosovo nous montre une succession de personnages stéréotypés et d’idées jetées en vrac sur la violence et la brutalité durant le conflit évoqué. Mais le pire du pire de ce film déplaisant est la partie qui se déroule à Marseille. Une photographie jaunâtre abominable accompagne l’existence tumultueuse d’Adria dans cette ville. Rie Rasmussen tente de montrer la difficulté de s’intégrer dans une nouvelle vie pour son personnage. Mais le message est parasité par des images racoleuses inutiles dans des scènes de sexe où la belle demoiselle nous montre sa superbe plastique. Le plan le plus ridicule étant le moment où Adria se fait prendre par derrière avec en font la ville de Marseille de nuit et Notre Dame de la Garde. Que de poésie ! Sur la fin, l’actrice se la joue carrément Nikita, flingue en main. Du grand n’importe quoi. Rie Rasmussen a eu quelques ébauches d’idées dans ce film au scénario brouillon et racoleur. Il ne lui reste plus qu’à prendre désormais des leçons de cinéma.
Si pour ce film c'est l'héroîne herself qui a géré les affaires (direction des acteurs, écriture, plans jeu persnnel et tout le reste...Ben, Chapeau! De surcroît, la dame est fascinante de beauté et de sensualité. Avec son faux air de Michelle Pfeiffer, Rie Rasmussen a tout pour plaire. L'histoire quant à elle est solidement construite Le parallèle utilisé en guise de flash-back pour évoquer l'atrocité de la guerre subie de plein fouet par Adria. Il fait corps tout naturellement avec l'épisode contemporain qui nous est livré. DOMMAGE ENCORE cette distribution dans un nombre restreint de cinémas alors qu'il y a de l'insipide et de l'indigeste souvent proposé dans les complexes multi-salles.
Bon, ben comme personne n'a noté ce film, ce qui me surprend, je me lance. Je n'ai que peu de mots à dire : merci Mademoiselle Rasmussen et Mr Besson et Mr Arbogast. Une fois de plus Europacorp reste le seul novateur du cinéma français depuis quelque temps. J'ai pas tout compris à l'histoire, mais je préfère ça aux comédies françaises style tv où l'on a déjà fini l'histoire dans sa tête avant de voir la fin du film. Ici tout est nouveau, moderne, trash, violent, sensuel, réaliste, fort, injuste comme la vie, on pense à Maurice G. Dantec. J'ai été scotché en voyant le générique fin d'apprendre que c'est l'actrice principale qui a dirigé ce premier film. Beau travail ! A revoir.
Sur un sujet tabou,la réalisatrice et actrice R.Rasmussen livre un film fort,audacieux et dérangeant. En se mettant en scène,elle ose exploiter sa personnalité et ne se donne aucune limite pour donner de la force à son personnage de victime de guerre.Quand à son bourreau,sa vision du "tous égaux" se défend même si elle fait froid dans le dos et donne à réfléchir quand la victime est un enfant de sept ans!!! La critique à sévèrement jugé ce film alors que les spectateurs,eux, l'ont plutôt apprécié. Et moi,j'ai bien aimé.
Bravo à Rie Rasmussen qui nous offre une oeuvre noire, pure, violente. RR est vraiment sublime dans ce rôle, l'histoire bien écrite et que l'on comprend grâce a de multiples flash-backs nécessaires ,plus violents aussi car remémorant les conflits du Kosovo, et des scènes du présents plus douces, font de ce film un savant mélange que l'on a pas l'habitude de voir. RR, produit par Luc Besson, prend des risques pour un premier film, mais le pari est réussi. Encourageant pour la suite (comme actrice ou réalisatrice)!
Un film plus ou moins intéressant sur la vie que vivent certaines personnes, mais au final peu attractif. Vous ne manquerez rien si vous ne le voyiez pas.