Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film regorge de scènes tendres et amusantes (...) Le trio vedette est parfait. (...) Mona Achache donne le temps aux personnages de s'épanouir pour mieux les faire aimer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Heureux celui qui sait l'absurdité des préjugés... On pourrait ainsi aligner les aphorismes ou les lapalissades. La qualité du film est d'être au service de cette modeste et noble philosophie. En restant à sa place. Qui vaut mieux que ce qu'en croient d'aucuns.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec quelques trouvailles (la caméra subjective) et autres subtils accommodements, Mona Hachache a su apporter une fluidité à un récit plus complexe qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le hérisson n'a perdu l'élégance que dans son titre.Ce premier film (...) est une adaptation véritablement réussie [qui] fonctionne surtout grâce à son casting.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Pour son premier long-métrage, Mona Achache adapte "l`Elégance du hérisson", de Muriel Barbery (un phénomène de librairie). Et signe une fragile variation sur l`absence de préjugés.
(...) Le Hérisson se révèle être aussi fidèle que réussi (...) Toutefois, on regrettera une mise en scène et un ton manquant légèrement de piquant... Un comble !
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
(...) Elégant, alternant clarté et noirceur, mais trop à distance des émotions. On a envie de s'attacher plus encore. Du coeur à l'extérieur aussi, c'est un peu ce qui nous a manqué.
L'image est ici très réductrice par rapport au pouvoir imaginaire et émotionnel du verbe pour installer des personnages. Mais il reste dans ce propos sagement illustré dans ses décors sobres la consistance d'une belle leçon d'ouverture à l'autre et de méfiance contre les préjugés.
(...) Josiane Balasko (...) et la jeune Garance Le Guillermic (...) ne parviennent pas à tirer le film d'une certaine pesanteur artificielle. Sans être déplaisant, ce Hérisson manque, au fond, d'un peu de piquant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ce premier film (...) doit beaucoup aux acteurs. Il trouve surtout dans le jeu de Josiane Balasko son plus beau centre de gravité pour une variation moins piquante que tendre sur le diktat des apparences.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Pour son premier long métrage, Mona Achache tombe dans le piège classique de l'adaptation frileuse, s'auto-freinant sans doute par un souci de ne pas dénaturer le roman à succès duquel elle tire son film.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
D'un côté la défense et l'illustration du patrimoine culturel (y compris nippon), de l'autre la rédemption d'un être isolé. Ajoutez une touche de tragique en guise de cerise sur le gâteau et vous obtenez un beau pudding hypocrite.
Mona Achache avait sans doute en tête, un film léger, plein de charme et de gentillesse, mais tout tombe à l'eau dans un vacarme d'enclumes sentencieuses jetées du sixième étage.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) C'est plus que convenu, appuyé, faussement impertinent et tire-larmes.(...) On s'ennuie poliment (...) Le film donne à peine envie de lire le bouquin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) C'est réalisé avec un doigté, une sorte de savoir-faire mordoré qui nous ramène aux pires heures du cinéma de qualité. (...) [Une] bouillasse tiède.
20 Minutes
Le film regorge de scènes tendres et amusantes (...) Le trio vedette est parfait. (...) Mona Achache donne le temps aux personnages de s'épanouir pour mieux les faire aimer.
Le Figaroscope
C'est plaisant, astucieux, ironique, touchant. Avec une Josiane Balasko finement malgracieuse et formidablement généreuse.
Le Monde
Heureux celui qui sait l'absurdité des préjugés... On pourrait ainsi aligner les aphorismes ou les lapalissades. La qualité du film est d'être au service de cette modeste et noble philosophie. En restant à sa place. Qui vaut mieux que ce qu'en croient d'aucuns.
Le Parisien
Avec quelques trouvailles (la caméra subjective) et autres subtils accommodements, Mona Hachache a su apporter une fluidité à un récit plus complexe qu'il n'y paraît.
Metro
Le hérisson n'a perdu l'élégance que dans son titre.Ce premier film (...) est une adaptation véritablement réussie [qui] fonctionne surtout grâce à son casting.
TéléCinéObs
Pour son premier long-métrage, Mona Achache adapte "l`Elégance du hérisson", de Muriel Barbery (un phénomène de librairie). Et signe une fragile variation sur l`absence de préjugés.
Dvdrama
(...) Le Hérisson se révèle être aussi fidèle que réussi (...) Toutefois, on regrettera une mise en scène et un ton manquant légèrement de piquant... Un comble !
L'Express
Voir sur le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
(...) Elégant, alternant clarté et noirceur, mais trop à distance des émotions. On a envie de s'attacher plus encore. Du coeur à l'extérieur aussi, c'est un peu ce qui nous a manqué.
Le Point
Voir le site du Point
Ouest France
L'image est ici très réductrice par rapport au pouvoir imaginaire et émotionnel du verbe pour installer des personnages. Mais il reste dans ce propos sagement illustré dans ses décors sobres la consistance d'une belle leçon d'ouverture à l'autre et de méfiance contre les préjugés.
Paris Match
(...) Josiane Balasko (...) et la jeune Garance Le Guillermic (...) ne parviennent pas à tirer le film d'une certaine pesanteur artificielle. Sans être déplaisant, ce Hérisson manque, au fond, d'un peu de piquant.
Télé 7 Jours
Ce premier film (...) doit beaucoup aux acteurs. Il trouve surtout dans le jeu de Josiane Balasko son plus beau centre de gravité pour une variation moins piquante que tendre sur le diktat des apparences.
Filmsactu
Pour son premier long métrage, Mona Achache tombe dans le piège classique de l'adaptation frileuse, s'auto-freinant sans doute par un souci de ne pas dénaturer le roman à succès duquel elle tire son film.
L'Humanité
D'un côté la défense et l'illustration du patrimoine culturel (y compris nippon), de l'autre la rédemption d'un être isolé. Ajoutez une touche de tragique en guise de cerise sur le gâteau et vous obtenez un beau pudding hypocrite.
Libération
Mona Achache avait sans doute en tête, un film léger, plein de charme et de gentillesse, mais tout tombe à l'eau dans un vacarme d'enclumes sentencieuses jetées du sixième étage.
Positif
Josiane Balasko (la concierge), et Anne Brochet (la mère) font tout leur possible. En vain.
Studio Ciné Live
Voir le site de StudioCineLive
Télérama
(...) C'est plus que convenu, appuyé, faussement impertinent et tire-larmes.(...) On s'ennuie poliment (...) Le film donne à peine envie de lire le bouquin.
Les Inrockuptibles
(...) C'est réalisé avec un doigté, une sorte de savoir-faire mordoré qui nous ramène aux pires heures du cinéma de qualité. (...) [Une] bouillasse tiède.