Avis sur Sharkman (V)

Tout est navrant dans ce film, les acteurs, les effets spéciaux, le scénario.... bref on préférera regarder autre chose

Mi-humain mi-jaws , avec Sharkman nous sommes dans la zone Nanarland. L'acteur William Forsythe ( Justice Sauvage ) en héros pas des plus en forme et Jeffrey Combs qui cabotine avec aisance. Le Sharkman apparait sous l'eau en image de synthèse et hors de l'eau on distingue très bien la nature du déguisement en plastique, l'effet serait bien plus efficace s'il aurait participer à un épisode de Bioman. Me souviendrais encore du passage ou des gars tirent à tout va avec mitraillette en main sur un groupe, une cible s'affiche sur l'écran hors on se demande bien pourquoi puisque elles n'ont pas de viseurs, des termes scientifique souvent hors de raisonnement logique, cependant Sharkman peut tenir jusqu'au bout un public bien fan.

Dans la lignée de Frankenstein, ce Prométhée d'un genre nouveau est bien plus crédible que les Blockbusters actuels. L'humour et la créativité compensent le manque de moyen de cette série Bis.

J'ai vu ce film tout d'abord parce que j'aime les films avec ce genre de monstres, et ensuite, pour sa jaquette qui est, pour moi, très attirante. Et bien, je peux vous dire au final que ce film est d'une nullité absolue ! Nul et ennuyant. Le scénario a beau avoir une bonne idée de base, mais il est très mauvais. Un gros nanar à éviter à tout prix!

Nul! Une histoire qui reprend des scènes de tout les grand du genre... mais qui n'arrive en aucun quoi à les imités et encore à les égalés:! C'est pas spécialement long (quoique pour une tel daube c'est deja beaucoup trop) mais il ne se passe rien de nouveau. On assiste à une sucession de scène qui meme sans son pourrait nous permettre également de comprendre le truc... c'est pour dire!lol. Les pré ados en quete de sensation seront peut etre conquis...lol. Enfin je doute. Film absolument vide!

Difficile de trouver de qualificatifs dignes de "Sharkman". Une personne criera au chef-d’œuvre tandis que mille autres le qualifieront de nanar. Dans le cas de ce téléfilm, nanar ne semble même pas assez fort. La comparaison à un projet de classe de sixième qui ont pu choisir l'option cinéma semble plus adéquate. Dialogues enfantins et scénario tout droit issu de la place des Clichés, le spectacle qu'est "Sharkman" se déguste avec modération. Comme dans tous les films du genre, la créature semble disposer d'un don incroyable pour la téléportation. Pouvant traverser une île entière à une vitesse faisant passer Michael Schumacher pour un vulgaire conducteur de tracteur, il ne fait aucun doute à la fin du téléfilm que l'homme requin dispose de la faculté de troisième œil. Répétitif dans l'excès et ennuyeux aux limites de l'imagination, "Sharkman" représente une petite référence pour le genre des films d'horreur américains à petit budget.

Un petit nanar rigolo a regarder. A voir une fois pour rigoler un peu un dimanche soir ou vous avez rien a faire.

Sharkman, ce film au titre aussi improbable qu'il puisse avoir des spectateurs, est un nanar plutôt bien tourné pour un nanar, dont le budget est visiblement plus confortable. Toutefois, on s'y ennuie fermement. On cherche en vain un second degré à cet objet au titre évocateur:absence d'humour, de clins d'oeil, absence sinon de tension... Perte de temps!

Une série B ennuyeuse qui arrive même pas à nous amuser. Un pitch de départ pourtant prometteur pour faire un beau nanar mais malheureusement le film n'est pas à ma hauteur. Cette chose est un désastre cinématographique en tout point : aucune action n'arrive à sauver le film de la "nullitude".

Sharkman a une très mauvaise critique générale, sur tout les sites que j’ai pu rencontrer, pourtant, honnêtement, c’est un film très plaisant.
D’abord il est difficile de dire que l’interprétation est franchement mauvaise. Alors d’accord tout les acteurs ne s’en sortent pas bien, et c’est particulièrement vrai des seconds rôles qui, comme on l’aura remarqué, sont bourrés d’acteurs slaves (probablement bulgares, habitude de la boîte de production). Mais le film a quand même des atouts. Certes William Forsythe est assez surprenant dans le rôle du leader, mais en même temps Sharkman est clairement second degré. Aussi je pense que ce contre-emploi est volontaire, et après tout, pourquoi un héros ne serait pas un peu ventru ? Assez apathique, il sauve quand même les meubles par son expérience. Il y a aussi un casting féminin plaisant avec Hunter Tylo et Elise Muller (actrices pas géniales mais ne manquant pas de charme), et bien sur Jeffrey Combs. Celui-ci est toujours un gage de qualité à quelques exceptions près, et là ce ne loupe pas. Il interprète un rôle qui évidemment est taillé sur mesure pour lui, et même si ce n’est pas là sa meilleure prestation (coté savant fou difficile pour lui de faire oublier Re-animator) il est juste et bien dans l’âme du film. Ce n’est pas vraiment le héros, mais il truste la vedette.
Le scénario n’est pas ridicule. En fait le postulat de départ est sympathique, un peu délirant certes, mais justement, c’est ce que l’on attend d’une telle production. Bien sur l’histoire oubli très vite sa bonne idée pour livrer ensuite un survival avec un homme-requin. C’est simpliste, mais rudement efficace, car Oblowitz maitrise son affaire. C’est rythmé au poil, c’est plein de moments anthologiques (l’accouchement par exemple), et finalement Sharkman ne se prend pas la tête. Il faut divertir, et il y va gaiement même si ce n’est pas toujours fin, et même s’il y a des incohérences. D’ailleurs l’idée d’avoir choisit la tête d’un requin marteau montre clairement la dimension hautement délirante et second degré de la chose.
Sur la forme, Sharkman est loin d’être mauvais. Oblowitz est, c’est vrai, loin d’être un génie, mais je pense que Sharkman est l’un de ses meilleurs films (il m’en manque quelques-uns à regarder). Il fait un travail assez fluide et sans grosses erreurs, essayant d’insister sur la nervosité des attaques. La photographie est tout à fait convenable, il n’y a pas de gros problèmes là-dessus, et les décors tiennent la route pour une production évidemment assez fauchée. Là où le film s’en tire bien, c’est cotés effets horrifiques. En effet si le monstre n’est pas toujours top, en revanche les effets horrifiques sont nombreux, généreux, et souvent très réjouissants pour l’amateur. Honnêtement lorsque les personnages se font manger c’est vraiment d’excellents moments, car en plus le monstre assez particulier donne lieu à quelques surprises gratinées ! Musicalement parlant en revanche ne vous attendez pas à du lourd.
Pour conclure Sharkman est un film sympathique. Généreux, enveloppé d’un second degré assumé et d’une témérité à toute épreuve dans les idées délirantes, il semble presque appartenir à une autre époque tant ce type de films s’est raréfié depuis les années 80. Honnêtement pour les amateurs de films de monstre, d’horreur kitsch, il convient de regarder Sharkman, d’autant qu’il est formellement pas si mal que ca.

Ennuyeux et raté. Une série B à éviter.

Fable sociale post-moderne dénonçant les excès de la société de consommation, Sharkman est une oeuvre complexe, aux multiples niveaux de lecture. Car dans le vertigineux tourbillon d'évènements au sein duquel il se trouve embarqué malgré lui, le jeune Buck est-il une victime, un héros ou simplement le jouet du destin ? Servi par un jeu d'acteur sensible et néanmoins efficace, le réalisateur Brian Meece guide le spectateur dans les méandres d'un affrontement entre l'humanité - symbolisée par Sharkman - et l'image de sa propre déchéance - représentée par les scientifiques. Nous replongeant dans une Amérique de fin de XXème siècle, Meece a choisi de situer son œuvre à la période de Noël : tel Dickens, par le contraste qu'il opère ainsi entre le festif de cette époque de l'année et le tragique des évènements qui surviennent, il fait ainsi ressortir en une émotion unique les deux facettes d'une même réalité : l'oeuvre est, à l'image de la vie elle-même, une combinaison complexe de rires et de larmes. Tandis que résonne la musique de fin, on ne peut s'empêcher de penser : Sharkman, c'est comme un clown qui meurt.

Franchement, le truc loufouque du docteur jesuisfou n'est pas du tout plausible. Scénario pauvre.

Avec un titre pareil, il ne fallait pas s'attendre à grand chose. Mais bon sang, où est le fun ? Non seulement le métrage est une catastrophe absolue mais Brian Meece tente d'instaurer un ton très premier degré à son oeuvre. Comme si ce ce gloubiboulga pathétique allait prendre comme une bonne mayonnaise maison. Un de mes pires visionnages de l'année !

Film incroyable, haletant de bout en bout, la tension ne redescend jamais !
Un long métrage touchant comme on en fait plus sur les relations père/fils, j'ai lâché la larme.
Aussi étant poissonier de métier j'ai trouver le "monstre" très convaincant, sa musculature galbé nous rapelle que la nature nous souléve trés facilement.
Seul bémol j'ai trouvé les signaux satanistes (666) imprimés sur l'hélicoptère peut subtil et franchement de trop.