Avis : Drive - Page 2

Terrible ce film !! Tout y est : ambiance, mystère, suspens, émotions, musiques, acteurs,... Un excellent thriller comme il y avait longtemps que je n'avais plus vu au cinéma. C'est le genre de film que je pourrai voir plusieurs fois sans en être lassé. Il vaut vraiment la peine d'être découvert.

La peinture de l'intérieur d'un slip est un art qui se perd. Bien que Drive fasse des efforts dans la flatulence de type maçon, en laissant de belles grosses traces de mortier au niveau des encolures, il réussi encore plus sa finition. Les sorties de route sont ainsi parfaitement maîtrisées, sans en répandre partout, comme aiment à le faire les pets coliques, tristement célèbres chez les femmes de ménage.

On se retrouve ainsi devant une oeuvre abstraite qui va jusqu'au bout de ses intentions et qui soulagera la mère de famille, lors du tri du linge sale.

Au départ je m'attendais à un film de course poursuite, j'étais pas très emballé, puis enfaite pas du tout, je crois que je n'ai jamais autant apprécié un film avec cette l'ambiance, la BO, les Acteurs, la réalisation qui s'approche de la perfection. Je n'ai qu'une chose à dire pour décrire Drive: Chef D'oeuvre.

Une réalisation sublissime, un interprète au sommet et une bande originale déjà culte parviennent à transcender un scénario assez classique. La scène de l'ascenseur pourrait à elle seule résumer le film: un instant de pureté avant un déchaînement de violence.
Est-ce que Drive est un chef-d'oeuvre? En tout cas, il y ressemble beaucoup.

Ne vous y trompez pas. Drive, ce n'est pas une daube de film de course poursuite américain. Drive, c'est une vrai claque, un chef d'oeuvre dont vous ne détournez jamais l'attention. La réalisation et la bande son sont tout simplement parfaites. Je ne connaissais pas ce réalisateur, il a en tout cas un immense talent.

La peinture de l'intérieur d'un slip est malheureusement un art qui se perd. Pourtant, Drive nous rassure ! En effet, s'il fait des efforts dans la flatulence de type maçon, en laissant de belles grosses traces de mortier au niveau des encolures, le film réussit encore plus sa finition. Les sorties de route sont ainsi parfaitement maîtrisées, sans en répandre partout, comme aiment à le faire les pets coliques, tristement célèbres chez les femmes de ménage. On se retrouve ainsi devant une oeuvre abstraite qui va jusqu'au bout de ses intentions et qui soulagera la mère de famille, lors du tri du linge sale.Bravo !

Ryan Gosling absolument INCROYABLE, Carey Mulligan parfaite, Bryan Cranston stupéfiant, Albert Brooks génial, Oscar Isaac top et Ron Perlman épatant dans ce film de Nicolas Winding Refn: un réalisateur effarant qui propose une réalisation totalement surprenante, la mise en scène est époustouflante, la lumière est parfaite, les décors et costumes sont magistraux, la bande son est magnifique, chaque scènes, chaque plans, chaque silences, chaque mots, chaque gestes, chaque mouvements est important, l'action, la violence, la morale, tout est millimétré et travaillé avec une précision totalement EXTRAORDINAIRE !
Là ou certains trouvent que DRIVE est un film mou et futile, moi je trouve un pure chef d'oeuvre, Nicolas Winding Refn est un génie !!!

Drive, film culte de part son ambiance générale !
Dès l'intro, on est scotchés, par la mise en scène.
Ryan Gosling incarne un homme solitaire doté d'un magnétisme probant ! Un homme dont on ne connait pas son passé, ni son identité.
Le film alterne entre les moments de pure violence et de pur amour.
La scène dans l’ascenseur en est la parfaite illustration.
Au niveau du scénario, l'histoire se révèle classique (voir synopsis).
Ajoutez à cela une Bo rétro-electro planante,des dialogues courts, des regards qui en disent long ... et vous obtenez un film culte !

On adore ou on déteste mais ce film laisse néanmoins des souvenirs ...

Le journaliste: "Le verre est-il à moitié vide ou à moitié plein ?"
NWR : "Je bois à la bouteille !" Ceci pourrait résumer l’art de N. Winding Refn. Découvert depuis Pusher, hélas mis de côté durant de longues années, il aura fallu le talent et la vitrine Gosling pour que celui-ci s’offre aux yeux du « grand » public. Où comment un auteur et un acteur apparaissent au grand jour, jouant et réalisant respectivement de magnifiques partitions dans l’ombre depuis plus de 10 ans. L’honneur est sauf. Plus qu’un axe critique, petit texte afin de souligner, graver, éclairer qu’enfin, oui Nicolas Winding Refn est un GRAND (sans guillemet) metteur en scène (Valhalla Rising, Bronson, Pusher, Inside Job, tous-en somme). Gosling bête de scène (on avait misé sur Ben Foster également à l’époque et mis une option sur James Ransone…à suivre) explose devant la caméra du virtuose Refn ! Métronome de son film ,maître de son art, il offre à Drive un succès inattendu (populaire certes mais qui bouderait son plaisir). Tout est d’une parfaite cadence, de montage, sonore et visuel, de références (années 80, Friedkin, Walter Hill) le tout peint d’une main soignée de son propre trait. Le casting flirtant entre un glam Holywoodien cinématographique et balayant les cast les plus marquants des séries actuelles. Quand un film est à ce point parfait on appelle alors ça un chef d’œuvre.

Voilà un petit film qui pourrait passer inaperçu mais qui se révèle une bombe monumentale. L'histoire est claire : un jeune homme mystérieux, as du pilotage, va affronter un cartel de mafieux pour protéger une jeune femme. Et quoi de mieux pour incarner un homme au grand coeur que Ryan Gosling, parfait dans ce rôle de bad boys, charismatique, le tout magnifié par une bande son d'anthologie !!
Bref : un film trouble, au rythme aléatoire à la fois intime et violent, un film parfait pour votre vidéothèque.

Le danois Nicolas Winding Refn, s’impose comme l’un des plus talentueux réalisateurs de sa génération. Celui à qui l’on doit la trilogie "Pusher", nous dispense ici une véritable leçon de cinéma en signant d’une main de maître, une huitième œuvre d’une rare puissance, nerveuse, ultra calibrée et tendue à l’extrême, avec un casting jouissif et prestigieux. Porté par un sens du rythme efficace et prenant, "Drive" est sans aucun doute le thriller d’action le plus corrosif de ces dix dernières années qui renvoie de toute évidence au meilleur du cinéma américain, instauré par des réalisateurs cultes tels Martin Scorsese, Brian de Palma, Michael Mann ou encore David Fincher. La bande son connotée eighties dès le générique d’intro vintage avec le titre rose et à la typo manuscrite annonce d’emblée le ton de cette réalisation maîtrisée, vertigineuse qui bénéficie d’une facture visuelle stylisée grâce à une photographie sophistiquée et brillante de Newton Thomas Sigel, qui a fait ses gammes auprès d’Oliver Stone sur "Platoon" et a collaboré avec Bryan Singer sur cinq films dont "Usual Suspects". Mais le summum de "Drive" est dans le choix parfait du héros en la personne de Ryan Gosling, l’une des stars actuelles les plus prodigieuses et étonnantes. Il accomplit ici une performance magistrale face à des acteurs tout aussi impressionnants comme Bryan Cranston, Ron Perlman et Albert Brooks, qui a notamment débuté au cinéma dans le mythique "Taxi Driver" de Scorsese.

On suit donc la trajectoire de son personnage surnommé The Driver, un individu énigmatique, solitaire, taiseux et impassible, qui mène une double vie entre Hollywood et le banditisme et dont le comportement et le regard se traduisent uniquement au travers de ses actes. Cascadeur le jour, il met à profit ses talents au volant la nuit, en donnant cinq minutes de son temps à des malfrats en plein braquage pour les récupérer et les conduire sans mot dire en lieu sûr. Si cette vie semble lui convenir, la rencontre avec sa voisine (la douce Carey Mulligan) de laquelle il s’éprend, mère d’un jeune garçon et mariée à un type qui revient dans sa vie après avoir purgé sa peine de prison (Oscar Isaac), change littéralement la donne, à la fois de son existence et celle de cette famille.

Au travers de ce professionnel efficace, stratégique et radical, portant comme accessoires un cure-dent dans la bouche et une veste ornée d’un scorpion, qui fonctionne avec son propre code moral dénué de tout état d’âme, Gosling prouve qu’il a le charisme d’un grand, à la manière d’un Clint Eastwood. Certaines de ses répliques (si peu nombreuses soient-elles) deviennent, au son de sa voix douce et calme, totalement acerbes et tranchantes. Et lorsque ses motivations sont générées pour protéger celle qu’il aime, il n’hésite pas à franchir la ligne pour décimer un à un les meneurs dans la ville tentaculaire de Los Angeles, se révélant capable d’une violence implacable. C’est alors que le vernis de cet individu asocial et monolithique s’effrite progressivement.

"Drive" est une variation moderne et novatrice du cowboy solitaire plongé dans un western urbain, sombre et violent. Nicolas Winding Refn fait de ce bolide cinématographique une magnifique histoire d’amour pleine d’intensité.

La claque cinématographique de 2011 ! Un chef d'oeuvre de mise en scène, sobre, subtil et violent en même temps, des courses-poursuites dans la lignée de "Bullitt", une intelligence scénaristique exceptionnelle, un Ryan Gosling à la limite du génie, une photographie sensationnelle, une bande originale épatante. Un très grand film noir vraiment ébouriffant...

Lui, Ryan, je l'apprécie vraiment, c'est quelqu'un qui parle peu mais qui ressent beaucoup. On peut dire que, dans le film, c'est une personne entière qui va jusqu'au bout. Ce film est véritablement criant de courage, de fiabilité et de vérité. On suit avec solidarité, ce gars discret qui prend sous sa coupe une jeune maman adorable. Moments de courage, de force morale et de tendresse s'entremêlent pour le meilleur. Un de mes personnages préférés qui suscite le respect... et que je comprends bien. Ne passez pas à coté de ce film, une décharge d'émotions brutes et intenses vous y attend. En tous cas, en ce qui me concerne, c'est exactement ce que je recherche dans un film. Il faudrait beaucoup plus de gars comme lui.

Si on me demandait de donner les trois mots qui qualifieraient le mieux le film, je dirai sans réfléchir : Intelligent, maîtrisé et Chef-d’œuvre. Du cinéma à l'état pur tout simplement. Intelligent car il y a une histoire, cohérente, intéressante, et qui mène à quelque chose contrairement à tout ce qu'on peut voir dans les autres films du genre. Maîtrisé car la mise en scène est tout simplement parfaite, les plans sont d'une beauté rare, la musique un vrai bonheur, les acteurs ont de la présence, nous font vivre l'histoire avec eux et le tout se révèle d'une efficacité remarquable. Et enfin, Chef-d’œuvre car durant certaines scènes je repensait à cette réplique d'Uma Thurman dans Pulp Fiction "C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence." et je trouvait qu'elle collait parfaitement, puisque le silence est ce qui fait la force des meilleurs scènes du film et on se plait indéniablement à contempler une telle perfection dans la composition de l'image. Je pensais que Melancholia était le meilleur film de l'année, je me rend compte qu'il y a mieux, et ce mieux c'est Drive.

(...) Les prouesses techniques de Drive sont contrebalancées par le jeu d’acteur sans fausse note de l’ensemble du casting.
Critique complète sur : http://www.leblogducinema.com/critiques/critique-action/critique-drive/