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Yannickcinéphile
Bon, quand on regarde une production Besson, un film de Pierre Morel, on sait qu’on ne doit surtout pas espérer du très finaud, et on ne peut quand même pas venir pleurer ensuite que c’est très différent d’un Rohmer !
Franchement je craignais le pire avec From Paris with Love, le film d’action qui cherche à en faire toujours trop, avec un Travolta en roue libre, un Rhys-Meyer bellâtre, et des scènes d’action au montage épileptique. Et bien non ! Les acteurs sont solides, avec un Rhys-Meyer qui a un peu de mal à trouver sa place au début mais qui finalement s’en tire très bien avec sobriété et simplicité, face à un Travolta qui en fait un peu trop au début, mais qui par la suite se rassérène et nous offre finalement un espion badass et assez rigolard, qui ne cède pas à l’excès comique et cabotin. Autour de ces acteurs des seconds rôles clairement pas très recherchés, essentiellement des méchants et des politiques idiots, autant dire que c’est du Besson tout craché !
Scénaristiquement parlant, que dire… l’histoire on s’en moque ! C’est vraiment vain. Mais au moins le film assure là où on attend qu’il remplisse le cahier des charges : de l’action, du rythme, un peu d’humour, des répliques fumeuses, bref, on attend un truc qui permette de passer 1 heure 30 sans réfléchir fondamentalement, et qui soit généreux. Alors certes c’est quand même très décousu, c’est parfois idiot, mais c’est divertissant, et au bout du compte on voit assez peu ce genre de films sur nos écrans. De la pure action rigolarde, un peu rétro finalement, parce qu’on retrouve l’âme des années 90 dans ce produit. Pas fameux, mais généreux.
Visuellement j’ai apprécié que Pierre Morel offre des scènes d’action lisibles, claires, avec quelques effets de style bien placés et sans abus. Des scènes d’action de qualité bien que pas tonitruantes non plus. C’est propre, sans trop d’excès, avec aussi des décors évidemment très agréables aux Français, mais surtout une photographie pas trop tapageuse et clinquante, problème assez récurrent des productions Besson. La musique non plus d’ailleurs n’est pas clichée, et c’est plaisant pour un film de ce genre.
Pour moi From Paris with love est un film alerte, souvent bête, mais aussi généreux et qui ne se moque pas du spectateur. Celui qui achète un film de Pierre Morel sait qu’il va se retrouver face à du bourrin, et Morel le sait, et il n’est pas avare. J’aime bien, même si une histoire mieux construite (à la Taken ne serait-ce que), plus de cohérence, et des seconds rôles plus solides n’auraient pas été de refus. 3.5
Franchement je craignais le pire avec From Paris with Love, le film d’action qui cherche à en faire toujours trop, avec un Travolta en roue libre, un Rhys-Meyer bellâtre, et des scènes d’action au montage épileptique. Et bien non ! Les acteurs sont solides, avec un Rhys-Meyer qui a un peu de mal à trouver sa place au début mais qui finalement s’en tire très bien avec sobriété et simplicité, face à un Travolta qui en fait un peu trop au début, mais qui par la suite se rassérène et nous offre finalement un espion badass et assez rigolard, qui ne cède pas à l’excès comique et cabotin. Autour de ces acteurs des seconds rôles clairement pas très recherchés, essentiellement des méchants et des politiques idiots, autant dire que c’est du Besson tout craché !
Scénaristiquement parlant, que dire… l’histoire on s’en moque ! C’est vraiment vain. Mais au moins le film assure là où on attend qu’il remplisse le cahier des charges : de l’action, du rythme, un peu d’humour, des répliques fumeuses, bref, on attend un truc qui permette de passer 1 heure 30 sans réfléchir fondamentalement, et qui soit généreux. Alors certes c’est quand même très décousu, c’est parfois idiot, mais c’est divertissant, et au bout du compte on voit assez peu ce genre de films sur nos écrans. De la pure action rigolarde, un peu rétro finalement, parce qu’on retrouve l’âme des années 90 dans ce produit. Pas fameux, mais généreux.
Visuellement j’ai apprécié que Pierre Morel offre des scènes d’action lisibles, claires, avec quelques effets de style bien placés et sans abus. Des scènes d’action de qualité bien que pas tonitruantes non plus. C’est propre, sans trop d’excès, avec aussi des décors évidemment très agréables aux Français, mais surtout une photographie pas trop tapageuse et clinquante, problème assez récurrent des productions Besson. La musique non plus d’ailleurs n’est pas clichée, et c’est plaisant pour un film de ce genre.
Pour moi From Paris with love est un film alerte, souvent bête, mais aussi généreux et qui ne se moque pas du spectateur. Celui qui achète un film de Pierre Morel sait qu’il va se retrouver face à du bourrin, et Morel le sait, et il n’est pas avare. J’aime bien, même si une histoire mieux construite (à la Taken ne serait-ce que), plus de cohérence, et des seconds rôles plus solides n’auraient pas été de refus. 3.5
orlandolove
Variation laborieuse des films d'action "à la Besson" (ici au scénario) des années 2000, "From Paris with love" ne présente guère d'intérêt. Travolta, à l'image de son personnage, est en totale roue libre, tandis que le reste du casting est à peu près transparent. Scénario tristounet et gunfight vus et archi-revus viennent compléter le tableau...
Scénarisé par Luc Besson et réalisé par Pierre Morel (Taken), From Paris with love est un film français tourné à l'américaine qui réunit un casting international. Deux figures cinématographiques d'envergure différente partagent l'affiche, d'un côté Jonathan Rhys-Meyers qui a cartonné avec la série Les Tudors et de l'autre le monstre du cinéma John Travolta. Si l'action se situe dans les rues de Paris, nos deux bonhommes travaillent pour l'ambassade américaine et nous rejouent le coup du duo mal assorti, ici le guerrier aguerri sans peur, lourd à souhait et le jeunot cérébral en manque d'expérience et de sensations. Le scénario tient sur un bout de papier - le démantèlement d'un gang de terroristes pakistanais - et a pour seul leitmotiv l'action pur jus rythmée par une musique indus punchy à souhait. Un peu décontenancé au premier abord, on se laisse peu à peu glisser dans ce déluge de courses-poursuites, de fusillades et de bastons sous effet "Matrix". Aucun temps mort n'est laissé au spectateur qui "subit" un déferlement de scènes spectaculaires qui devrait surtout réjouir la frange cinéphile masculine. Pas de bons sentiments, de prises de têtes au programme, nous sommes ici clairement dans l'exercice de style façon hommage aux séries-B avec une approche toutefois bien différente de celle de Tarentino. Travolta livre à cet effet un véritable festival de dialogues crus et donne à son personnage une touche américaine caricaturale qui repose sur un culot permanent, une absence de peur et surtout un langage grossier assez jouissif. Rhys-Meyers lui donne la réplique du mieux qu'il peut et s'en sort plutôt bien de même que l'actrice polonaise Kasia Smutniak, inconnue au bataillon. Pour l'anecdote, on retrouve également la chanteuse Mélissa Mars dans un second rôle rapidement écarté de l'histoire du fait de l'omniprésence à l'écran des deux principaux protagonistes. La patte Besson est bien entendu au rendez-vous, difficile en effet de ne pas penser à Taxi lors de la course-poursuite ou du fait de la présence de jeunes banlieusards dont le réalisateur et directeur d'Europa Corp s'est toujours senti proche. Pas de grand cinéma au programme mais seulement un divertissement de qualité qui nous fait passer un bon moment et qui assoit un peu plus la belle réputation de Pierre Morel que le succès de Taken avait propulsé sur le devant de la scène.
ce film est pas mal ! un casting génial avec un Travolta excellent dans ce rôle déjanté ! ceci-dit le scénario et assez prévisible ... il manque quelques choses pour en faire un bon film.
Ce film n'a rien d'original, on nous ressert tous les éléments du genre. Les rebondissements et la chute sont convenus d'avance, les situations "comiques" à la Rush Hour ne fonctionnent pas réellement tant le duo Travolta / Rhys Meyers est fade.
Besson donne l'impression de prendre ses spectateurs pour des débiles en produisant des films débiles sans vouloir donner une once de réflexion à ses scénarios.
Besson donne l'impression de prendre ses spectateurs pour des débiles en produisant des films débiles sans vouloir donner une once de réflexion à ses scénarios.
7eme critique
"From Paris with love" ou quand les français tentent l'action à la ricaine (en appelant les comédiens a la rescousse bien entendu) ! Une production Luc Besson se suffit à elle-seule pour éloigner toute qualité... Mais lorsque l'on ajoute à cela un scénario médiocre, et de grands acteurs qui se ridiculisent, on obtient un véritable film d'action bas de gamme ressemblant trait pour trait à un direct-to-dvd comme il en pleut si souvent. Ridicule, ce n'est pas avec ce genre de médiocrité que l'on va rivaliser avec nos amis d'outre-atlantique...
Cet actionner bas de plafond est totalement incohérent. Des personnages caricaturaux au possible, des invraisemblances comme s'il en pleuvait, difficile de rentrer dans cette fusillade non stop au scénar inexistant. Une Bessonnerie ridicule de plus, sublimée par la prestation pathétique de Travolta qui cabotine comme jamais. Désolant.
"From Paris with love" est sans saveur, beaucoup d'action méga fade, aucun humour, un duo qui ne fonctionne absolument pas, une histoire très banale et un film très vite expédié. Rien à en retenir, rien à en savourer. Si ce n'est que dans le genre agent secret, on préfèrera de loin la série de "Taken".
Savez vous ce qu'est une production Besson ? "From Paris with love" en est le parfait exemple.
Scénario qui tient sur un demi-mouchoir de poche (un complot, ça c'est difficile à écrire !), montage raté, musique inexploitable, acteurs non dirigés donc en roue libre, suspense parti dans le pot d’échappement de la voiture de Luc, réalisation bâclée. Le tout, rappelons-le, sur une durée d'une heure trente. Un paquet de défauts en somme.
Mais bon, depuis le temps, l'ami Besson nous fait son show et assure à minima de ses compétences ce qu'il connaît en matière de cinéma. Ici, c'est bien sûr Travolta qui surjoue en cabotinage et qui nous maintient en (pseudo-)haleine. Ensuite, c'est bien sûr à Besson de nous montrer qu'il sait divertir (ce n'est pas le premier "Taxi" et "Yamakasi" qui vont nous dire le contraire).
Travolta et la roublardise de Besson sont donc les deux atouts à retenir de ce film où la testostérone est à 200%, n'en déplaise aux courses-poursuites assez bien réglées et au combat millimétrés à la Seagal'attitude.
Besson pour un jour, baissons pour toujours...
Scénario qui tient sur un demi-mouchoir de poche (un complot, ça c'est difficile à écrire !), montage raté, musique inexploitable, acteurs non dirigés donc en roue libre, suspense parti dans le pot d’échappement de la voiture de Luc, réalisation bâclée. Le tout, rappelons-le, sur une durée d'une heure trente. Un paquet de défauts en somme.
Mais bon, depuis le temps, l'ami Besson nous fait son show et assure à minima de ses compétences ce qu'il connaît en matière de cinéma. Ici, c'est bien sûr Travolta qui surjoue en cabotinage et qui nous maintient en (pseudo-)haleine. Ensuite, c'est bien sûr à Besson de nous montrer qu'il sait divertir (ce n'est pas le premier "Taxi" et "Yamakasi" qui vont nous dire le contraire).
Travolta et la roublardise de Besson sont donc les deux atouts à retenir de ce film où la testostérone est à 200%, n'en déplaise aux courses-poursuites assez bien réglées et au combat millimétrés à la Seagal'attitude.
Besson pour un jour, baissons pour toujours...
"De Paris avec Amour" en voila un titre évocateur. On retrouve le talentueux Jonathan Rhys Meyer à l'époque en plein tournage des Tudors. Un duo de choc !!! J'ai adoré, de l'action, de l'humour en prime. Un excellent film pour ma part !
Juste pour baisser la note...........au passage je hais Besson 😀
Un film d'action qui manque un peu de rebondissements et de grandeurs de réalisation mais qui reste plutôt agréable à regarder.
Pendant ce film on essaie de "Staying alive" mais... Sans succès.
AMCHI
Producteur et scénariste Besson offre avec From Paris With Love une vision très simpliste du terrorisme mais on ne regarde pas un tel produit pour avoir une approche pointue de la géopolitique actuelle et encore moins pour se triturer les méninges mais tout simplement pour avoir un film ou ça fonce, ça bastonne et ça explose. Et là Pierre Morel réussit son but, From Paris With Love se regarde sans jamais s'ennuyer par contre l'ensemble s'avère moins réussi et prenant que le 1er Taken (aussi de Morel) cependant le numéro de cabotinage de Travolta amuse et on ressent le plaisir de l'acteur d'avoir joué un tel personnage. Juste divertissant mais rien de mémorable.
From Paris With Love m'a étonnement surpris par son spectaculaire, l'histoire est bien mais je ne vais pas dire excellente non plus, c'est surtout le jeu de John Travolta qui donne une superbe ambiance à ce film spectaculaire. John Travolta est excellent et efficace,il rajoute de l'humour et il a dans ce film, un style de gangster qui lui va étonnement mais superbement bien. Les scènes d'actions sont prenantes et les fusillades sont spectaculaires, il y a beaucoup de rebondissements.
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