Avis : Drive - Page 10

Une grosse claque, du cinéma comme on voudrait en voir tout le temps !Un excellent film, violent, très surprenant... Ryan Gosling incarne à la perfection ce personnage plus que particulier... La bande originale est parfaite, l'un des meilleurs films de l'année 2011 !

Quand on regarde le synopsis du film, on s'dit "ouais rien de vraiment original!" mais ce film est une belle surprise. D'abord un très bon casting, un beau montage, une Bande-originale forte, une photo excellente. Un vrai pépite ce polar !! Avec un Ryan Gosling qui monte de plus en plus et un Bryan Cranston toujours très bon dans les seconds rôles !

Il est vrai que la nonchalance du driver (on ne sait pas son nom) et les blancs dans les dialogues peuvent agacer mais c'est ce qui donne une identité à Drive et permet de donner de l'intensité à tout le reste. Que dire au sujet de la bande son si ce n'est qu'elle contribue énormément au rythme du film permettant d'accentuer certaines scènes et de faire la liaison entre les évènements forts. On peut donc dire que le charme de Drive réside dans sa différence avec les autres films du même genre (le Transporteur étant la daube qui s'en rapproche le plus) et s'avère être plus intelligent qu'il ne le paraît grâce à son scénario bien ficelé et sa mise en scène soignée.

Ce film est un chef d'oeuvre qui est joué par Ryan Gosling et la musique du film qui est signé Kavinsky c'est NightCall la musique et ce film est a regarder car il est très bien

Chef d'oeuvre, incontestablement. Assister à la naissance d'un film culte, c'est impressionnant. Un héros, un "real hero" nous dit la BO. Mais c'est vrai, et des personnages de ce calibre, ça fait une paie que j'en ai pas vu. La mise en scène est une leçon de cinéma, la BO 80's procure une ambiance a la fois froide et mélancolique. La photo... Ouahou. Magistral, de A à Z. Ryan Gosling dans le rôle de sa vie, je pense. Drive m'a laissé une empreinte et des sensations que je ne suis pas prête d'oublier. Jetez-vous dessus, ou je continue les éloges pendant 15 paragraphes et ça va devenir chiant. Mais c'est avec des films comme "Drive", que le mot "Cinéma" prend tout son sens.

un très bon film, un personnage principal très difficile à cerner et en même temps touchant. des musiques très originales et qui collent parfaitement bien avec l'ambiance du film. à voir!!

Le nouveau film de Nicolas Winding Refn, réalisateur de Bronson et Valhalla Rising, est un pur chef d'oeuvre. La réalisation de Refn est impressionnante. Des plans magiques sans dialogues où Refn laisse place aux expressions des acteurs et des musiques qui collent magnifiquement à l'image, d'ailleurs la b.o du film est sublime. L'acteur principal, Ryan Gosling est impeccable en chauffeur glacial et violent mais qui cache aussi un grand coeur. Les seconds rôles sont eux aussi trés bon, Mulligan, Perlman, Cranston, Brooks et Isaac font de bonnes prestations. Les scénes d'action, même s'il y en a peu, sont trés bien réalisées et trés réalistes. Bref, un film réussi de bout en bout sans aucunes fausses notes. Nicolas Winding Refn, un réalisateur définitivement entré dans la cour des grands.

Peut-être pas le thriller de la décennie mais suffisamment couillu et esthétique pour nous scotcher à notre fauteuil. Ne vous laissez pas avoir par ses faux airs de "Fast and Furious" car "Drive" écrase littéralement ce genre de petits films d'action et de courses de bolides. Loin de la série B et du film pop-corn, "Drive" impose son rythme suffocant à un spectateur investi et à tout le temps sollicité face aux comportements du héros ténébreux et énigmatique, campé par Ryan Gosling. Il convient donc de voir ce film comme très personnel, novateur et sombre. Sans réels temps morts, Nicolas Winding Refn réalise une œuvre mature dont l'ambiance fait notamment penser à "Sin City" pour son côté ténébreux et violent. Lorgnant méchamment du côté du film d'action dopé aux stéroïdes, "Drive" reste pour autant très fin et même son scénario, sans grande complexité, tient parfaitement la route. Outre sa dimension relativement sibylline, ce pétage de plombs progressif et avec nerfs rudement sollicités fait preuve d'une maîtrise scrupuleuse et parfaite des codes des films "action-thriller". Frénétique et bordée de sentiments glacés, l'histoire salvatrice de "Drive" structure une enveloppe artistique maîtrisée et bluffante. Les caméras virevoltent lors des passages nerveux, les éclairages tamisés exhibent d'étonnants jeux de lumières. Rythme et montages sont habilement incorporés à cette détonante recette. Mais c'est surtout ce cachet si personnel, décalé et presque flippant qui propulse "Drive" au titre de chef d’œuvre du cinéma contemporain

On connaissait le talent nicolas winding mais là je dois dire "oh my god!!!" Une bombe, une claque, un chef d'oeuvre... tout ça à partir d'un scénario assez simple. Le prix de la mise en scène est entièrement mérité, filmé comme les plus grands maîtres du 7eme art, Gosling crève l'écran, à souligné l'esthétisme du film. Ceux qui disent c'est nul, trop lent, pas assez d'action comme le "transporteur" ou "fast and furious" peuvent aller se coucher, certes le rythme de la première partie est assez lent mais il sert à bien présenter la psychologie du personnage bien plus complexe qu'il n'y parait.
L'un des meilleurs films de cette année si ce n'est le meilleur!

"La parole est d'argent, mais le silence est d'or."

Le cinéma n'a pas finit de nous surprendre, surtout lorsqu'un danois met à terre Hollywood!

Drive, le chef d'oeuvre de l'année 2011, est exceptionnel à tous points de vue. Que voulez-vous? Si le rendu de la copie est parfait, pas la peine d'en dire davantage. Essayer de chercher le moindre petit défaut, c'est juste impossible sur ce film; c'est une perte de temps.

En fait, je ne peux pas être plus clair que lorsque je vous dis: "Vous allez prendre une sévère claque en pleine figure, je vous l'assure!"

"Drive", le film qui a secoué la planète du cinéma depuis sa présentation et son prix de la mise en scène au festival de Cannes à sa sortie et qui va la secouer encore bien après à l'instar de classiques, parce que oui "Drive" sera un classique, un film culte, une oeuvre influente. Dés les premières images de Los Angeles façon Michael Mann sur de la musique des années 80 composée uniquement de deux notes au synthé, et son caractère d'écriture rose bonbon "Dirty Dancing" le ton est lancé et l'avis sur le film est donné: Brillant, envoutant, sensationnel, hypnotisant, magnifique, déjà culte, bref les mots manquent pour qualifier "Drive". Un oeuvre cinéphilique influencé par Scorsese et son "Taxi Driver" pour le personnage solitaire dans sa voiture, Michael Mann et "Collateral" pour le visuel de Los Angeles, "Old Boy" pour la scène avec le marteau.
Mais le plus fort, c'est que Refn n'a pas son permis et il arrive à filmer des scènes de poursuites d'une grande virtuosité et arrive à nous faire sentir dans la voiture avec son personnage en plein Los Angeles.

Drive de 2011 film d'Action-Thriller et qui nous donne un véritable plaisir de voir une si belle réalisation cinématographique. L'histoire d'un " Driver" qui bosse dur que ce soit le jour ou la nuit et qui est plutôt silencieux face aux autres.. Jusqu'au jour ou il rencontre Irène et son petit garçon et la il prends plaisir a découvrir les choses simples qui vont changer son existence.. une rencontre avec beaucoup de mélancolie et de poésie digne d'un alexandrin qui se lie en douze ligne et qu'ici se comprends avec des gestes des regards , de la tendresse et énormément de respect.. Ryan Gosling le héros silencieux qui conduit sa batmobile la nuit dans la pénombre d'une ville sombre comme celle de Gotham qui recèle des gangsters dangereux et qui sont prêt a abattre toute leur carte comme celles du Joker sans scrupule et qui voudront éliminés le peu de semblant de bonheur qui s’offrait a driver ( Ryan Golsing) . Le réalisateur Nicolas Winding a vraiment penser a tout.. Les effets d'image ralenti qui transcende l'émotion avec l'action face a une bande son qui immerge le cinéphile dès le début avec un ton rêveur et qui finit en cauchemars et qui nous fait penser que les choses les plus simples peuvent s'envoler plus vite qu'une voiture de course...Carrey Mulligan alias Irène la petite blonde qui a sus émouvoir Driver joue sa prestation avec douceur qui a son tour perd la voix face a une fin déroutante..
bravo a Ryan Golsing qui nous a donner ici une si belle émotion face a si belle prestation devant l'écran.

• Actions / Effets spéciaux: 9.8 / 10
• Scénario : 10 /10
• Crédibilité des Acteurs: 10 /10
• Bluraythèque: Oui

Il s'agit d'une véritable merveille. C'est un film sur la métamorphose, sur l'animal que chacun abrite, sur la psychopathie refoulée. La musique envoutante des scènes romantiques alternant avec les phases de course poursuite couvertes de silence nous offrent un mélange genre inédit, et donnant à Ryan Gosling le rôle de sa vie. La scène de l’ascenseur est magistrale et constitue un moment déjà culte.

Rien que pour la mise en scène, Drive mérite la note parfaite. J'en ai savouré chaque seconde ! Absolument prodigieux et unique. Des ralentis à profusion parfaitement maîtrisés, des changements de rythme, une BO absolument magnifique. Cette impression envoutante de naviguer à vue couplée à une immersion comme aucune autre, où l'on devient de plus en plus interloqué, obsédé, apostrophé par ce personnage principal insaisissable, mystérieux, fermé, contrôlé, qui opère une mutation presque imperceptible mais si violente en même temps ! Cette façon de ne rien révéler, mais de tout laisser découvrir, un scénario qui s'impose seconde après seconde, sans que l'on sache pendant tout le long où celui-ci va nous mener, aucune ficelle, aucune recette, c'est juste là, devant nous, on redevient un simple spectateur complètement désarmé, et on ne peut que s'en délecter. Ryan Gosling est magistral.

Une claque, voilà ce qu’est le très renommé Drive de Nicolas Winding Refn. Ce film aux allures de thriller dramatique s’avère être en effet saisissant, pour ne pas dire bouleversant ; pourtant la nature du titre, ainsi que les premières scènes composant ce dernier, laisser supposer que Drive se contenterait de graviter autour de son personnage principal et de son talent inné pour la conduite, le tout sous couvert d’un zeste de romance. Si l’on ne parlera pas ici d’un leurre à proprement parler, il n’empêche que ces divers éléments ne cesseront de masquer avec brio le brusque tournant opéré par le film, l’amenant à composer une seconde partie des plus marquante où l’hémoglobine sera de mise (à tort ou à raison). Pour en revenir aux prémices de Drive, ceux-ci accrochent sans peine aucune le spectateur de par le charisme mystérieux du Driver, dont le nom ne sera jamais évoquée tout comme ses origines ; interprété par un Ryan Gosling grandiose, ce protagoniste avare en parole compensera de par sa prestance et sa complexité psychologique, très justement soulignée à travers ses actes et émotions affichées. Sur ce dernier point le talent de la mise en scène fait des merveille, où le manque de dialogue sera occulté par des regards en disant bien plus long, notamment entre le Driver et Irène, dont la brève romance aura eu le mérite d’être transcendante en son genre. Néanmoins ce semblant de cadre idyllique ne durera pas, car outre l’activité secrète de notre anti-héros, notamment exposée au travers d’une introduction superbement réalisée, les différents liens entretenues par ces personnages conduiront à un changement radical de ton par la suite. Le caractère sérieux du long-métrage s’impose alors à nous avec brusquerie, des morts violentes venant troubler l’univers du Driver, dont la survie même sera engagée ; dès lors la profondeur du personnage prend tout son sens, la force de ses sentiments prenant le pas sur toutes autres considérations, l’amenant ainsi à se transformer en un protecteur impitoyable. Une mutation radicale de ce dernier donc, qui n’aura alors de cesse de faire fi de toute prudence, mais il est indéniable que la cohérence de l’ensemble trouve tout son sens dans les personnages d’Irène et de Benicio, soulignant un peu plus notre attachement au Driver. Un bémol au tableau cependant, à savoir la violence exacerbée accompagnant sa traque, donnant de ce fait lieu à des exécutions choquantes visuellement, que celui-ci soit la main exécutrice ou non. Pourtant la qualité sans bornes des diverses interprétations rattrapent le coup, aussi l’on peut féliciter tous ces acteurs d’exceptions ayant conférer à Drive une telle force d’attraction (Bryan Cranston, Carey Mulligan etc) ; de même que son caractère on ne peut plus atypique, il faut également rappeler le rôle prédominant de la BO dans la réussite de ce dernier, celle-ci étant tout bonnement … fabuleuse, enchanteresse et magistralement bien trouvée. Et tandis que le final de Drive nous laisse sans voix, pour ne pas dire scotché, alors qu’un sentiment mêlant mélancolie et tristesse nous saisit avec soudaineté, on peut conclure en disant que cette réalisation de Nicolas Winding Refn est une perle cinématographique, unique en son genre et culte en bien des points … chapeau bas.