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Un visiteur
0,5
Publiée le 16 février 2010
Roman nul; film nul! la consierge cultivée et la surdouée de magasine féminin. Une collection de clichés à la mode: les japonais sont zen ...sauf qu'à Nankin ils ne l'étaient pas. demandez aux chinois; à l'ENS ils sont tous idiots...les prix Nobel certainement encore plus que les autres
Pour un premier film de réalisatrice, Mona Achache dont le talent est allé jusqu'à prétendre s'occuper du scénario (au diable la modestie), nous a réalisé un navet qui aurait mérité le premier prix pharmaceutique 2009 du soporifique se substitution ! C'est en effet mou, lent, sans intérêt, et cette gamine qui devrait se mettre sa caméra comme insert, s'avère aussi agaçante que mignonne ! Pour lutter contre cet engouement stupide de la planète en faveur du hérisson, ce bête animal est le seul à ne pas avoir compris encore en 2017 qu'une route automobile pouvait lui être fatale ! Ensuite, il est truffé de puces ! Ne l'approchez surtout pas ! Résistez aussi à l'envie de lui donner du lait : les chats du voisinage l'auront bu bien avant lui ! Bon une qualité, il dévore les limaces. Le seul point commun entre ce film consternant et la bestiole au final : la stupidité ! Pourquoi France 3 a-t-elle programmé cette histoire sans queue ni tête ? willycopresto
Je me suis ennuyé pendant ce film. Trop de longueur, Josiane Balasko joue un personnage presque sans vie. Elle est fait pour des rôles moins tristes comme dans "Gazon maudit" ou "le père noël est une ordure".
L’évidence même des rencontres c’est qu’elles amènent leur lot de changement et si elles sont riches leur lot d’épanouissement. La réalisatrice filme avec délicatesse et profonde sensibilité les destins croisés des ces trois personnages. C’est beau et encourageant.
Magnifique interprétation de Josiane Balasko qui fait évoluer son personnage avec beaucoup de retenue, tout en progression. On prend une leçon de comportement en société à la japonaise par le personnage interprété avec beaucoup d'élégance par Togo Igawa. Quant à la jeune Paloma Jesse, manifestement surdouée, elle dérange par son regard sans concession sur le monde des adultes, et par ses capacités et sa sensibilité hors normes. Les personnages secondaires sont bons aussi, dans leurs névroses, leur mépris des petites gens. Une belle leçon de vie, à travers les réponses découvertes par le personnage principal.
Le Hérisson met un peu de temps à se mettre en place. Mais une fois que le triangle Paloma-Renée-Monsieur Ozu est installé, le film devient extrêmement juste et émouvant. Chaque personnage porte en lui des fêlures. Paloma commente le monde qui l'entoure avec sa caméra. Elle a des envies suicidaires à 11 ans. Renée est la concierge de l'immeuble qui s'interdit d'être heureuse et d'aimer. "On ne la reconnaît pas car on ne l'a jamais vu". Et monsieur Ozu est le nouveau propriétaire, issu d'une puissante famille chinoise. Sous la caméra de la petite, les deux adultes vont commencer à se découvrir et à s'apprécier grâce à l'art : littérature russe, cinéma japonais et peintures diverses. Jusqu'au drame. Le hérisson dénonce les préjugés et invite à aller au-delà des apparences. Le trio de comédiens est excellent surtout Josiane Balasko définitivement meilleure actrice que réalisatrice. Mais la jeune Garance Le Guillermic et le talentueux Togo Igawa ne sont pas en reste.
Premier long-métrage de Mona Achache, Le Hérisson est une œuvre délicate et mettant en scène un trio de personnages assez rare au cinéma (une petite fille introvertie et fascinée par le suicide, une gardienne d’immeuble faussement bourrue et solitaire mais se révélant au final très cultivée et un retraité japonais très raffiné). Ainsi, si le film n’est pas toujours extrêmement prenant, il reste assez intéressant par sa sensibilité envers des personnages un peu marginaux, sa qualité d’interprétation (Josiane Balasko prouve une fois de plus qu’elle est véritablement une très grande actrice) et une fin aussi surprenante que brutale. Le Hérisson est donc un œuvre qui pourrait toucher une bonne partie du public.
Le hérisson, adaptation du livre éponyme est une étrange réalisation mélangeant drame, comédie et mélancolie. Souvent triste dans ces propos et son image, le ton est contrebalancé par une musique joyeuse, entêtante et répétitive ! Le casting est réussi surtout pour le couple principal avec une Josiane Balasko surprenante et juste et un acteur nippon qui nous démontre sa classe tout en retenu. Au final, même si la fin est brutale et laisse sur sa faim, celle ci paraissait prévisible et l'on se concentre finalement plus sur cette concierge que cette jeune fille. Le hérisson est donc une histoire à lire ou à visionner qui marquera mais à qui il manque tout de même un petit plus pour en faire un grand film.
Peut-être trop d'attentes pour ce film et au final une vraie déception. Non que Josiane Balasko ou Garance Le Guillermic ne soient pas à la hauteur. Mais le scénario manque cruellement de rythme et traîne en longueur. Et puis, il faut bien reconnaître que tout cela manque de passion et de... piquant(s)! Un comble pour un "Hérisson"!
Un film surprenant, avec une Josiane Balasko extraordinaire, une petite fille et un japonais tour à tour attachants, tristes, mais toujours justes. la vie de cette concierge est d'une tristesse, et l'on finit par s'y attacher et à espérer pour elle. Un bon film.