Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Raphaël O
146 abonnés
1 567 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 16 janvier 2014
Paloma, 11 ans, filme son quotidien avec ses parents, sa soeur, dans son appartement, dans son immeuble. Renée Michel, concierge, va croiser sa route. Ils vont se lier d'amitié et grâce à Renée, elle va découvrir une autre vision de la vie. Mention spéciale à Josiane Balasko, extraordinaire en concierge.
Excellent , Sublime , Émouvant , tel sont les 3 premier adjectif qui me sont venu a l'esprit en voyant se film. Avec une Josiane Balasko impeccable ,et la jeune Garance Le Guillermic brillante dans son rôle de Paloma ...... Vraiment Mona Achache je vous tire mon chapeau .......!!!!!
le film reste trop lisse malgré un beau sujet .La petite fille est bien légère pour le rôle et même Balasko reste en retrait de son personnage .Dommage !.
Introspection, n. f. : observation, analyse de ses sentiments, de ses motivations, par le sujet lui-même.
On monte le son comme pour avoir moins froid, On songe aux hérissons qui l'hivers tentent de se réchauffer en se rapprochant mais finalement se piquent de ne savoir comment s'y prendre et s'éloignent épuisés...
Joli film français ! Des personnages particuliers mais attachants au final, l'univers est tendre sans être pour autant chaleureux. Transformation également réussie pour Josiane Balasko.
Un film qui n'arrive pas à retranscrire toute la profondeur et la complexité de la réflexion de Barbéry mais qui, par un trio d'acteurs excellent parvient à nous séduire.
Difficile d'adapter un roman tel que "l'élégance du hérisson" au cinéma, mais ce film s'en est plutot bien sorti. Il est dommage de ne pas avoir le parrallèlisme Renée/Paloma comme dans le livre: Ici,le film est plutôt axé autour de ce que pense la petite fille ,alors que les reflexions de la concierge auraient été très interessantes à intégrer !
Je n'ai pas du tout aimé ce film. Il est ennuyeux, mais surtout la mise en scène de Mona Achache est exécrable. Les plans n'ont aucune profondeur, les bourgeois qui habitent l'immeuble où Balasko joue le rôle de la concierge, semblent se mouvoir avec difficulté dans de tout petits appartements. Le magnifique appartement du japonais décrit par Muriel Barbery, nous semble minable. Bref, le décor n'est pas à la hauteur. Quant à Josyane Balasko, elle fait tout ce qu'elle peut pour exprimer...on ne sait quoi! A vrai dire, elle semble s'emmerder autant que nous. Ce n'est pas peu dire.
Le film restitue à mon goût respectueusement l'esprit du livre. Les acteurs se donnent avec justesse et émotion, les échos d'une scène à l'autre se multiplient : d'un gros plan sur le poisson dans son bocal, nous apercevons au loin sur des estampes des carpes ondoyant avec grâce, le marginal au rôle du fou de l'échiquier et jouant lui même aux échecs se voit responsable de la mort de la concierge, alors qu'il est dit plus tôt que le jeu d'échec vise à détruire l'autre... Renversante adaptation d'une oeuvre qui m'avait déjà ébranlée.
J'avais déjà pas un souvenir impérissable du livre, mais le film me fait définitivement tourner le dos à ce hérisson neurasthénique, déprimant et pseudo-intellectuel. On y suit les trépidantes aventures d'une concierge moche et ronchon (Josiane Balasko pour faire original !) mais en fait, elle lit Tolstoï et regarde des films japonais des années 50. C'est une intello une vraie, mais qui se cache. Et quelques étages au-dessus, c'est une gamine de 11 ans, chiante car surdouée, qui parle couramment le japonais, joue au go et philosophe dans son coin sur la vie et la mort. C'est une intello une vraie, mais qui est incomprise. Elle va révéler le vrai visage de sa concierge, avec l'aide d'un gentil japonais qui mange des sushis et qui a une salle de cinéma dans son appartement pour regarder les films japonais des années 50 ! Ce joyeux petit monde vous emmène en trainant les savates au pays de la déprime et de l'ennui. Et ce n'est pas la mise en scène ratée et les acteurs médiocres qui rendent le tout plus supportable. Vous voulez faire une bonne action ? Alors laissez ce hérisson-là au bord de la route !
Poétique, philosophique et humain ou comment un hasard improbable réunit une enfant suicidaire, un richissime Japonais et une concierge aux allures quelconques. Même si on reste un peu sur sa faim, avec des idées ou des dialogues trop effleurés sans approfondissements, l'univers à part de ce film emprunté à un roman récent a de quoi agréablement surprendre.
Un livre magnifique, un film honteusement minable, un veritable saccage ! M. Barbery a été complètement flouée par une réalisatrice minable. Film très ennuyeux, triste, gris (comme ts les décors), la moitié des personnages sont intenables, le gamine est particulièrement mauvaise, et son physique ingrat n'est pas du tout adapté. Seul l'acteur japonais et J Balasko sauvent le peu qu'il y a à sauver. Bref réalisatrice à bannir du cinéma français, adaptation minable d'un roman pourtant grandiose !!!
Josiane Balasko, n'a, Hélas pour elle, aucun mal à représenter un gros tas, moche, gras et rébarbatif ! Quand à sa "Culture" secrète, si ça consiste à aduler "Les sœurs Munakata" ce pensum chiantissime du non moins Emmerdatoire Ozu, le Godard Japoniais, On la lui laisse bien volontiers. A voir pour la jubilatoire Blondinette vidéaste qui fait joyeusement le désespoir de sa famille !