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Grégouch M
52 abonnés
834 critiques
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0,5
Publiée le 10 juin 2014
Pourquoi venir jusqu'à Paris pour un tel film, From Miami ou Boston with Love c'était très bien, et tenez on vous laisse Pierre Morel pour le même prix.
Producteur et scénariste Besson offre avec From Paris With Love une vision très simpliste du terrorisme mais on ne regarde pas un tel produit pour avoir une approche pointue de la géopolitique actuelle et encore moins pour se triturer les méninges mais tout simplement pour avoir un film ou ça fonce, ça bastonne et ça explose. Et là Pierre Morel réussit son but, From Paris With Love se regarde sans jamais s'ennuyer par contre l'ensemble s'avère moins réussi et prenant que le 1er Taken (aussi de Morel) cependant le numéro de cabotinage de Travolta amuse et on ressent le plaisir de l'acteur d'avoir joué un tel personnage. Juste divertissant mais rien de mémorable.
Une daube intersidérale. Je mets 0,5 pour Travolta, et car je ne peut metre moins. Pour ce film on devrait pouvoir mettre des notes negatives, vous regreterer de l'avoir vu
Alors ce film-là, c'est vraiment une belle merde! Oh purée! Des scènes d'action qui s'enchaînent sans aucune logique, un scénario qui prend l'eau de toutes parts, et surtout, je me demande bien quel(s) message(s) ils ont voulu faire passer !? Que nous raconte ce film ? : spoiler: En gros, Jonathan Rhys-Meyers est un gars honnête qui essaye de bien faire son boulot, et on lui colle un coéquipier sur une mission : John Travolta. Mais John a des méthodes plutôt douteuses vu qu'il n'hésite pas à tuer tout ce qui se trouve sur son chemin. Alors ils vont dans un resto chinois (sur décision de John), et là John sort un flingue, bute un serveur, commence à tuer tout le monde, puis tire dans le plafond et des tonnes de coke tombent de l'étage du dessus. Alors ils remplissent un vase chinois avec cette coke et s'en vont. Sur le chemin, il y a des arabes qui commencent à leur chercher des noises. Pas de problèmes, John les bute tous, puis ils vont dans un sous-terrain où d'autres arabes les attendent. Bien sûr, ils se font buter également, mais voilà que Jonathan commence également à défourailler les gars sur son chemin. Bref, on découvre que ces arabes faisaient du trafic d'armes (je crois) etc etc... Après moult péripéties, notre tandem de choc a liquidé tout le monde, et John Travolta félicite Jonathan d'être devenu comme lui : un gars qui liquide tout le monde sans réfléchir (surtout les asiatiques et les arabes).
De temps en temps un film comme ça, et bien c'est jubilatoire. Besson nous livre un scénario comme il sait les faire, facile, bourré d'action, comme Taken, et ça fonctionne. Pourquoi ? Parce qu'il m'est un soin à bien s'entourer, ici Travolta est génial dans son attitude, il est cool, il se castagne sans effort, il a le sourire en coin, regard malicieux, on a plaisir à le voir prendre du plaisir dans son rôle; Le réalisateur joue la carte de l'hyper action, à un moment on décroche de l'histoire, c'est bien trop irrationnel pour y attaché de l'importance, on est là, à faire une visite guidé d'un Paris carte postal, qui se transforme en Paris craignos. On se retrouve en banlieue, presque 15 ans avant Bac nord, et on a les même barre d'immeuble, les mêmes gardiens de cité, et surtout, déjà les souricières dans les appartements. Alors, c'est réussi car l'action est au rendez-vous, c'est complétement barré et plus qu'improbable; mais l'énergie qui est distillée est le point fort de cette production Besson. N'en déplaise à beaucoup, il a su en son temps bousculé les codes du cinéma Français et pas qu'un peu.
Pierre Morel dont j'ai adoré son film Taken reste une fois de plus dans son élément, l'action avec impact immédiat, bien qu'ici la sensation thriller précédemment utilisé dans Taken y est beaucoup moins présent. On à droit cependant à un duo très sympathique avec Jonathan Rhys-Meyers et surtout John Travolta qui tient là certainement sont rôle le plus jouissif après Volte Face. En deux mots, le personnage de Travolta est assez complexe et on à réellement l'impression que rien mais rien ne peut l'atteindre que cela soit lors des avants bastons ou pendant, c'est une sensation ultra excitante. Le début à du mal à démarrer, le rôle de Travolta est si déstabilisant qu'il faut un temps pour si faire. Mais une fois que c'est bon, le film avance de plus en plus comme il faut et vous donnera des moments d'adrénaline pur. Au passage le titre From Paris With Love fait un clin d'oeil au titre d'un James Bond qui est bien entendu Bons baisers de Russie.
A Paris, un jeune agent de la CIA discret et éduqué doit faire équipe avec un cow-boy explosif pour démanteler un réseau terroriste. "From Paris with Love" fait partie des productions Europacorp destinées à l'international et en particulier au marché US, avec la subtilité d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Scénario riquiqui, intrigue qui aligne clichés sur clichés (policiers ahuris, rues remplis de mafieux chinois et de racailles maghrébines, Américains ignorants...), humour lourdingue, mise en scène générique : rien ne semble pouvoir sauver le film. Côté acteur, si John Travolta est habitué des rôles grotesques, il est dommage d'y retrouver Jonathan Rhys Meyers, qui nous avait habitué à mieux. Après, l'ensemble a le mérite d'être rythmé, avec pas mal de scènes d'action, mais on n'est pas passé loin du gros navet qui tache.
Une seule raison de voir le film? Travolta en flic déjanté crâne rasé, énorme! Sinon ça fleure le Besson d'action plutôt efficace mais sans relief ni surprise, vu et revu. Alors, la question est : je paye 10 euros la place de ciné ou j'attends une location DVD??? Moi j'aurai mieux fait d'attendre!!!
Après le succès imprévu (et plutôt injustifié) de "Taken", Pierre Morel et son producteur Luc Besson ont cru pouvoir réussir un nouveau hold-up avec ce "From Paris with love" qui reprend plus ou moins les mêmes ficelles formelles avec un star hollywoodienne dans un contre-emploi, des séquences explosives et Paris en toile de fond. Mais là où "Taken" avait la chance de bénéficier d’une intrigue certes simple mais chargée émotionnellement, "From Paris with love" se plante dans les grandes largeurs avec un scénario tout simplement aberrant pour ne pas dire imbittable ! En effet, alors que le film démarre comme un buddy movie sur fond d’espionnage, on se retrouve tout à coup pris, sans trop comprendre pourquoi, dans une croisade contre des trafiquants de drogues chinois, puis contre des terroristes musulmans avec en point d’orgue, un traître absolument pas crédible (même si la scène où ce traître est démasqué est la seule séquence un peu surprenante du film). Luc Besson a beau avoir perdu toute crédibilité en tant que scénariste ces dernières années (merci "Taxi", "Banlieue 13" et autres "Transporteur"…), il réussit encore à nous surprendre en s’enfonçant un peu plus dans le grand n’importe quoi ! Ce n’est pas la mise en scène de Pierre Morel, certes explosives mais complètement incohérente, qui vient relever le niveau, le réalisateur se contentant d’aligner les scènes de fusillades, d’explosions en tout genre et de courses poursuites sans jamais prendre soin d’apporter une quelconque consistance à l’intrigue ou à ses personnages. Et je ne parlerai même pas des relents bien beauf (pour ne pas dire nauséabonds) ressortant de certaines séquences et de leurs dialogues (les Asiatiques et les Arabes devraient être moyennement satisfaits sur ce point). Le casting, qui devait pourtant être le point fort du film, n’est pas davantage à la fête avec un John Travolta outrageusement cabotin qui n’arrive jamais à rendre son personnage sympathique (trop grossier dans ses manières, trop dithyrambique dans ses compliments à son équipier), un Jonathan Rhys-Meyer apathique dans le rôle du faire-valoir et une pléiade de 2nds rôles sans intérêt (on regrettera l’absence de caméo de stars françaises… regret déjà valable pour "Taken"). Comme souvent chez Besson, la seule satisfaction vient de la découverte d’une jeune actrice, Kasia Smutniak, dont on espère qu’elle ne connaîtra pas le même sort que les dernières révélations des productions EuropaCorp (Kerry Condon de "Danny The Dog", Natalya Rudakova du "Transporteur 3"…). On pourra toujours se consoler en se disant que ça pète dans tous les sens et qu’on n’a pas eu à se prendre la tête pendant 1h30… C’est bien insuffisant pour permettre à ce "From Paris with love" d’échapper au statut de divertissement bien trop décérébré et tapageur qui n’a même pas réussi à faire illusion auprès du public ! C’est dire…
Pierre Morel et son scénariste producteur Luc Besson avaient fait un film interressant sur fond de vengeance auparavant avec "Taken", avec ce long métrage intitulé "From Paris in love", ils ont touchés le fond !!! Rien n'est à sauver dans ce film, pubs promoteurs pour des grosses bagnoles, violences gratuites sans interet, une réalisation sans relief, un scénario baclé quand on voit la qualité d'écriture de Luc Besson depuis 10 ans, on se demande s'il a perdu le sens cinéphile qu'il avait à l'époque de "Nikita" ou "Le dernier combat". John Travolta frise le ridicule avec sa boule à zéro en faisant des tonnes, son collègue Jonathan Rhys-Meyer n'est pas à l'aise comme il l'était chez Woody Allen pour "Match Point". Passez votre chemin, c'est oubliable.
Pierre Morel conduit un autre train. Moins rapide, moins nerveux, moins efficace. Bourré d'ellipses abracadabrantes, le moins que l'on puisse dire c'est que les agents secrets sont fatigués. Jason Bourne, reviens !
Variation laborieuse des films d'action "à la Besson" (ici au scénario) des années 2000, "From Paris with love" ne présente guère d'intérêt. Travolta, à l'image de son personnage, est en totale roue libre, tandis que le reste du casting est à peu près transparent. Scénario tristounet et gunfight vus et archi-revus viennent compléter le tableau...
Mmmhhh, le film "From Paris with Love " est tout simplement divertissant...Des agents surentrainés, des coups de feu, des insultes...On n'a pas besoin de reflechir...Le scénario est pauvre car il n'y a pas d'enchainements des indices, des situations comme si, les agents savaient à l'avance qu'il y aura le terrorisme à Paris...C'est un peu exagéré, ce film ! Mmmhhh... Je préfère plutôt "Le baiser mortel du dragon" Par contre, ce que j'ai aimé dans le film, ce sont les cascades impressionnants qui se déroulent à Paris et dans une cité de la Banlieue... Pas mal car on est habitué à voir des explosions, des tirs dans les grandes villes américaines ! Le film "From Paris with Love" est fait pour se divertir ... Rien de plus !