John Travolta pire que Bruce Willis et Chuck Norris. Il défonce tout et tout le monde et y prend un malin plaisir. Pas aussi efficace que TAKEN, FROM PARIS WITH LOVE reste quand même un bon film d'action (avec un twist final qui fait son petit effet) qui joue, avec plaisir, avec les clichés sur la France. On en ressort avec l'envie de se shooter au Redbull et de cogner le premier bougre qui nous regarde de travers...ou pas ! Car n'est Travolta qui veut !
Encore du Besson. Je m'explique: une super idée, de bons acteurs mais un scénario qui tient sur une page. Comme d'habitude avec Besson. Quand comprendra-t-il que pour que ses films cartonnent vraiment il faut une vrai histoire, fouillée, avec des détails et pas seulement une bonne idée? Surement jamais!! A part ça, il faut avouer que Travvolta est super dans le filmet que juste pour lui, ça vaut le coup d'aller le voir. Aussi une petite référence à Pulp Fiction...
Une demi étoile pour le fou rire qu'a provoqué chez moi la première scène de baston: au milieu d'un repas au resto, Wax sort son flingue, braque le serveur... ce qui fait sortir des cuisines 5 cuistots armés jusqu'aux dents qui se font dégommer un à un. Un grand moment de n'importe quoi.
La suite du film (fin de la scène de baston incluse) ne présente a peu près aucun interet: scenario, réalisation, dialogues etc: tout est bâclé, mais sans atteindre le stade "nanaresque" qui aurait pu rendre ce film sympathique.
On peut se consoler en se disant que le cinéma d'action français est jeune, et mettre ce film sur le compte d'une erreur de jeunesse (faut bien apprendre...), mais il serait temps que l'écurie Besson passe la vitesse supérieure, et parvienne a nous sortir un film valant plus qu'une petite série B américaine.
John Travolta s'amuse à tirer sur tout ce qui bouge et à prendre un attitude pseudo cool. Son personnage est une parodie en soi des flics américains, sauf que je ne pense pas que cela soit fait exprès... Bien réalisé, le film se suit avec plaisir, même si parfois on se dit que le film aurait pu s'appeller "From Berlin with love" ou 'From Sidney with love", ça n'aurait rien changer. Dans un scénario Besson, il ne faut pas chercher la subtilité ou l'originalité, d'ailleurs c'est un condensé des "Rush Hour" et des derniers buddy movie US...Il faut donc, comme pour le portable, éteindre son cerveau à l'entrée et ne pas oublier de le rallumer à la sortie...
2/4 car ça se passe a paris (qu'on aperçois entre 2 coups de feu), sinon, 1.5/4, les acteurs sont bien, le personnage de travolta est vraiment sympa, mais le scenario... est pas vraiment très clair, ce n'est que vers la fin du film qu'on se rend compte que finalement... c'est un film américain, guerre Gentil Americain vS Méchant Islamiste, les américains "sauvent" la France d'un attentat... bof, mais scenes d'actions sympa et dialogues marrants, ça s'arrête la.
Trés bon film, plein d'action et vraiment bien ficeler, Travolta joue vraiment un super role avec a la fois du proffessionalisme et de l'humour a plein tube, il y a du suspens ou plutot des surprises dans ce film et de l'emotion et une bonne partie d'action bien frappé! a voir!
Un Travolta d' un nouveau style, le film bouge, on ne s ennui pas, j'aime assez, a voir les critiques négatif de ce film, je trouve sa assez dommage ...
From Paris with Love fait partie de toutes ces petites réalisations signées EuropaCorp qui commence par nous fatiguer, tant celle-ci sont tout le temps montées sur la même structure : Luc Besson au scénario, un réalisateur faisant partie de l’écurie Europacorp aux commandes et une histoire assez simple, ayant pour but de mettre en évidence une partie de la France (Paris en général), avec des scènes d’actions à n’en plus finir, une musique omniprésente. Afin de garantir au mieux son investissement et son rendu à l’internationale, Luc Besson intègre des têtes d’affiches, pour ce nouveau volet, ils sont deux : John Travolta et Jonathan Rhys Meyers, au détriment de la qualité laissant le spectateur avec le sentiment d’avoir été enter loupé sur la marchandise tant on lui livre une vision abrutissante du monde dans lequel il vit. Des les premier quarts d’heure du film, on sait que l’on ne va pas assister à du grand Besson qui nous avait habitué à mieux et qui surfant sur le succès (mérité ou non) de Taken a voulu réitérer la donne. On nous donne donc un peu de suspens stupide dans cette première partie : mettre un micro avec un chewing-gum dans le bureau du ministre des affaires étrangères, ou des traces de sang qu’il découvre en rentrant chez lui, bref du grand suspens insoutenable dont on ne croit pas une seconde et dont on se dit que Luc Besson a sorti afin de faire attendre et saliver encore un peu plus les spectateurs impatients de voir Travolta avec un look ravageur, sauf que on le découvre en agent secret qui en fait des tonnes, rôle d’un agent cliché de l’américain raciste qui se croit tout permis même à l’étranger, sortant des grossièreté à chaque phrase et aimant arme et hamburger (clin d’œil assez stupide à Pulp Fiction), on aura droit dans un seul film, deux histoires : récit d’initiation complètement débile limite au ras des pâquerettes étant donné que Reese devra apprendre le métier d’agent secret initier par Wax... critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr